Le partenariat dans le domaines de la formation….est une tres inititive.
La Business & Management University, sise à Genève et spécialisée dans les finances, envisage, indique son directeur général, M. Brahim Gacem, à long terme, d’ouvrir une école de formation en Algérie. Ce projet sera lancé, dira-t-il, probablement en partenariat avec les écoles de formation algériennes telles que l’école supérieure des banques.
L’école de formation helvétique a entamé, confie-t-il, des pourparlers avec les représentants de certaines banques publiques en vue d’assurer des formations à leurs cadres. Elle assure, également, des séminaires de formation et d’information sur les métiers de la finance, dont la durée est fixée, a-t-il avoué, à une semaine et ce, en collaboration avec la chambre de commerce et d’industrie algéro-suisse. Et pour cause, le directeur général de cette école s’est entretenu dernièrement avec Mourad Medelci, ministre des finances, afin d’examiner les opportunités de partenariat en termes de formation des cadres
des banques et des finances, ajoute-t-il.
“Notre université assure des formations basées sur le système américain et délivre des diplômes accrédités par plusieurs pays, dont les USA, la Suisse et l’Union européenne”, dira Kahina Nehar, professeur à la Business & Management University. Et d’affirmer : “Nous prévoyons de recruter des étudiants algériens en vue de suivre des sessions de formation en Business Administration et en finances et management international”. La première session de formation se déroulera, a-t-elle expliqué, en septembre 2006 alors que les deuxième et troisième sessions sont prévues respectivement en janvier et avril 2007. Le coût de la formation est estimé, a-t-elle révélé, à 800 euros, soit l’équivalent de 80 000 DA, sans compter les frais d’hébergement. Elle dispose, actuellement, de 250 enseignants, a-t-elle souligné. Cette école a déjà assuré la formation, a-t-elle affirmé, d’une vingtaine d’étudiants algériens. L’école suisse se positionne, a-t-elle argumenté, comme partenaire des pouvoirs publics dans la mise en place de la réforme financière et bancaire, principalement la modernisation du système de paiement de masse.
Les représentants de cette école participeront à la foire internationale d’Alger qui se tiendra à partir du 1er juin prochain.
- Liberte
La Business & Management University, sise à Genève et spécialisée dans les finances, envisage, indique son directeur général, M. Brahim Gacem, à long terme, d’ouvrir une école de formation en Algérie. Ce projet sera lancé, dira-t-il, probablement en partenariat avec les écoles de formation algériennes telles que l’école supérieure des banques.
L’école de formation helvétique a entamé, confie-t-il, des pourparlers avec les représentants de certaines banques publiques en vue d’assurer des formations à leurs cadres. Elle assure, également, des séminaires de formation et d’information sur les métiers de la finance, dont la durée est fixée, a-t-il avoué, à une semaine et ce, en collaboration avec la chambre de commerce et d’industrie algéro-suisse. Et pour cause, le directeur général de cette école s’est entretenu dernièrement avec Mourad Medelci, ministre des finances, afin d’examiner les opportunités de partenariat en termes de formation des cadres
des banques et des finances, ajoute-t-il.
“Notre université assure des formations basées sur le système américain et délivre des diplômes accrédités par plusieurs pays, dont les USA, la Suisse et l’Union européenne”, dira Kahina Nehar, professeur à la Business & Management University. Et d’affirmer : “Nous prévoyons de recruter des étudiants algériens en vue de suivre des sessions de formation en Business Administration et en finances et management international”. La première session de formation se déroulera, a-t-elle expliqué, en septembre 2006 alors que les deuxième et troisième sessions sont prévues respectivement en janvier et avril 2007. Le coût de la formation est estimé, a-t-elle révélé, à 800 euros, soit l’équivalent de 80 000 DA, sans compter les frais d’hébergement. Elle dispose, actuellement, de 250 enseignants, a-t-elle souligné. Cette école a déjà assuré la formation, a-t-elle affirmé, d’une vingtaine d’étudiants algériens. L’école suisse se positionne, a-t-elle argumenté, comme partenaire des pouvoirs publics dans la mise en place de la réforme financière et bancaire, principalement la modernisation du système de paiement de masse.
Les représentants de cette école participeront à la foire internationale d’Alger qui se tiendra à partir du 1er juin prochain.
- Liberte