Classement mondial des établissements universitaires et de recherche... l'Algerie absente...Elle recule de plus en plus…il faut poser la vrai problématique…celle de la politique de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique suivie par l’Etat algérien. Pourquoi l’élite algérienne est elle dans un tel marasme. Pourquoi les hommes qui mènent ces politiques sont ils maintenus aux postes… Quels sont les dividendes de l’état algérien devant un tel marasme programmé ? Est-ce qu’un département tel que le Mesrs doit etre géré par un parti (le FLN) et ses hommes sans aucune relation avec le secteur, au lieu et place de vrai professionnels ?
Fairouz B. • C’est vrai que ce classement est basé sur des critères de performances des établissements en matière de gestion, gouvernance, renommée, production scientifiques dans des revues prestigieuses anglo-américaine, thèmes de recherches d’avant garde, sponsors et participations des entreprises et multinationales…..conditions des études et de travail, prix Nobels + différentes distinctions et médailles…etc…, capacité a recruter des profs et chercheurs de renommée,…etc…
Certes les établissements algériens ne pouvant répondre à beaucoup de ces critères due à notre politique économique, industrielle, et de gouvernance du savoir et celui de l’accumulation du savoir faire(complètement inexistante)…néanmoins une place honorable d’au moins un ou 2 établissements est possible……Si le secteur de la recherche ne souffre pas de dysfonctionnements chroniques…….
A commencer par un ministère délégué à la recherche, totalement absent sur le terrain, sans politique ni pouvoir exécutifs ou de contrôle…une direction générale de la recherche directement intégrée au Mesrs et sans aucune coordination avec le ministère délégué. Cette même direction générale est divisée sur 2 sites les services assurant les finances et Rh au niveau du mesrs et les autres services dans un site différent et dont le rôle se résume beaucoup plus un rôle de propagande et communication, ne profitant d’aucun pouvoir décisionnel, de contrôle ou de tutelle sur les labos ou centres de recherches). Des entités de recherches complètement assujetties à des conseils d’administrations vides et sans stratégies, et des conseils scientifiques d’un autre âge et sans stratégies. Sans tutelle réelle qui les chapeaute et contrôle; Ces centres de recherches sont soit disant indépendants et directement mis sous l’administration et controle de chefs d’établissements nommés par décret présidentiel. Les labos universitaires sont eux sous contrôle des rectorats qui s’occupent beaucoup plus des cursus académiques que de recherche développement, et des agences thématiques complètement isolées n’ayant aucun impact ni relations avec les entités de recherches. Le dernier maillon…. le chercheur abandonné a son sort, n’a qu’une seule alternative pour ne pas s’ennuyer est de solliciter ces rectorats pour s’inscrire dans la durée (quand il trouve une place pédagogique) pour des thèses longues durées ………………..ou finir par solliciter les labos et universités étrangères pour offre de service……..
Aucune politique ni stratégie de recherche développement n’est suivie, chacun bricole ce qu’il peut dans son petit coin…
Ps : en se référant aux réunions et rencontres officielles du mesrs et de la dgrsdt diffusées a la télé, on remarque que les représentants du ministère délégué sont toujours absents ou non associés. …..Un ministère délègue qui préfère se cotonner dans un rôle protocolaire…
Je crois que c'est plus fin que cela ... En gros c'est la guerre des clans , des tribus ... c'est vraiment du n'importe quoi ...
Impossible de trouver un interlocuteur
http://www.shanghairanking.com/ARWU2011.html
Source : Algerian Elite-Elite Algérienne
Fairouz B. • C’est vrai que ce classement est basé sur des critères de performances des établissements en matière de gestion, gouvernance, renommée, production scientifiques dans des revues prestigieuses anglo-américaine, thèmes de recherches d’avant garde, sponsors et participations des entreprises et multinationales…..conditions des études et de travail, prix Nobels + différentes distinctions et médailles…etc…, capacité a recruter des profs et chercheurs de renommée,…etc…
Certes les établissements algériens ne pouvant répondre à beaucoup de ces critères due à notre politique économique, industrielle, et de gouvernance du savoir et celui de l’accumulation du savoir faire(complètement inexistante)…néanmoins une place honorable d’au moins un ou 2 établissements est possible……Si le secteur de la recherche ne souffre pas de dysfonctionnements chroniques…….
A commencer par un ministère délégué à la recherche, totalement absent sur le terrain, sans politique ni pouvoir exécutifs ou de contrôle…une direction générale de la recherche directement intégrée au Mesrs et sans aucune coordination avec le ministère délégué. Cette même direction générale est divisée sur 2 sites les services assurant les finances et Rh au niveau du mesrs et les autres services dans un site différent et dont le rôle se résume beaucoup plus un rôle de propagande et communication, ne profitant d’aucun pouvoir décisionnel, de contrôle ou de tutelle sur les labos ou centres de recherches). Des entités de recherches complètement assujetties à des conseils d’administrations vides et sans stratégies, et des conseils scientifiques d’un autre âge et sans stratégies. Sans tutelle réelle qui les chapeaute et contrôle; Ces centres de recherches sont soit disant indépendants et directement mis sous l’administration et controle de chefs d’établissements nommés par décret présidentiel. Les labos universitaires sont eux sous contrôle des rectorats qui s’occupent beaucoup plus des cursus académiques que de recherche développement, et des agences thématiques complètement isolées n’ayant aucun impact ni relations avec les entités de recherches. Le dernier maillon…. le chercheur abandonné a son sort, n’a qu’une seule alternative pour ne pas s’ennuyer est de solliciter ces rectorats pour s’inscrire dans la durée (quand il trouve une place pédagogique) pour des thèses longues durées ………………..ou finir par solliciter les labos et universités étrangères pour offre de service……..
Aucune politique ni stratégie de recherche développement n’est suivie, chacun bricole ce qu’il peut dans son petit coin…
Ps : en se référant aux réunions et rencontres officielles du mesrs et de la dgrsdt diffusées a la télé, on remarque que les représentants du ministère délégué sont toujours absents ou non associés. …..Un ministère délègue qui préfère se cotonner dans un rôle protocolaire…
Je crois que c'est plus fin que cela ... En gros c'est la guerre des clans , des tribus ... c'est vraiment du n'importe quoi ...
Impossible de trouver un interlocuteur
http://www.shanghairanking.com/ARWU2011.html
Source : Algerian Elite-Elite Algérienne
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