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Cet enfant de 12 ans a été kidnappé et assassiné juste pour une question d'héritage. ces meurtriers ont été arrétes.
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Les auteurs présumés du rapt et de l’assassinat du jeune écolier d’Agouni-Boufal, dans la commune de Souk El T’nin, daïra de Maâtkas et interpellés par la police à peine quarante-huit heures après leur horrible forfait comme rapporté dans l’une de nos précédentes éditions, ont été inculpés par le procureur de la République ce 24 mai.
Selon le communiqué émanant de la Sûreté de wilaya de Tizi Ouzou «les services de police judiciaire ont mis tous les moyens en oeuvre, et après un travail de recherches minutieuses, il a été permis 48 heures après l’enlèvement du jeune écolier Hedjar Ali âgé de 12 ans, de retrouver son corps et l’identification et l’arrestation des auteurs de l’enlèvement et du crime» Il s’agirait, selon la police, «de trois jeunes gens originaires du même village que la victime», qui ont été présentés devant le procureur sous les chefs d’accusation: d’association de malfaiteurs, enlèvement de mineur sous la menace, séquestration, homicide volontaire avec préméditation, dissimulation de corps, fabrication d’armes à feu artisanales, détention d’armes sans autorisation et exploitation de plants de cannabis.
Ainsi, le procureur de la République a placé sous mandat de dépôt les nommés H.S., 23 ans, et K.S., 47 ans. Comme le communiqué de la police souligne que, lors des perquisitions domiciliaires, il a été récupéré en possession des accusés deux armes à feu artisanales et deux cagoules, ce qui laisse à penser, toujours selon la police, que «les mis en cause seraient les auteurs de méfaits et des faux barrages dressés ces derniers temps dans la localité de Maâtkas et ses environs». Rappelons que, selon les villageois, le crime a pour origine une question d’héritage. La famille de la victime n’ayant que des filles (trois) et la victime, le jeune Ali, qui est, selon la loi, non écrite kabyle, l’unique héritier présumé de la famille qui, sans être immensément riche, serait une famille aisée. En effet, le père, qui se trouverait depuis au moins trois mois hospitalisé dans un institut de santé en France est un ancien émigré. La population de la région, encore sous le choc, n’en revenait pas d’apprendre combien le goût du lucre peut transformer des hommes en loups pour leurs semblables!
Par l'expression
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Les auteurs présumés du rapt et de l’assassinat du jeune écolier d’Agouni-Boufal, dans la commune de Souk El T’nin, daïra de Maâtkas et interpellés par la police à peine quarante-huit heures après leur horrible forfait comme rapporté dans l’une de nos précédentes éditions, ont été inculpés par le procureur de la République ce 24 mai.
Selon le communiqué émanant de la Sûreté de wilaya de Tizi Ouzou «les services de police judiciaire ont mis tous les moyens en oeuvre, et après un travail de recherches minutieuses, il a été permis 48 heures après l’enlèvement du jeune écolier Hedjar Ali âgé de 12 ans, de retrouver son corps et l’identification et l’arrestation des auteurs de l’enlèvement et du crime» Il s’agirait, selon la police, «de trois jeunes gens originaires du même village que la victime», qui ont été présentés devant le procureur sous les chefs d’accusation: d’association de malfaiteurs, enlèvement de mineur sous la menace, séquestration, homicide volontaire avec préméditation, dissimulation de corps, fabrication d’armes à feu artisanales, détention d’armes sans autorisation et exploitation de plants de cannabis.
Ainsi, le procureur de la République a placé sous mandat de dépôt les nommés H.S., 23 ans, et K.S., 47 ans. Comme le communiqué de la police souligne que, lors des perquisitions domiciliaires, il a été récupéré en possession des accusés deux armes à feu artisanales et deux cagoules, ce qui laisse à penser, toujours selon la police, que «les mis en cause seraient les auteurs de méfaits et des faux barrages dressés ces derniers temps dans la localité de Maâtkas et ses environs». Rappelons que, selon les villageois, le crime a pour origine une question d’héritage. La famille de la victime n’ayant que des filles (trois) et la victime, le jeune Ali, qui est, selon la loi, non écrite kabyle, l’unique héritier présumé de la famille qui, sans être immensément riche, serait une famille aisée. En effet, le père, qui se trouverait depuis au moins trois mois hospitalisé dans un institut de santé en France est un ancien émigré. La population de la région, encore sous le choc, n’en revenait pas d’apprendre combien le goût du lucre peut transformer des hommes en loups pour leurs semblables!
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