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Pour rappel, le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, avait avancé la date du 30 juin puis du 31 juillet concernant l’ouverture de la rocade Boudouaou-Zéralda (65 km), mais cette fois-ci, on souhaite que ce soit la bonne, comme l’espèrent les automobilistes qui circulent à l’est d’Alger.
L’ouverture à la circulation automobile sur la rocade Boudouaou-Zéralda interviendrait, selon nos informations, dans moins d’une dizaine de jours. «Nous avons quasiment terminé la partie des travaux qui nous incombait. Il ne reste que quelques retouches minimes», dira, par téléphone, le responsable de l’une des entreprises chargées de la réalisation de ce projet. Cependant, notre interlocuteur a refusé d’avancer une date précise quant à sa livraison. Pour lui, c’est au ministère des Travaux publics d’arrêter le jour d’ouverture de cet important axe routier. La mise en circulation effective de cette voie express, qui contourne Alger par le sud avec plusieurs pénétrantes vers les principaux quartiers de la capitale, est très attendue par des milliers d’automobilistes qui désespèrent d’échapper à l’enfer de la RN 5. Les travaux n’ont, en effet, que trop tardé. Ghoul se sentait obligé d’avancer des délais d’inauguration qui n’ont pas été respectés. Il faut espérer aussi que cette ouverture ne sera pas contrariée par l’installation d’autres barrages sécuritaires qui ne feront que déplacer les embouteillages. Ce serait donc des centaines de milliards de dinars gaspillés et du temps perdu pour rien.
Abachi L.
L’ouverture à la circulation automobile sur la rocade Boudouaou-Zéralda interviendrait, selon nos informations, dans moins d’une dizaine de jours. «Nous avons quasiment terminé la partie des travaux qui nous incombait. Il ne reste que quelques retouches minimes», dira, par téléphone, le responsable de l’une des entreprises chargées de la réalisation de ce projet. Cependant, notre interlocuteur a refusé d’avancer une date précise quant à sa livraison. Pour lui, c’est au ministère des Travaux publics d’arrêter le jour d’ouverture de cet important axe routier. La mise en circulation effective de cette voie express, qui contourne Alger par le sud avec plusieurs pénétrantes vers les principaux quartiers de la capitale, est très attendue par des milliers d’automobilistes qui désespèrent d’échapper à l’enfer de la RN 5. Les travaux n’ont, en effet, que trop tardé. Ghoul se sentait obligé d’avancer des délais d’inauguration qui n’ont pas été respectés. Il faut espérer aussi que cette ouverture ne sera pas contrariée par l’installation d’autres barrages sécuritaires qui ne feront que déplacer les embouteillages. Ce serait donc des centaines de milliards de dinars gaspillés et du temps perdu pour rien.
Abachi L.
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