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Le chef de l’Etat malien, Amadou Toumani Touré, était, hier, l’hôte de la «capitale de la culture islamique». Un qualificatif donné à cette visite pour lui enlever toute interprétation politique.
D’ailleurs, «l’invité de l’Algérie» a précisé dans une brève allocution au siège du nouveau cabinet de la wilaya que «j’ai choisi de visiter Tlemcen parce que c’est la ville de mon ami le président Bouteflika». Et d’ajouter : «Il y a aussi beaucoup de mes amis qui sont de cette région, comme le ministre algérien de l’Intérieur et des Collectivités locales, ici présent, qui, d’ailleurs, m’a donné une grande leçon d’histoire sur la région tlemcénienne pendant tout le trajet de l’aéroport à la ville.» Le président malien, accompagné de Daho Ould Kablia (ancien wali de Tlemcen), de Abdelkader Messahel et de l’adjoint au chef de la 2e Région militaire, a eu à visiter les sites historiques, le mausolée Sidi Boumediene, le nouveau palais de la culture d’Imama et le plateau de Lalla Setti, ainsi que le gigantesque pôle universitaire.
Impressionné par la splendeur de la ville et de ses infrastructures, Amadou Toumani Touré n’a pas manqué de trouver «de grandes similitudes entre Tlemcen et Tombouctou» et d’inviter officiellement, à cette occasion, le wali de Tlemcen à visiter le Mali et «de constater de visu ces ressemblances». A l’université où une communauté estudiantine l’attendait, il reconnaîtra que «cette université a formé des cadres de la nation qui sont aujourd’hui en exercice au Mali. Je tiens à remercier l’université algérienne pour la bonne prise en charge de nos étudiants», dira-t-il. A quelque 25 mn de là, à Maghnia exactement, des ressortissants clandestins maliens élisent domicile sur les berges de l’oued Jorji, en attendant d’humer l’air ibérique. Mais cela est une autre histoire non comprise dans le programme de cette visite. Vers 15h30, une réception a été organisée à l’hôtel les Zianides, en l’honneur du chef de l’Etat malien et de la délégation qui l’accompagnait, avant de regagner Alger en fin d’après-midi.
Chahredine Berriah
el watan
D’ailleurs, «l’invité de l’Algérie» a précisé dans une brève allocution au siège du nouveau cabinet de la wilaya que «j’ai choisi de visiter Tlemcen parce que c’est la ville de mon ami le président Bouteflika». Et d’ajouter : «Il y a aussi beaucoup de mes amis qui sont de cette région, comme le ministre algérien de l’Intérieur et des Collectivités locales, ici présent, qui, d’ailleurs, m’a donné une grande leçon d’histoire sur la région tlemcénienne pendant tout le trajet de l’aéroport à la ville.» Le président malien, accompagné de Daho Ould Kablia (ancien wali de Tlemcen), de Abdelkader Messahel et de l’adjoint au chef de la 2e Région militaire, a eu à visiter les sites historiques, le mausolée Sidi Boumediene, le nouveau palais de la culture d’Imama et le plateau de Lalla Setti, ainsi que le gigantesque pôle universitaire.
Impressionné par la splendeur de la ville et de ses infrastructures, Amadou Toumani Touré n’a pas manqué de trouver «de grandes similitudes entre Tlemcen et Tombouctou» et d’inviter officiellement, à cette occasion, le wali de Tlemcen à visiter le Mali et «de constater de visu ces ressemblances». A l’université où une communauté estudiantine l’attendait, il reconnaîtra que «cette université a formé des cadres de la nation qui sont aujourd’hui en exercice au Mali. Je tiens à remercier l’université algérienne pour la bonne prise en charge de nos étudiants», dira-t-il. A quelque 25 mn de là, à Maghnia exactement, des ressortissants clandestins maliens élisent domicile sur les berges de l’oued Jorji, en attendant d’humer l’air ibérique. Mais cela est une autre histoire non comprise dans le programme de cette visite. Vers 15h30, une réception a été organisée à l’hôtel les Zianides, en l’honneur du chef de l’Etat malien et de la délégation qui l’accompagnait, avant de regagner Alger en fin d’après-midi.
Chahredine Berriah
el watan
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