Pour ton souvenir ma princesse...
Tu aurais apprécier....
Déjà LAid, le temps s’envole
La course sans relâche d’un train en marche
Sous les vitres et lustres allumés
Dans les chambres des souvenirs
J’ai endossé un nouveau visage
Sur une tenue de cérémonie
Et j’ai enterré le désir
Intrépide de t’avoir à mes côtés
Dans le miroir, il y a une autre femme
Et je ne vois pas de peur dans son regard
Comme ton absence est précieuse
Dans cette délectée récurrence
A l’est le jour piaffe d’impatience
Il ne tardera pas
Regarde l’aube qui t’apprend à sourire
Elle paraît presque t’inviter à renaître
Tout commence, vieillit, change de forme
Mon amour, tout se transforme
L’atmosphère d’un rêve s’oublie avec le temps
Déjà LAid, le temps s’envole
Tous à table, ça va être froid
Mon père avec sa fausse barbe
Et un joli sourire
Et la vie déferle impétueuse
Dans l’urgence de la prospective
Je vois déjà les yeux de ma soeur
Et ses souvenirs dans la maison
A l’est le jour piaffe d’impatience
Et la nuit dépose les armes et l’obscurité
Regarde l’aube qui t’apprend à sourire
Elle paraît presque t’inviter à renaître
Tout commence, vieillit, change de forme
Mon amour, tout se transforme
Même la douleur la plus atroce peut se domestiquer
Tout commence, vieillit, change de forme
Mon amour, tout se transforme
En se fermant au coucher du soleil, une fleur se régénère
Reposes en paix...
SRB
Tu aurais apprécier....
Déjà LAid, le temps s’envole
La course sans relâche d’un train en marche
Sous les vitres et lustres allumés
Dans les chambres des souvenirs
J’ai endossé un nouveau visage
Sur une tenue de cérémonie
Et j’ai enterré le désir
Intrépide de t’avoir à mes côtés
Dans le miroir, il y a une autre femme
Et je ne vois pas de peur dans son regard
Comme ton absence est précieuse
Dans cette délectée récurrence
A l’est le jour piaffe d’impatience
Il ne tardera pas
Regarde l’aube qui t’apprend à sourire
Elle paraît presque t’inviter à renaître
Tout commence, vieillit, change de forme
Mon amour, tout se transforme
L’atmosphère d’un rêve s’oublie avec le temps
Déjà LAid, le temps s’envole
Tous à table, ça va être froid
Mon père avec sa fausse barbe
Et un joli sourire
Et la vie déferle impétueuse
Dans l’urgence de la prospective
Je vois déjà les yeux de ma soeur
Et ses souvenirs dans la maison
A l’est le jour piaffe d’impatience
Et la nuit dépose les armes et l’obscurité
Regarde l’aube qui t’apprend à sourire
Elle paraît presque t’inviter à renaître
Tout commence, vieillit, change de forme
Mon amour, tout se transforme
Même la douleur la plus atroce peut se domestiquer
Tout commence, vieillit, change de forme
Mon amour, tout se transforme
En se fermant au coucher du soleil, une fleur se régénère
Reposes en paix...
SRB