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Inauguration du métro d'Alger Une des rares réussites de l'ère Bouteflika mais un succès français

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  • Inauguration du métro d'Alger Une des rares réussites de l'ère Bouteflika mais un succès français

    Trente ans après le lancement du chantier, le métro d’Alger sera enfin inauguré, lundi 31 octobre, par le président Abdelaziz Bouteflika pour une mise en service commerciale mardi 1er novembre. L’inauguration sera faite en grande pompe. D'une longueur initiale de 8,6 km, le métro d'Alger reliera la Grande Poste au quartier Al Badr à Kouba et desservira 10 stations. A sa taille modeste, s’ajoute une autre contrainte pour les passagers : le prix du billet. Fixé à 50 dinars pour un trajet simple, il risque de constituer un véritable handicap pour les petites bourses et se transformer davantage en un objet de curiosité qu’un moyen de transport de masse.

    Mais malgré ces contraintes, le président Bouteflika aura un grand motif de satisfaction en inaugurant lundi le métro. De tous les grands projets d’infrastructure lancés ou relancés depuis son accession au pouvoir, cette première ligne du métro d’Alger est le premier projet qui sera livré dans sa totalité. Tous les autres projets sont en panne et connaissent d’importants retards ou n’avancent pas. En 2009, lors de la campagne électorale pour son troisième mandat, le candidat Bouteflika n’a pas eu un seul projet à inaugurer. Et lors de ses rares sorties sur le terrain, le président de la République se contente d’inaugurer quelques programmes de logements ou des infrastructures de taille modeste. Mais rien qui puisse symboliser de grands travaux.

    L’exemple qui illustre le plus cette situation est l’autoroute Est‑Ouest. La réalisation a été confiée en septembre 2006 aux groupements chinois Citic‑CRCC et japonais Cojaal pour un délai de 40 mois et une enveloppe de 12 milliards de dollars. Mais entre scandales de corruption, surcoûts, retards, mauvaise qualité des travaux déjà réalisés, le projet qui devait symboliser les grands chantiers du second mandat de Bouteflika s’avère une grande déception. L'autoroute devait être livrée le 18 janvier 2010 mais elle ne sera pas achevée avant 2013, si la cadence actuelle des travaux est maintenue.

    Même constat dans le secteur des transports, un secteur stratégique. Doté d’une enveloppe de 30 milliards de dollars, le ministère des Transports n’a pas réussi à nantir l’Algérie des infrastructures nécessaires. La quasi‑totalité des projets lancés dans les chemins de fer ont par exemple été annulés, souvent après des soupçons de corruption. Hormis le renouvellement de certaines lignes et le lancement du train électrique de la banlieue d’Alger, rien n’a été fait dans ce domaine. Dans le secteur de l’habitat, le programme prévoyant la réalisation de deux millions de logements n’a été que partiellement réalisé. L’absence d’une gestion rigoureuse et d’un fichier national du logement a favorisé la corruption et créé des situations de frustration parmi les populations, notamment dans les grandes villes. En septembre, les opérations de relogement se sont déroulées dans un climat de grande tension, avec plusieurs émeutes, notamment à Alger.


    Le métro d’Alger, un projet qui n’a rien d’algérien

    Lundi, le président Bouteflika va inaugurer un projet auquel les Algériens n’ont participé que financièrement, à coups de centaines de millions d’euros. La réalisation a été confiée à un groupement européen : les sociétés allemande Siemens, française Vinci et espagnole CAF, pour un montant total de 380 millions d'euros. Un coût qui vient s’ajouter aux sommes englouties par le passé dans ce projet. Au total, le métro d’Alger aura coûté, selon plusieurs estimations, plus d’un milliard d’euros. Malgré ces sommes dépensées, aucune entreprise algérienne n’a acquis un savoir‑faire qui puisse servir dans les futurs projets du même type.

    L’exploitation du métro sera assurée par la société RATP‑El Djazaïr, filiale de la RATP française. Là encore, ce sont les Français qui se chargeront de l’essentiel des tâches sérieuses et techniques : faire rouler le métro, assurer un bon fonctionnement des systèmes de sécurité, etc. Les Algériens seront présents avec 400 agents de sécurité. Tout un symbole, 50 ans après l’indépendance de l’Algérie.


    TSA
    Samir Allam

  • #2
    Ah le métro d'Alger!

    Je me rappelle avec tristesse quand j'ai visité les premières excavations innondées à Alger!
    C'est là que j'ai appris le projet du métro en 1978 je crois.

    Je me rappelle avoir approché un ami ingénieur de Ponts et Chaussées (dans un ministère) et pendant notre conversation je lui ai souligné que la topologie de l'algérois n'était pas facile pour construire un métro.

    J'ai suggéré alors le retours au bon vieux TRAMWAY pour quadeiller la ville....

    Aujourd'hui apres une dépense d'environ 900 Millions d'Euros et une DIZAINE de kilomètres, je ne vois pas de quoi se réjouir!

    Je parlais à quequ'un à Alger qui me disait que la position de la ligne, le coût du ticket et l'apréhension des passagers (sécurité), tout ça ne presage pas beaucoup de bien....

    Une chose est sure: Il faut attendre le peuple d'Alger pour donner son verdict.
    Dernière modification par Avucic, 30 octobre 2011, 22h10.
    L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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    • #3
      Aujourd'hui apres une dépense d'environ 900 Millions d'Euros et une DIZAINE de kilomètres, je ne vois pas de quoi se réjouir!
      Si ,Monsieur Avucic, ce métro a traversé les temps , il a une histoire déjà , l’ère Chadli, la décennie noire , enfin Boutef , les difficultés du terrain , la précarité des moyens technologiques et matériels du pays ...

      Il a comme même vu le jour ce métro , malgré qu'il ne verra jamais le jour , a ces quelques kilomètres s'ajouteront d'autres kilomètres et inchallah il sera un grand métro !!!

      Il faut positiver Monsieur Avucic , la vie est belle

      Dernière modification par river, 31 octobre 2011, 01h02.

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      • #4
        Je me rappelle avec tristesse quand j'ai visité les premières excavations innondées à Alger!
        C'est là que j'ai appris le projet du métro en 1978 je crois.
        Je me rappelle bien et c'était en 1975 après la construction de l’hôtel Aurassi qui s'est affaissé en cours de construction et des ingénieurs disaient que le métro d'Alger est une utopie.

        Je me rappelle avoir approché un ami ingénieur de Ponts et Chaussées (dans un ministère) et pendant notre conversation je lui ai souligné que la topologie de l'algérois n'était pas facile pour construire un métro.
        certes ce n'était pas facile mais possible et me fait rappeler ce proverbe :
        " ils ne savaient pas que c'était impossible alors ils l'ont fait "

        J'ai suggéré alors le retours au bon vieux TRAMWAY pour quadeiller la ville....
        C'est bien mais renforcée par des lignes de métro c'est mieux.

        Aujourd'hui apres une dépense d'environ 900 Millions d'Euros et une DIZAINE de kilomètres, je ne vois pas de quoi se réjouir!
        *parfois il faut penser aux génération futures.
        Je parlais à quequ'un à Alger qui me disait que la position de la ligne, le coût du ticket et l'apréhension des passagers (sécurité), tout ça ne presage pas beaucoup de bien....
        soyons positifs !

        Une chose est sure: Il faut attendre le peuple d'Alger pour donner son verdict.
        Les Algérois ont déjà donné leurs verdict : il n'est jamais trop tard pour bien faire
        Dernière modification par absent, 30 octobre 2011, 22h09.

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        • #5
          d'euros. Un coût qui vient s’ajouter aux sommes englouties par le passé dans ce projet. Au total, le métro d’Alger aura coûté, selon plusieurs estimations, plus d’un milliard d’euros. Malgré ces sommes dépensées, aucune entreprise algérienne n’a acquis un savoir‑faire qui puisse servir dans les futurs projets du même type.
          je vois pas vraiment pourquoi il dit ça ?? quand un pays achéte un avion airbus ou boeing , pareil il n' acquière aucune technologie qui pourra lui servir , et personne ne trouve a y redire
          c'est insi que marche les chose , tu a besoin d'un metro , tu sais pas le faire , tu paye quelqu'un pour le faire , c'est comme quand tu fait venir un peintre chez toi , tu le paye et le taf est fait , tu n'en a rien a foutre d’apprendre ou pas a peindre tes mure
          tu tombe je tombe car mane e mane
          après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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          • #6
            le métro d’Alger aura coûté, selon plusieurs estimations, plus d’un milliard d’euros.
            L'affaire Khalifa a englouti beaucoup plus , et la , on a un métro , n'est ce pas plus intéressant

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            • #7
              relax guys, it's just TSA deliriums.

              galou "Une des rares réussites de l'ère Bouteflika mais un succès français".

              de 1, s'il y a reussite, ce n'est pas celle de boutef, mais celle de l'algerie.
              et de 2 les francais, allmends, and co n'ont pas attendus notre dizaine de Km de metro pour prétendre a un succes.

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              • #8
                30 ans aprés et on parle de succés? et pour 9 malheureux kms?

                ça profitera peut-être aux enfants de kadhafi de prendre ce fumeux métro.

                Et vous avez des infos concernant la fusée à 3 milliards qui ne décollera jamais ?
                Dernière modification par uyidir, 31 octobre 2011, 11h30.

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                • #9
                  30 ans aprés et on parle de succés?
                  et tu aimerais qu'on parle de quoi au juste ?

                  un projet qui a pris du retard et qui etait à l'arret entre 1986 et 2006 et qu'on vient de receptionner malgré tout, on va dire non, il est ne retard , reprenez le , on en veut pas.

                  Il y a des pays ou pour l'inauguration d’une station touristique ou un casino, une ligne de chemin de fer te font la une des JT pendant 12 mois avant et 12 mois après et lorsqu’on les algériens veulent fêter un peu la réception du deuxième métro de l’Afrique, l’unique au Maghreb vous venez leur casser la pipe







                  entre nous, il est le beau le métro d'Alger hein
                  Dernière modification par azouz75, 31 octobre 2011, 11h54.
                  .


                  Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                  Commentaire


                  • #10
                    projet de "l'aube" Activités Mohamed: "L'étape la plus difficile dans la réalisation a été, cependant, un trav

                    Vol des Français pendant la décennie noire n'a pas empêché notre détermination
                    Nous devons honorer les travailleurs algériens et de la valeur de leurs efforts et les sacrifices
                    Considéré nombreux Algériens que le projet «Metro Algérie» a commencé dans les années quatre-vingt et a pris ses travaux trente ans, mais le fait est que fonctionne "projet du siècle" n'a pas commencé avant le début des années nonante, après plusieurs années d'études géo - qualité technique de terrain en coordination avec les consultants de l'étranger .
                    Pour en apprendre plus de détails plus précis du lancement des travaux et les obstacles rencontrés par les entreprises de réalisation nous avons eu cette conversation avec l'ingénieur, Mohammed Shata, un responsable des ateliers du projet "Metro" à partir du bureau de poste central jusqu'à la station "Arsenal" Square le premier mai dans la période entre 1990-1999 . Au début, nous tenons à nous raconter l'histoire du début officiel du métro de travail et les entreprises qui ont préparé les études préliminaires pour le projet? quand on parle de "Metro Algérie» doit d'abord clarifier le point important est que les travaux du projet n'a pas eu lieu du tout dans les années quatre-vingt comme le croit la majorité des Algériens, mais La première étape de l'excavation ont commencé déjà en 1991, mais la décision politique d'achever le projet a été prise au début des années quatre, lorsque le Conseil a décidé le gouvernement a alloué un budget pour l'achèvement du réseau de métro en Algérie, en dépit des projets que notre pays alors n'étaient pas les entreprises ont déjà terminé de ce type. Ainsi, il a été lancé un appel d'offres international a été évacué sélection d'entreprises », Eraetbi" et "Paris", pour commencer le processus de préparation des études de base sur le projet, qui a duré entre 1982 et 1985, soit immédiatement après la pose de la première pierre du parti de l'ancien président Chadli Ben Jedid Message de la gare centrale, et a fait les deux sociétés un contour autour du métro, qui se compose de trois principaux axes d'une longueur sur un total de 56 km, et les 54 stations, en raison de l'axe long des trois et la demande de fonds substantiels ont été limitées à un axe central qui s'étend de la porte de la vallée pour une lune quartier plein le long de la de 12,5 km à rétrécir l'axe après la station-mail Centrale au quartier de la pleine lune. Après l'achèvement des études, de la géo - technique, elle a commencé à travailler réels du projet, quelles sont les entreprises chargées de la tâche de réalisation? Oui, après la décision politique d'achever le projet a été l'établissement d'un «métro Algérie" coût public des deux entreprises Alamometin "Kosadar» et "Jenny Cedar« accomplissement en s'appuyant sur ​​Hraktehma avec des entreprises françaises et polonaises dans le domaine du forage, "Metro" du tunnel, afin de guider la main-d'œuvre n'a pas l'expérience et des technologies modernes dans le domaine, parce que le travail algérienne dont ils ont besoin pour apprendre de nouvelles technologies. Et confiée à la société "Kosadar" que vous avez travaillé, où la société d'environ 400 travailleurs et un cadre serait de compléter le lien de ligne entre la Poste gares Centrale et Bokhalfah successeur dans la première phase, alors que le coût, "Jenny Cèdre" l'achèvement de la ligne restante, et doit confirmer le point important est que plus de 90 pour cent de la population active dans le projet sont l'Algérie, tandis que le reste des travailleurs de différentes nationalités en français, allemand et espagnol. Ont démontré l'efficacité au niveau national élevé, bien que les salaires versés aux travailleurs algériens beaucoup plus bas que ceux pratiqués par les étrangers. Pourriez-vous nous dire sur les conditions économiques et la sécurité qui a accompagné le démarrage des travaux du métro? en fait, contribué à la hausse du pétrole depuis la fin des années soixante-dix à des niveaux record touché le toit 44 $ le baril à la décision d'injecter de l'argent pour le démarrage de ce projet, a été lancé la première étude à fournir une perception générale sur le projet dans le mois d'avril 1982, mais le vent souffle de notre côté, alors que les prix du pétrole ont chuté brutalement en 1986 en dessous du seuil de 11 dollars le baril , conduisant à enregistrer un important déficit de la trésorerie de l'Etat, et a été évacué vers une décision de gel d'un grand nombre de projets, notamment une règle de projet «Metro Algérie." Les mauvaises conditions économiques du pays a connu et la crise financière qui a frappé l'économie nationale hypothéqué l'état de la capacité de fournir du matériel pour le projet, mais le Premier ministre d'alors, le regretté Kasdi Merbah, collé à la réalisation du projet grâce à des ressources financières disponibles. Et en fait continué à travailler, à faire face après le vrai dilemme est dans le retrait des experts français du projet et de quitter définitivement l'Algérie en raison de préoccupations de sécurité, d'autant que l'Algérie est connue à ce défis de sécurité du temps et des crises est difficile, alors j'ai décidé d'entreprises françaises à se retirer, même des termes violation de l'accord, craignant pour la sécurité et la sûreté des pneus, seul à avoir les responsables du projet eux-mêmes à ce nouveau défi. N'a pas la garde ne reste que deux options, soit à abandonner l'idée de poursuivre le projet ou la réalisation d'œuvres sans l'utilisation de l'expérience française. Comme nous le savons l'identité de l'entêtement algérien, les responsables ont décidé de poursuivre le projet dans les mains de main-d'œuvre locale et les pneus Algérie, qui est ce que je considère un défi courageux de responsables du parti qui voulait montrer sa force et sa détermination en Algérie. Nous devons attirer l'attention des lecteurs que l'étape la plus difficile et face au projet a été lancé en travaillant Algérie défier toutes les adversités Pour enlever le "nouveau bébé" dans la lumière, malgré les maigres ressources financières, d'autant que le Groupe n'a pas reçu un salaire mensuel seule fois en 3 mois. Cela n'a pas empêché la détermination des travailleurs, mais aussi décerné une détermination à atteindre le «rêve», et il fait mal eux-mêmes est en charge de l'absence générale de sérieux dans le projet et qui ont enduré pour terminer les travaux, et la nature de la géologie, la terre de la capitale a formé un défi majeur et à gauche des problèmes techniques difficiles à surmonter et facilement perturbés avancement du projet. dans le cadre du projet pour parler aux Vous avez parlé des obstacles les plus importants rencontrés par les ingénieurs et les travailleurs de compléter le métro fonctionne? Pouvez-vous plus de détails sur les plus importants de ces problèmes? Je pense que les autorités d'empêcher l'utilisation de la dynamite dans l'excavation en 1993 pour des raisons de sécurité est le problème le plus important dans le visage des travaux, en particulier le fait que le sol via la Poste centrale - Khalifa Bokhalfah très difficile d'être une roche est impossible de percer en utilisant une prise électrique marteau-piqueur Donc, je pense que le projet manquait de la décision politique de poursuivre plutôt que de la marche réelle lentement. Mais les conditions de sécurité qui prévalait à l'époque et le grand nombre d'attentats et d'assassinats a fait des citoyens algériens en général et le Metropolitan, en particulier beaucoup de pression direct, il a suggéré responsables empêcher l'utilisation de ces explosions qui ont été harceler la population, bien que l'étude a utilisé, de sorte qu'ils sont le dynamitage de la présence quotidienne des agents de sécurité qui sont désireux d'utiliser les quantités requises de explosifs pour la sécurité et la sûreté des travailleurs et des bâtiments, l'ancienne capitale. Sur l'enveloppe financière allouée au projet, la façon dont le budget initial? en fait je ne suis pas autorisé à donner ces détails financiers, mais selon les déclarations de fonctionnaires, dirigée par le ministre des Transports Tou Amar, le coût de l'achèvement de la première ligne d'environ 90 milliard de DA dans les travaux d'extension seront financés au titre du programme pour le prochain quinquennat 2010-2014, n'a pas annoncé les détails à cet égard. Pouvez-vous clarifier pour nous la période pendant laquelle Ohrvathm et des ateliers sur le projet? vous êtes un ingénieur avec la "Kosadar« le public a supervisé le projet 1990 à 1999 et est l '«année de l'enfer" pour le personnel de l'entreprise en raison de la crise financière difficile, qui a été vu par les différentes institutions publiques de licenciements, et pris leur retraite avant d'aller volontairement, et vous êtes parmi les pneus, qui ont préféré aller volontaire, et le changement de la profession pour des raisons purement économiques. Je crois que l'État doit honorer les travailleurs qui ont bravé tous les obstacles pendant la décennie noire et continuer à travailler malgré les conditions difficiles, si la suspension du projet dans les années des années nonante, nous avons parlé aujourd'hui sur le lancement du projet. Doit apprécier les efforts de ceux qui au lieu de réduire leur activité

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                    • #11
                      Métro d’Alger 1914 première étude de construction

                      Deux Guerres Mondiales et une guerre de Libération ont été nécessaires pour voir le démarrage du métro d’Alger.
                      La première étude de sa construction a été déposée en 1914, suivie de plusieurs autres en 1925, 1929, 1934 mais ce n’est qu’en 1982 que l’étude a été validée et approuvée, et ce n’est qu’en 2011 qu’il sera mis en service. En comparaison, le Métro de Tunis a été mis en service en 1985 et celui de Casablanca le sera en 2015.
                      La première section de chemin de fer au Maghreb a été réalisée entre Alger et Blida en 1862 sur une distance de 51 kilomètres, celle de Tunis en 1875 et celle du Maroc en 1900, à des fins économiques et militaires.l’expression
                      hommage pour ceux qui ont participé à sa réalisation patrick le berrigaud

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                      • #12
                        il ne faut pas parler san savoire

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                        • #13
                          Inauguration du métro d'Alger Une des rares réussites de l'ère Bouteflika mais un succès français
                          C'est jour de tristesse, de consommation à outrance de pansements gastriques chez TSA

                          Les pauvres, ça leur a arraché la gueule de reconnaître une réussite à Boutef...

                          Les esprits chagrins : kemdou oua berdou
                          « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                          • #14
                            Aller le metro existe a Alger , le defit algerien , impossible n est pas français , l expérience acquise !!!
                            les algérois sont heureux
                            Mabrouk a3lihoum
                            Blablater , ça sert à rien : le métro roule !!!!
                            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                            Commentaire


                            • #15
                              En comparaison, le Métro de Tunis a été mis en service en 1985 et celui de Casablanca le sera en 2015


                              il n y a pas de metro a casablanca, l auteur semble fantasmer , en 2015 ca sera le tram et non le metro, nous nous devrons peut etre attendre 2100 pour voir le metro bien sur apres dessechement de la fausse nappe phreatique au dessous de casa,.

                              grand canular de nos politiciens,

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