Une récente mission à Alger, du FMI, dirigé par Joël Toujas Bernaté, a félicité le gouvernement pour sa prudente gestion macroéconomique qui a permis à l’Algérie de maitriser son inflation et de constituer des réserves financières importantes utilisées en soutien des investissements publics.
Le principal défi reste l’amélioration du climat des affaires et la diversification de la structure productive, avec le développement d’un secteur privé dynamique, capable de créer de la valeur et d’offrir des emplois et des perspectives d’évolution professionnelle à une population de jeunes qui sont touchés majoritairement par le chômage (20%). Ces deux problèmes résolus, l’Algérie serait ainsi en capacité de réaliser une croissance à deux chiffres.
En dépit de ses importantes recettes d’exportation d’hydrocarbures, le pays est classé au 148eme rang du rapport Doing Business 2012 de la Banque mondiale, 54 places derrière son voisin marocain nettement moins favorisé par la nature. Les dernières mesures identifiées lors de la Tripartite en faveur du secteur privé devraient permettre d’améliorer cette position.
Un autre chantier reste la rationalisation des dépenses courantes et la modernisation de l’Etat pour en faire un Etat stratège, capable de maintenir et d’amplifier la position stratégique de l’Algérie.
Agence Ecofin
Le principal défi reste l’amélioration du climat des affaires et la diversification de la structure productive, avec le développement d’un secteur privé dynamique, capable de créer de la valeur et d’offrir des emplois et des perspectives d’évolution professionnelle à une population de jeunes qui sont touchés majoritairement par le chômage (20%). Ces deux problèmes résolus, l’Algérie serait ainsi en capacité de réaliser une croissance à deux chiffres.
En dépit de ses importantes recettes d’exportation d’hydrocarbures, le pays est classé au 148eme rang du rapport Doing Business 2012 de la Banque mondiale, 54 places derrière son voisin marocain nettement moins favorisé par la nature. Les dernières mesures identifiées lors de la Tripartite en faveur du secteur privé devraient permettre d’améliorer cette position.
Un autre chantier reste la rationalisation des dépenses courantes et la modernisation de l’Etat pour en faire un Etat stratège, capable de maintenir et d’amplifier la position stratégique de l’Algérie.
Agence Ecofin
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