Une nouvelle étude menée au Danemark pourrait changer la donne en ce qui concerne les risques de Cancer liés à l’utilisation du téléphone portable. Selon cette étude globale, recueillant les données de pas moins de 358 403 personnes (sur 18 ans), l’utilisation d’un téléphone portable, même prolongée, n’augmenterait pas le risque de développement d’un cancer du cerveau. Cette étude sur un si grand nombre d'individus vise à savoir si le taux de personnes ayant contracté un cancer est supérieur parmi ceux qui ont utilisé un téléphone portable depuis plusieurs années.
Pas d’étude de cas pour un usage intensif
Sur les personnes étudiées n’ayant quasiment pas l’usage d’un mobile, le nombre de tumeurs du système nerveux central atteint 10 729 personnes, soit un chiffre quasi similaire à ceux utilisant un téléphone portable depuis plus de 13 ans. Une étude à relativiser dans la mesure où celle-ci ne prend pas en compte l’usage intensif du téléphone portable, un usage de plus en plus répandu notamment dans le cadre d’une activité professionnelle. Néanmoins, par son ampleur (près de 360 000 personnes) et son étendue (près de 20 ans), cette étude est un argument de poids dans le débat sur la dangerosité supposée des téléphones mobiles.
Tom's Guide
Pas d’étude de cas pour un usage intensif
Sur les personnes étudiées n’ayant quasiment pas l’usage d’un mobile, le nombre de tumeurs du système nerveux central atteint 10 729 personnes, soit un chiffre quasi similaire à ceux utilisant un téléphone portable depuis plus de 13 ans. Une étude à relativiser dans la mesure où celle-ci ne prend pas en compte l’usage intensif du téléphone portable, un usage de plus en plus répandu notamment dans le cadre d’une activité professionnelle. Néanmoins, par son ampleur (près de 360 000 personnes) et son étendue (près de 20 ans), cette étude est un argument de poids dans le débat sur la dangerosité supposée des téléphones mobiles.
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