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Parfum de scandale à Ni P**** Ni Soumises

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  • Parfum de scandale à Ni P**** Ni Soumises

    La présidente Sihem Habchi est aux abonnés absents, des salariés de l'une des plus riche association de France (plus de 500.000 euros de subventions) occupent les locaux administratifs (300 m2 dans le 20ème arrondissement de Paris) pour dénoncer l'opacité des comptes et notamment des frais "scandaleux" que s'octroie la présidente sans contrôle de gestion.

    Clientélisme familial au niveau des embauches, conflit d'intérêt et mélange des genres, favoritisme au niveau des intervenants extérieurs, turn-over anormal du personnel, prestataires non payés, rapport d'activité tronqué, assimilation de l'association en entreprise personnelle, tyrannie, despotisme etc.. sont les griefs reprochés par les grêvistes et autres membres à leur présidente en particulier qui n'est plus apparue à son bureau depuis le début du mouvement.

    C'est une lettre "anonyme" distribuée via les boites e-mails aux membres et intervenants de l'association qui est à l'origine de ce conflit associatif dont le règlement en interne a échoué au vue des graves accusations dénoncées.

    APA/NObs/Agences

  • #2
    Et ça vient donner des leçons de civilisation à la télelvision...

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    • #3
      J'espère qu'ils la mettront en prison !
      J'étais là...

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      • #4
        je ne peut pas la voir cette femme la... elle a étais vraiment dure avec les musulmans..

        Commentaire


        • #5
          Un article qui pourrait t intéresser

          http://tempsreel.nouvelobs.com/socie...-soumises.html

          Scandale à Ni Putes Ni Soumises ?


          Un mystérieux mail dénonce les abus de Sihem Habchi, présidente du mouvement. Huit salariés sont en grève et toute une gestion est mise en cause. Des militantes témoignent. Par Marie Vaton et Elsa Vigoureux

          C’est la grève à Ni Putes Ni Soumises (NPNS). Mais personne ne doit le savoir, ni les militants, et encore moins les journalistes. Alors, non rien à dire, "on ne communique pas". Trois cents mètres carrés de locaux au milieu du 20ème arrondissement de la capitale, et rien que huit grévistes attablés au milieu d’une salle quasi-déserte, s’affolent à l’idée que l’affaire s’ébruite. Derrière eux, comme tenues à l’écart du secret, des jeunes filles en service civil planchent dans des salles aux portes closes. Les salariés, Gabrielle Apfelbaum, directrice de la communication, Fanny Derenne, coordinatrice du mouvement, Jean-François Laloué, responsable des relations institutionnelles, organisent des assemblées générales chaque jour, qui se tiennent depuis vendredi dernier entre les murs blancs et rose fushia de l’association. Le bureau de la comptabilité est fermé à clef. Celui de la présidente aussi. Sihem Habchi se terre quelque part.

          L’association de défense des femmes violentées, aussi puissante que controversée, est aujourd’hui en roue libre. Que se passe-t-il ? "Nous sommes grévistes, mais cette situation se gère avec les instances dirigeantes", assène-t-on en chœur. Et circulez, y’a rien à voir : "C’est la fin de notre entretien. On vous raccompagne ?". Pas un mot donc sur le mystérieux "corbeau", un certain "Harry Potter", auteur d’un mail incendiaire sur la gestion de l’association.

          Des frais de bouche "scandaleux"

          La missive anonyme court les boîtes de messagerie des militants NPNS et de leurs partenaires associatifs. Le titre : "Sihem Habchi tue Ni Putes Ni Soumises". Deux pages et demi d’allégations pour dénoncer "conflits d’intérêt et mélange des genres" dans l’association. Où Sihem Habchi est accusée de placer les siens. Deux de ses sœurs siègent au Conseil d’Administration. Son compagnon a refait le site de l’association pour la modique somme de 20.000 euros. Où il est reproché à Sihem Habchi de ne se déplacer qu’en taxi sur le compte exclusif de l’association, 072413 chez taxis Bleus : "les factures peuvent atteindre 3.000 euros par mois". Où il est indiqué que Sihem Habchi se ferait rembourser des frais de bouche et de téléphone "scandaleux" sans lien avec ses fonctions : "800 euros parfois pour un seul mois". Selon le corbeau "Sihem Habchi confond (…) l’association avec son entreprise à elle".

          Il n’y a pas que lui. Sur le terrain, les témoignages pleuvent. "Tyrannique", "despotique", la jeune femme présidente du mouvement le viderait désormais de tout son sens. "On a d’abord essayé de changer les choses en interne, mais personne n’a réagi, au Conseil d’Administration comme ailleurs", indique Bouchera Azzouz, ancienne secrétaire générale de NPNS arbitrairement débarquée en 2009.

          "J'ai fini chez le psy"


          Comme une cocotte-minute, l’association explose. Sur ces quatre dernières années, un turn-over qui dépasse la normale avec une vingtaine de départs de jeunes femmes trop souvent poussées à bout. Plusieurs d’entre elles, dont Alia* sont parties en dépression : La jeune femme, payée 1.500 euros net par mois pour intervenir en zones sensibles, enchaînait les heures supplémentaires et payait de sa poche ses tickets de transport : "A la fin, je faisais même le ménage dans les locaux. Elles m’ont détruite, j’ai fini chez le psy", dit-elle aujourd’hui.

          Une autre raconte qu’elle devait prendre sur ses propres deniers face à la détresse d’une femme qui ne savait où dormir. "Je voulais qu’il y ait un fonds de roulement de 300 euros à l’accueil pour réagir dans pareille situation, raconte Warda. Rien n’est venu". Et quand elle a monté son comité local, "le national ne nous a jamais versé le moindre sou, raconte Warda. Même en 2008, alors qu’il nous manquait 1.000 euros pour finir l’année. Par contre, nos initiatives sont reprises dans le rapport d’activités annuel de Ni Putes Ni Soumises".

          "je me demande où sont passé les subventions"


          Ni Putes Ni Soumises ne manquait pourtant vraiment pas d’argent. Subventionnée à hauteur de 500.000 euros par an, elle fait partie des associations les mieux loties de France. Mais d’anciennes bénévoles et salariées continuent de s’interroger. Sarah, ancienne vice-présidente de NPNS, a participé à l’opération "Tremplin pour le respect" en 2008 : "je me demande où sont passé les subventions, étant donné que tout reposait sur le système D, et qu’aucun prestataire n’a été payé". D’autant que l’Education nationale a déboursé 11.000 euros pour ce projet.

          Du coup, les financements se font plus rares. La région Ile-de-France a cessé d’alimenter l’association depuis trois ans. L’Acsé (Agence nationale pour la Cohésion sociale et l’égalité des chances), qui finançait cinq postes d’adultes relais sur le terrain à hauteur de 100.000 euros, et offrait des subventions à hauteur de 155.000 notamment pour la plate-forme d’accueil aux victimes, n’a pas encore renouvelé son partenariat.

          "Elle ne va pas très bien"


          Du côté des instances dirigeantes, Jean-Marie Heussner, membre du Conseil d’Administration, assure qu’il n’y a à NPNS "aucun problème d’argent". Il réduit la situation à laquelle l’association est aujourd’hui confrontée à "des affaires de jalousie, des conflits de personnes, parce que l'association est un lieu de pouvoir et d’enjeux". Et promet de 'tout faire pour sortir de la crise et de la grève en privilégiant toujours l’indépendance de l’association".

          Et pour défendre la présidente de l’association, Sihem Habchi, Jean-Marie Heussner indique que l’usage des taxis est "lié à des questions de sécurité, car elle a été menacée de mort à plusieurs reprises". Que si ses sœurs sont au Conseil d’Administration, c’est qu’elles sont "militantes". Enfin, il dit que si Sihem Habchi, que le "Nouvel Observateur" a cherché à contacter à de nombreuses reprises, est injoignable aujourd’hui...c’est qu’elle "ne va pas très bien en ce moment". A suivre.

          Marie Vaton et Elsa Vigoureux - Le Nouvel Observateur
          "Comment oublier que l'amour est donné, d'emblée, comme une denrée brute, une passion complexe susceptible de conduire vers la lumière ou de précipiter dans les ténèbres ?"

          Commentaire


          • #6
            Réponse de la concernée (qui, au passage, n attaque pas le journal pour diffamation)


            Scandale à Ni Putes Ni Soumises :

            Sihem Habchi répond

            Le "Nouvel Observateur" avait tenté en vain de joindre à plusieurs
            reprises la présidente de l'association.
            Celle-ci nous fait parvenir aujourd'hui un droit de réponse.

            Comme vous, peut-être, j'ai reçu un mail courageusement anonyme,
            daté du 13 octobre 2011, évoquant la gestion et la direction
            du mouvement Ni Putes Ni Soumises. Ce mail grossièrement calomnieux
            et diffamatoire constitue une énième tentative de déstabiliser,
            au-delà de ma personne, l'association Ni Putes Ni Soumises.

            La veille de l'envoi était publié sur le site Maghreb Intelligence
            (accès abonnés) un article attaquant violemment Zineb El Ghazoui,
            (cofondatrice du mouvement pour les libertés individuelles et salariée NPNS),
            sur ses activités militantes au Maroc et en France.
            On y faisait notamment référence à une sombre conspiration
            à mon encontre relayée par la DCRI et la DGSE.
            Mais là, cela devient trop obscur et tordu pour moi !

            Cette concomitance suffit à discréditer le mail anonyme.
            Mais ces allégations ont pu vous inquiéter.

            J’assure la fonction de Présidente de Ni Putes Ni Soumises depuis 4 ans
            - après avoir été Vice-Présidente pendant 4 autres années
            - avec une sincérité et un engagement continus.
            Je suis bénévole mais j’exerce ma fonction à temps plein,
            ayant mis entre parenthèse ma carrière professionnelle.
            Je dispose de faibles ressources et il m’est pénible de lire
            que je vis dans le luxe et que ma famille bénéficie de privilèges.
            J'ajoute que, comme vous le savez tous,
            j'ai la joie de recevoir assez fréquemment des menaces de
            mort, ce qui ne me permet pas dans certaines circonstances
            de me déplacer seule et aussi librement que je le souhaiterais.

            Mes sœurs ont eu un parcours de vie similaire au mien.
            A un certain moment, elles se sont investies bénévolement
            dans l’association. Elles étaient des militantes ordinaires.

            Les comptes de l'association sont réalisés par un cabinet
            d'expert-comptable, validés par un commissaire au compte et
            soumis à l’approbation du Conseil d’Administration et de l'Assemblée Générale.

            La vie du mouvement est rythmée par la réunion des instances et
            l’expression démocratique. Les Conseils d’Administration, plus
            nombreux que lors du mandat précédent, ont réunis régulièrement
            les membres de l’association et des Comités affiliés sur tout le territoire.

            Les projets et actions phares du mouvement, largement débattus
            dans nos instances, ont été menés dans le strict respect de notre ligne :
            défendre le droit des femmes, la laïcité et promouvoir les valeurs
            de la république.

            Je puis vous assurer que nous sommes déterminés à ce que notre
            association garde son indépendance, ne serve pas de position
            de repli à certains emplis d’amertume et à ce que notre association garde son
            cap dans cette période complexe, où les extrêmes nous attendent
            en embuscade et rêvent de voir disparaître, ici et dans les pays arabes,
            la voix des femmes qui osent leur dire non.

            Sihem Habchi
            Présidente de l'association Ni Putes Ni Soumises
            "Comment oublier que l'amour est donné, d'emblée, comme une denrée brute, une passion complexe susceptible de conduire vers la lumière ou de précipiter dans les ténèbres ?"

            Commentaire


            • #7
              moi je dirais pute et soumise a l'argent et au pouvoir
              La véritable mosquée est celle qui est construite au fond de l'âme

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              • #8
                salam

                cette association est une honte, comment peut elle représentée les femmes musulmanes de France !!
                Dernière modification par naw08, 24 octobre 2011, 17h07.

                Commentaire

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