ce serait un assurance-vie pour l'Algérie et si l'initiative venait de l'Algérie, en qualité de propriétaire légitime et inaliénable des terres, d'offrir un partenariat pour une agriculture performante, en abandonnant définitivement les tabous du genre "el syada el watania", cette souveraineté nationale qui a quitté le pays depuis que nous importons de la pomme de terre et des tomates et surtout depuis que chaque hausse des prix - à l'internationale - du sucre, de l'huile et du blé risque de transformer notre bled en un immense brasier...??
sous la forme d’une « location » à moyen et/ou long terme de terres arables à un État-Partenaire stratégique, pour une production agricole et un élevage qualitatifs et quantitatifs.
En vue, bien sûr, et dans une première phase, de passer progressivement à une auto-suffisance alimentaire.
Et dans une seconde phase, de passer à l'exportation; et là, il est permis de penser au marché des agrumes, des céréales, des fruits exotiques et autres produits dérivés. Tout est dans le choix du partenaire, de ses ambitions, de son agressivité sur le marché mondial etc.
Un partenariat gagnant-gagnant est largement envisageable.
En effet, l’Algérie aurait tout à gagner en optant pour un partenariat stratégique, surtout si, à fortiori, cet État-Partenaire est membre du Conseil de Sécurité, avec droit de véto: ce serait un judicieux placement sur le long terme, pour ne pas dire UNE ASSURANCE-VIE pour l’Algérie.
Parce que, dans une telle constellation, celui qui « touchera » à l’Algérie, touchera à la sécurité alimentaire de cet État-Partenaire.
il suffit juste de signaler que 2 Chinois sur 3 sont agriculteurs, soit près d’1 Milliard d’agriculteurs qui s’échinent, chaque jour que Dieu fait, à nourrir 1,4 Milliards de personnes. Le défi est immense et il y arrivent quand même!!
je pense qu’il y a vraiment matière à entreprendre, dès à présent, une sérieuse réflexion sur ce sujet.
car, sans se voiler la face, il faut bien admettre que notre agriculture, quoi que puissent avancer les officiels gouvernementaux, est, globalement, sinistrée depuis pratiquement des décennies.
il faut également admettre que dans les pays avancés en matière d'agriculture, des rendements, inimaginables chez nous, y sont réalisés, an après an… ce qui représente, vu sous notre angle, un immense manque à gagner, an après an. nous en sommes réduits à pratiquement tout importer, ce qui est à la limite immoral
il est clair qu'un tel projet doit être pensé et mûri avec toute la minutie nécessitée par une telle entreprise, aussi bien au niveau État à État, qu’au niveau privé à privé car les potentialités sont immenses, pour peu que les lignes directrices soient clairement définies, comme par exemple :
- l’intérêt primordial de l’Algérie pour assurer la nourriture de qualité - entre autres, sans OGM - des Algériens d'aujourd'hui et de demain
- la réhabilitation des immenses terres abandonnées depuis belle lurette afin d'y récolter des produits de qualité, destinés au marché local, à celui du partenaire et, pourquoi pas à l'exportation
- la création de nouveaux espaces agricoles, vu l'immense gisement que recèle notre pays, compte tenu que les terres arables représentent seulement 3,2% de la superficie de l’Algérie. Autrement dit, seulement 8 Millions d’hectares sur les 250 du pays dont 80% sont en zone désertique.
- la nature structurante de cette entreprise, comme le développement et même la création de nouvelles ressources hydriques, les emplois directs et indirects, le conditionnement et la transformation des produits agricoles aux normes internationales, les immenses espaces de conservation à la hauteur des rendements et bien sûr les emplois dans tous les secteurs concernés.
- la mise à niveau graduelle des agriculteurs algériens, pour peu qu'ils soient formés, sur le terrain, par le partenaire et les amener à des niveaux de rendements plus profitables.
- et surtout pour casser, enfin, cette spirale inflationniste, basée sur l’informel et la spéculation, qui se répercute sur les pauvres bourses.
ce sera également le point final à cette politique de subvention qui a ruiné notre économie - PNDA, effacement de la dette dans le secteur agricole, moult fois concédée - pour les résultats que l'on connait trop bien
il serait intéressant de connaître l’opinion des uns et des autres
sous la forme d’une « location » à moyen et/ou long terme de terres arables à un État-Partenaire stratégique, pour une production agricole et un élevage qualitatifs et quantitatifs.
En vue, bien sûr, et dans une première phase, de passer progressivement à une auto-suffisance alimentaire.
Et dans une seconde phase, de passer à l'exportation; et là, il est permis de penser au marché des agrumes, des céréales, des fruits exotiques et autres produits dérivés. Tout est dans le choix du partenaire, de ses ambitions, de son agressivité sur le marché mondial etc.
Un partenariat gagnant-gagnant est largement envisageable.
En effet, l’Algérie aurait tout à gagner en optant pour un partenariat stratégique, surtout si, à fortiori, cet État-Partenaire est membre du Conseil de Sécurité, avec droit de véto: ce serait un judicieux placement sur le long terme, pour ne pas dire UNE ASSURANCE-VIE pour l’Algérie.
Parce que, dans une telle constellation, celui qui « touchera » à l’Algérie, touchera à la sécurité alimentaire de cet État-Partenaire.
il suffit juste de signaler que 2 Chinois sur 3 sont agriculteurs, soit près d’1 Milliard d’agriculteurs qui s’échinent, chaque jour que Dieu fait, à nourrir 1,4 Milliards de personnes. Le défi est immense et il y arrivent quand même!!
je pense qu’il y a vraiment matière à entreprendre, dès à présent, une sérieuse réflexion sur ce sujet.
car, sans se voiler la face, il faut bien admettre que notre agriculture, quoi que puissent avancer les officiels gouvernementaux, est, globalement, sinistrée depuis pratiquement des décennies.
il faut également admettre que dans les pays avancés en matière d'agriculture, des rendements, inimaginables chez nous, y sont réalisés, an après an… ce qui représente, vu sous notre angle, un immense manque à gagner, an après an. nous en sommes réduits à pratiquement tout importer, ce qui est à la limite immoral
il est clair qu'un tel projet doit être pensé et mûri avec toute la minutie nécessitée par une telle entreprise, aussi bien au niveau État à État, qu’au niveau privé à privé car les potentialités sont immenses, pour peu que les lignes directrices soient clairement définies, comme par exemple :
- l’intérêt primordial de l’Algérie pour assurer la nourriture de qualité - entre autres, sans OGM - des Algériens d'aujourd'hui et de demain
- la réhabilitation des immenses terres abandonnées depuis belle lurette afin d'y récolter des produits de qualité, destinés au marché local, à celui du partenaire et, pourquoi pas à l'exportation
- la création de nouveaux espaces agricoles, vu l'immense gisement que recèle notre pays, compte tenu que les terres arables représentent seulement 3,2% de la superficie de l’Algérie. Autrement dit, seulement 8 Millions d’hectares sur les 250 du pays dont 80% sont en zone désertique.
- la nature structurante de cette entreprise, comme le développement et même la création de nouvelles ressources hydriques, les emplois directs et indirects, le conditionnement et la transformation des produits agricoles aux normes internationales, les immenses espaces de conservation à la hauteur des rendements et bien sûr les emplois dans tous les secteurs concernés.
- la mise à niveau graduelle des agriculteurs algériens, pour peu qu'ils soient formés, sur le terrain, par le partenaire et les amener à des niveaux de rendements plus profitables.
- et surtout pour casser, enfin, cette spirale inflationniste, basée sur l’informel et la spéculation, qui se répercute sur les pauvres bourses.
ce sera également le point final à cette politique de subvention qui a ruiné notre économie - PNDA, effacement de la dette dans le secteur agricole, moult fois concédée - pour les résultats que l'on connait trop bien
il serait intéressant de connaître l’opinion des uns et des autres
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