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Cette incroyable déclaration est l'oeuvre de Steven Rauschenberger, président de la national conference of state legislature US. Lorsqu'on sait que pour les républicains américains, l'Irak est désormais une démocratie, on comprend mieux leurs éloges à l'égard de notre grande et honorable démocratie!
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Steven Rauschenberger, président de la national conference of state legislature US - “Les États-Unis sont impressionnés par la démocratie algérienne”
Les États-Unis “sont impressionné s par la démocratie algérienne et optimistes” pour son avenir, a déclaré, hier, à l'APS, M. Steven Rauschenberger, membre du Sénat de l'Illinois et président de l'Organisation de coordination des chambres législatives des 50 États américains fédérés. “C'est la raison pour laquelle le Département d'État est intéressé par le programme d'échanges parlementaires, dont le but est de renforcer les liens entre l'Algérie et les États-Unis”, a souligné M. Rauschenberger, président de la National Conference of State Legislature (NCSL).
“Nous avons l'opportunité, en tant qu'Américains, d'apprendre de la part des Algériens, bien que notre expérience démocratique soit plus longue”, a-t-il indiqué. “À mon avis, a-t-il ajouté, le principal atout de la démocratie américaine est qu'elle permet un contact direct entre les élus et les électeurs, plus que ce qui est constaté, par exemple, dans le système français.” “Cette relation directe permet de faire évacuer toute frustration chez un électeur qui n'arrive pas à faire entendre sa voix par l'administration ou les législateurs”, a estimé l'expert américain. Il s'exprimait en marge d'un atelier de formation de quatre jours, ouvert hier à Alger, au profit de parlementaires algériens et animé par des experts américains.
Par Liberté
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Steven Rauschenberger, président de la national conference of state legislature US - “Les États-Unis sont impressionnés par la démocratie algérienne”
Les États-Unis “sont impressionné s par la démocratie algérienne et optimistes” pour son avenir, a déclaré, hier, à l'APS, M. Steven Rauschenberger, membre du Sénat de l'Illinois et président de l'Organisation de coordination des chambres législatives des 50 États américains fédérés. “C'est la raison pour laquelle le Département d'État est intéressé par le programme d'échanges parlementaires, dont le but est de renforcer les liens entre l'Algérie et les États-Unis”, a souligné M. Rauschenberger, président de la National Conference of State Legislature (NCSL).
“Nous avons l'opportunité, en tant qu'Américains, d'apprendre de la part des Algériens, bien que notre expérience démocratique soit plus longue”, a-t-il indiqué. “À mon avis, a-t-il ajouté, le principal atout de la démocratie américaine est qu'elle permet un contact direct entre les élus et les électeurs, plus que ce qui est constaté, par exemple, dans le système français.” “Cette relation directe permet de faire évacuer toute frustration chez un électeur qui n'arrive pas à faire entendre sa voix par l'administration ou les législateurs”, a estimé l'expert américain. Il s'exprimait en marge d'un atelier de formation de quatre jours, ouvert hier à Alger, au profit de parlementaires algériens et animé par des experts américains.
Par Liberté
! C'est la guerre assuree et cela pour la seule raison que Cherchell, contrairement au village du mont Chenoua, n'est plus berberophone depuis des lustres sans, pour autant, renier le fait (evident) que la population soit berbere.
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