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L’Arabie Saoudite offre un raccourci aérien à Israël pour bombarder l’Iran

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  • L’Arabie Saoudite offre un raccourci aérien à Israël pour bombarder l’Iran

    L’Arabie Saoudite offre un raccourci aérien à Israël pour bombarder l’Iran

    publié le jeudi 10 novembre 2011



    L’Arabie Saoudite offre un raccourci aérien à Israël pour bombarder l’Iran Dans le bras de fer qui oppose l’Iran au reste du monde, à travers le Conseil de Sécurité de l’ONU, au sujet de ses activités nucléaires dites sensibles, l’Arabie Saoudite est en train de faire place nette dans son ciel pour permettre à Israël de bombarder l’Iran en toute liberté, au nom de leur haine mutuelle de Téhéran.
    Selon le Times, le puissant royaume wahhabite, dont l’obscurantisme n’a jamais rebuté ses indéfectibles alliés occidentaux, vient de procéder à une série d’essais afin de retirer ses défenses anti-aériennes pour faciliter un éventuel raid israélien sur les installations nucléaires iraniennes.
    C’est un précieux raccourci qu’offre là l’Arabie Saoudite à l’aviation israélienne, dont les objectifs iraniens se situent à 2 250 km de chez elle, soit à la distance limite que peuvent parcourir ses bombardiers.
    Au nombre de quatre, les cibles iraniennes stratégiques seraient : les installations d’enrichissement d’uranium à Natanz et Qom, le bâtiment de stockage de gaz à Ispahan et le réacteur à eau lourde d’Arak. Comme le souligne le quotidien britannique, cette politique du laisser-faire de l’Arabie Saoudite, qui a accepté de fermer les yeux avec l’aval du Département d’Etat américain, est un secret de polichinelle à Riyad.
    De son côté, un ancien chef du renseignement militaire israélien s’est contenté de préciser qu’outre son antagonisme avec l’Iran, « l’Arabie Saoudite a encore plus peur du nucléaire iranien qu’Israël ». C’est peu dire.


    oumma
    "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

  • #2
    Selon le Times
    meme s'il faut se mefier des journaux americains , je pense que ces pourritures saudiennes (la famille regnante) sont capables de tout pour sauvegarder leur regime
    "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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    • #3
      arabie saoudite bientôt ton tour...ils remplissent leurs poches avec l'argent du pétrole,d'ailleurs tous des vieux qui dirigent,ils ont ont minimum 90 ans...même leurs petit fils seraient trop vieux tellement qu'ils profitent du pouvoir...continuez à voler l'argent du pétrole et vous en mettre pleins les poches...zamma les portes parole de l'islam et du changement?

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      • #4
        non mais sincèrement une famille qui donne leur nom a tout un pays vous vous attendiez a quoi
        veni vidi vici .

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        • #5
          Ce pays est devenu la honte du monde arabo-musulman !
          Hassbouna Allah wa ni3ma Al Wakil

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          • #6
            on aimerait bien avoir l'avoir l'avis de Youcef Karadaoui, mais je paris qu'il sera aussi muet qu'une carpe, par contre je ne serais pas étonné que zek ou adama nous pondent un article plein de photo en couleur pour nous montrer les progrès accomplis par ces pourritures moyenâgeuses
            Dernière modification par aurassien, 10 novembre 2011, 18h37.

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            • #7
              on aimerait bien avoir l'avoir l'avis de Youcef Karadaoui, mais je paris qu'il sera aussi muet qu'une carpe
              non le pauvre il est actif qu au dela du golf
              "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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              • #8
                par contre je ne serais pas étonné que zek ou adama nous pondent un article plein de photo en couleur pour nous montrer les progrès accomplis par ces pourritures moyenâgeuses
                ou encore des articles à deux balles pour essayer de légitimiser les positions honteuses des mounafiqine al saoud

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                • #9
                  Parce que vous croyez que d'après les bruits de couloir les Américano-Sioniste ont besoin de l'autorisation de l'Arabie pour attaquer l'Iran ?

                  Et les bases d'Afghanistan et les portes avions, ils servent à quoi ?
                  Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                  Commentaire


                  • #10
                    le retour aux racines,furas de l,algerie est du maghreb un nouvel axe,avec des idèes nouvelles une politique nouvelles,et une identitèe ancèstral,il faut un retour aux source.

                    Commentaire


                    • #11

                      Rummh rummh… Quand les grands esprits se rencontrent. ^ ^

                      Plus sérieusement. Cette pseudo information boiteuse est relayée continuellement depuis plus de 2 ans maintenant.


                      Ce figurer que les Israéliens ne disposent de manière entièrement autonome que d’une seule et unique possibilité afin d’atteindre leurs objectifs concernant les installations nucléaires Iraniennes. C’est être complètement naïf, déb… et
                      vraiment les sous-estimer. Ce qui ne me surprend en définitive aucunement.




                      THE GULF MILITARY BALANCE

                      By Alexander Wilner
                      And Anthony Cordesman
                      November 2, 2011



                      The Impact of Israeli-Iranian Nuclear Arms Race


                      While Iran does not yet possess a nuclear weapon, it already possess aircraft and missiles with the range to target Israel, and Israel has nuclear armed missiles that can reach any target in Iran. This creates a de facto nuclear arms race in the Middle East, and creates an even stronger incentive for Israel to try to suppress Iran’s nuclear program and missile capabilities than exists for the US and Arab Gulf states.

                      Despite Israel’s advantage in weapons technology, one nuclear detonation on Israeli territory could prove to be an « existential » threat to Israel given its size, dependence on Tel Aviv and Haifa, and the impact of such a strike on Israel’s political cohesion and Israeli emigration after such a strike.

                      It must be noted, however, that Iran will be limited to relatively low yield, non-boosted fission weapons for some years into the future while Israel already has high yield boosted and thermonuclear weapons. The greater metropolitan area of Tehran is home to some 15 million people, which constitute 20% of Iran’s population. Furthermore, 45% of large Iranian industrial firms are located in Tehran, as is 50% of all Iranian industry. As such, an Israeli nuclear strike on Tehran would have disastrous consequences for the Iranian state and Israel could target every major Iranian city.

                      In actual practice, Israel can already deliver an « existential » strike on Iran, and will have far more capability to damage Iran than Iran is likely to have against Israel for the next decade. Moreover, Israel has steadily improving missile defenses, and the US has offered « extended deterrence » to Israel and the Arab states. This potentially could mean US retaliation for any Iranian nuclear attack on Israel or an Arab ally of the US.



                      Potential Israeli Options for Striking Against Iran’s Nuclear Program

                      Israeli officials have never publically discussed options for striking against Iran. It does, however, have both the air and missile capability to execute a significant strike.

                      Illustrative Israeli options for such a strike include the following courses of action described in Figure III.54.


                      - Figure III.54 and Figure III.55 present a picture of what an Israeli conventional strike using air power would like. Israeli aircraft could take any one of three routes (northern, central, or southern), all of which would involve traversing unfriendly air space to reach targets in Iran. The central route would involve flying through 1,500-1,700 kilometers through Jordan and Iraq, the southern route would involve flying 1,900-2,100 kilometers through Saudi Arabia, and the northern route would involve flying 2,600-2,800 kilometers in a loop through Turkey.

                      Even if Israel had the attack capabilities needed for the destruction of the all elements of the Iranian nuclear program, it is doubtful whether Israel has the kind of intelligence needed to be certain that all the necessary elements of the program were traced and destroyed fully. Israel has good photographic coverage of Iran with the Ofeq series of reconnaissance satellites, but being so distant from Iran, one can assume that other kinds of intelligence coverage are rather partial and weak.

                      In a conventional strike, Israel could launch and refuel two-three full squadrons of 36 to 54 combat aircraft for a single set of strikes with refueling. It could use either its best F-15s (28 F-15C/D, 25 F- 15I Ra'am or part of its 126 F-16 CDs and 23 F-16I Sufas. It has at least three specially configured squadrons with conformal fuel tanks specially designed for extended range use. It could add fighter escorts, but refueling and increased warning and detection would be major problems.

                      For the purposes of guessing at how Israeli might attack, its primary aircraft would probably be the F-15I, although again this is guesswork.

                      The key aspects are that Boeing’s (formerly McDonnell Douglas) F-15E Strike Eagle entered service with the IDF/Heyl Ha’Avir (Israeli Air Force) in January of 1998 and was designated the F-15I Ra’am (Thunder). The F-15E Strike Eagle is the ground attack variant of the F-15 air superiority fighter, capable of attacking targets day or night, and in all weather conditions.

                      The two-seat F-15I, known as the Thunder in Israel, incorporates new and unique weapons, avionics, electronic warfare, and communications capabilities that make it one of the most advanced F-15s. Israel finalized its decision to purchase 25 F-15Is in November 1995. The F-15I, like the US Air Force's F-15E Strike Eagle, is a dual-role fighter that combines long-range interdiction with the Eagle's air superiority capabilities. All aircraft are to be configured with either the F100-PW-229 or F110-GE-129 engines by direct commercial sale; Night Vision Goggle compatible cockpits; an Elbit display and sight helmet (DASH) system; conformal fuel tanks; and the capability to employ the AIM-120, AIM-7, AIM-9, and a wide variety of air-to-surface munitions.

                      Though externally the Ra’am looks similar to its USAF counterpart, there are some differences, mainly in the electronic countermeasures gear and the exhaust nozzles. The Ra’am has a counterbalance on the port vertical stabilizer instead of the AN/ALQ-128 EWWS (Electronic Warfare Warning System) antenna found on USAF Strike Eagles. The Ra’am uses two AN/ALQ- 135B band 3 antennas, one mounted vertically (starboard side) and one horizontally (port side). These are located on the end of the tail booms. They are distinguished by their chiseled ends, unlike the original AN/ALQ-135 antenna, which is round and located on the port tail boom of USAF Eagles.

                      The Ra’am utilizes extra chaff/flare dispensers mounted in the bottom side of the tail booms. Unlike USAF Eagles, the Ra’am still use engine actuator covers (turkey feathers) on their afterburner cans. The US Air Force removed them because of cost and nozzle maintenance, though curiously, USAF F-16s still have their actuator covers installed. Israeli Strike Eagles and some USAF Eagles based in Europe use CFT air scoops. These scoops provide extra cooling to the engines.

                      The 25 F-15Is operational since 1999 [and the 100 F-16Is] were procured first and foremost to deal with the Iranian threat. In August 2003 the Israeli Air Force demonstrated the strategic capability to strike far-off targets such as Iran [which is 1,300 kilometers away], by flying three F- 15 jets to Poland 1,600 nautical miles away. After they celebrated that country's air force's 85th birthday, on their return trip, the IAF warplanes staged a fly-past over the Auschwitz death camp.

                      Israeli aircraft would probably need to carry close to their maximum payloads to achieve the necessary level of damage against most targets suspected of WMD activity, although any given structure could be destroyed with 1-3 weapons. (This would include the main Bushehr reactor enclosure, but is real-world potential value to an Iranian nuclear program is limited compared to more dispersed and/or hardened targets). At least limited refueling would be required, and back-up refueling and recovery would be an issue.





                      à suivre


                      ...
                      Dernière modification par Adama, 11 novembre 2011, 01h23.

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                      • #12
                        Suite 1 :

                        Citation suite :

                        ...

                        They key weapon to be used against hard targets and underground sites like Natanz might be the GBU-28, although the US may have quietly given Israel much more sophisticated systems or Israel may have developed its own, including a nuclear armed variant.

                        The GBU-28 is carried by the F-15I. It is a "5,000 pound" laser guided bomb with a 4,400-pound earth-penetrating warhead that can be upgraded by the IAF to use electro- optical or GPS targeting. It is a vintage weapon dating back to the early 1990s, and the IAF is reported to have bought at least 100. It has been steadily upgraded since 1991 and the USAF ordered an improved version in 1996.

                        It looks like a long steel tube with rear fins and a forward guidance module. It can glide some 3-7 miles depending on the height of delivery. It is 153" long X 14.5" in diameter.

                        Multiple strikes on the dispersed buildings and entries in a number of facilities would be necessary to ensure adequate damage without restrikes – which may not be feasible for Israel given the limits to its sortie generation capability over even Iranian soft targets. As for hardened and underground targets, the IAF's mix of standoff precision-guided missiles – such as Harpoon or Popeye – would not have the required lethality with conventional warheads and Israel's use of even small nuclear warheads would cause obvious problems.

                        Israel may have specially designed or adapted weapons for such strikes, and bought 500 bunker-busters from the US in February 2005. Experts speculated whether the purchase was a power projection move or whether Israel was in fact planning to use these conventional bombs against Iranian nuclear sites. These speculations were further exacerbated when the Israeli Chief of Staff, Lt. General Dan Halutz, was asked how far Israel would go to stop Iran's nuclear program, he said « 2,000 kilometers ».

                        The hard target bombs it has acquired from the US are bunker-busters, however, are not systems designed to kill underground facilities. They could damage entrances but not the facilities. What is not known is whether Israel has its own ordnance or has secretly acquired more sophisticated systems.

                        Its main problem would be refueling – its 5 KC-130H and 5 B-707 tankers are slow and vulnerable and would need escorts – and its ordinary B-707 AE&W, ELINT and electronic warfare aircraft are also slow fliers, although the new G-550 Shaved ELINT aircraft is a fast flier and the IAF has some long-range UAV that could support its aircraft, before, during, and after such missions.

                        The big manned « slow fliers » would have serious problems penetrating and surviving in Iranian air space. Israel has, however, specially configured some of its F-15s and F-16s with targeting, EW, SAM-suppression aids, and ELINT for this kind of mission. The full details of such capabilities are unknown.



                        Center for Strategic and International Studies (CSIS)



                        ...

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                        • #13
                          Suite 2 :




                          Traduction approximative pour non Anglophone :


                          L’équilibre militaire au Golf

                          Par Alexander Wilner
                          Et
                          Anthony Cordesman
                          2 novembre 2011




                          L'impact des relations israélo-iraniennes dans la course aux armements nucléaires

                          Alors que l'Iran ne possède pas encore une arme nucléaire, il possède déjà des avions et des missiles avec la gamme de cibler Israël, et Israël a des missiles nucléaires armés qui peuvent atteindre n'importe quelle cible en Iran. Cela crée de facto une course aux armements nucléaires au Moyen-Orient, et crée une incitation encore plus forte pour Israël de tenter de supprimer le programme nucléaire iranien et les capacités de missiles que celui qui existe pour les Etats-Unis et des Etats arabes du Golfe.

                          Malgré l'avantage d'Israël dans la technologie des armes, une détonation nucléaire sur le territoire israélien pourrait s'avérer être une menace «existentielle» pour Israël étant donné sa taille, la dépendance à Tel Aviv et Haïfa, et l'impact d'une telle frappe sur la cohésion politique d'Israël et de l'émigration israélienne après une telle frappe.

                          Il faut noter, cependant, que l'Iran sera limitée à rendement relativement faible, armes à fission non-dopés pendant encore quelques années dans le futur, alors qu'Israël a déjà développé à haut rendement des armes thermonucléaires. La grande région métropolitaine de Téhéran est le foyer de quelque 15 millions de personnes, qui constituent 20% de la population iranienne. Par ailleurs, 45% des grandes entreprises industrielles iraniennes sont situées à Téhéran, ainsi que 50% de l'ensemble de l'industrie iranienne. En tant que tel, une frappe israélienne nucléaire contre Téhéran aurait des conséquences désastreuses pour l'État iranien et Israël est en mesure de cibler toutes les grandes villes iraniennes.

                          Dans la pratique, Israël peut déjà effectuer une frappe «existentielle» sur l'Iran, et aura une capacité de causer beaucoup plus de dégâts que l'Iran est susceptible d’en infliger à Israël pour toute la prochaine décennie. Par ailleurs, Israël n'a cessé d'améliorer les défenses antimissiles, et les Etats-Unis ont offert une «dissuasion élargie» pour Israël et les Etats arabes. Ce potentiel pourrait signifier des représailles des États-Unis à toute attaque nucléaire iranienne sur Israël ou d'un allié arabe des Etats-Unis.



                          Les options possibles pour les israéliens voulant réaliser une frappe contre le programme nucléaire de l'Iran


                          Les responsables israéliens n'ont jamais publiquement discuté des options pour frapper l'Iran. Le fait, cependant, est qu’ils ont des moyens aériens et des missiles pour exécuter une frappe importante.

                          Les exemples d'options israéliennes pour une telle frappe comprennent les routes suivantes de l'action décrite dans l’illustration III.54.



                          -
                          l’illustration III.54 et l’illustration III.55 présentent une représentation de ce que serait une frappe israélienne conventionnelle en utilisant la puissance aérienne souhaité. L'aviation israélienne pourrait prendre l'une des trois routes (nord, centre ou sud), qui consisterait à traverser l'espace aérien hostile pour atteindre les cibles en Iran. La voie centrale impliquerait de voler 1,500-1,700 kilomètres à travers la Jordanie et l'Irak, la route du Sud impliquerait de voler 1,900-2,100 kilomètres à travers l'Arabie saoudite, et la route du nord impliquerait de voler 2,600-2,800 km dans une boucle à travers la Turquie.


                          Même si Israël avait les capacités d'attaque nécessaire pour la destruction de l'ensemble des éléments du programme nucléaire iranien, il est douteux qu'Israël a le type de renseignements des services secrets obligatoires pour être certain que tous les éléments nécessaires du programme ont été pointés et détruites totalement. Israël a une bonne couverture photographique de l'Iran avec la série de satellites de reconnaissance Ofeq, mais étant si éloignés de l'Iran, on peut supposer que d'autres types de couverture du renseignement sont plutôt partielles et faibles.

                          Dans une première frappe conventionnelle, Israël pourrait lancer et faire le plein de deux à trois escadrons complets de 36 à 54 avions de combat pour une seule série de frappes avec ravitaillement. Il pourrait utiliser soit les meilleurs de ses F-15 (28 F-15C / D, 25 F-15I Ra'am ou une partie de ses 126 F-16 CD et 23 F-16I Sufas. Il a au moins trois escadrons spécialement configuré avec « conformal » réservoirs à carburant spécialement conçus pour une utilisation de longue portée. Il pourrait ajouter des chasseurs d'escorte, mais le ravitaillement, le besoin de vigilance accru et la détection serait des problèmes majeurs.

                          A fin de deviner comment Israël pourrait attaquer, ses avions principaux serait probablement le F-15I, bien qu'encore une fois ce n'est que des suppositions.

                          Les aspects clés sont que le Boeing (anciennement McDonnell Douglas) F-15E Strike Eagle entré en service dans la IDF/Heyl Ha'Avir (Israël Air Force) en Janvier 1998 et a été désigné le Ra'am F-15I (Thunder). Le F-15E Strike Eagle est la variante d'attaque au sol de l'avion de chasse F-15 de supériorité aérienne, capables d'attaquer des cibles jour ou de nuit, et dans toutes les conditions météorologiques.

                          Les deux sièges du F-15I, connu sous le nom de Thunder en Israël, intègre de nouvelles armes unique, l'avionique, des capacités de guerre électronique et de communications qui en font l'un des avancées des F-15s. Israël a finalisé sa décision d'acheter 25 F-15I en Novembre 1995.

                          Le F-15I, comme celui de l’US Air Force F-15E Strike Eagle, est un combattant double rôle qui combine l’interception longue portée avec des capacités de l'Eagle de supériorité aérienne. Tous les aéronefs doivent être configurés avec les moteurs F100-PW-229 ou F110-GE-129 moteurs par une vente commerciale directe; avec des lunettes de vision nocturne compatibles aux cockpits; un affichage Elbit et viseur de casque du système (DASH); des réservoirs de carburant au volume augmenté, et la capacité d'employer l'AIM-120, l'AIM-7, AIM-9, et une grande variété de missiles air-sol.

                          Bien que l'extérieur du Ra'am ressemble à son homologue de l’US Air Force, il y a quelques différences, principalement dans les équipements électroniques de contre-mesures et les buses de ravitaillement. Le Ra'am a un contrepoids sur le port du stabilisateur vertical au lieu de la AN/ALQ-128 EWWS (Electronic Warfare Système d'alerte) antenne disponible sur le Strike Eagles de l'USAF. Le Ra'am utilise deux AN/ALQ- 135B bande 3 antennes, l'une monté verticalement (côté tribord) et une horizontale (côté bâbord). Ils sont situés sur l'extrémité de la poutre de queue. Ils sont distingués par leurs extrémités ciselées, contrairement à l'antenne originale AN/ALQ-135, qui est ronde et situé sur la poutre de queue bâbord des Eagles de l’USAF.

                          Le Ra'am utilise des lance-paillettes /éclat supplémentaires montés dans le côté inférieur de la poutre de queue. Contrairement aux Eagles de l’USAF, le Ra'am utilise toujours son couvre actionneur du moteur (plumes de dindon) sur leurs boîtes de postcombustion. L'aviation américaine les enlever en raison du coût de la maintenance des buses, mais curieusement, les F-16s de l’USAF ont toujours leur couvre actionneur installé. Les Strike Eagles israéliens et quelques Eagles de l’USAF basés en Europe utilisent CFT d’écope air. Ces boules fournissent un refroidissement supplémentaire pour les moteurs.

                          Les 25 F-15Is opérationnels depuis 1999 [et les 100 F-16Is] ont été achetés avant tout pour faire face à la menace iranienne. En août 2003, l'aviation israélienne a démontré la capacité stratégique de frapper des cibles lointaines comme l'Iran [qui est à 1.300 kilomètres], en volant avec trois jets F-15 pour la Pologne sur 1,600 miles nautiques ( ~ 2 964 km). Après ils ont célébré le 85e anniversaire de la force aérienne de ce pays, à leur retour, les avions de guerre de l’IAF ont organisé un défilé aérien en survol du camp d'extermination d'Auschwitz.

                          L'aviation israélienne aurait probablement besoin de transporter près du maximales de leurs charges utiles pour atteindre le niveau nécessaire de dégâts contre les cibles les plus soupçonnés d'activités d'ADM, même si une structure donnée pourrait être détruite avec seulement 1 à 3 bombes. (Cela comprend l'enceinte principale du réacteur de Bushehr, mais la partie d’un réel potentiel intérêt du programme nucléaire iranien est limité par rapport aux cibles les plus dispersés et / ou enterrés. Au moins une limite de ravitaillement serait nécessaire, un back-up de ravitaillement et de récupération serait une difficulté.





                          à suivre


                          ...
                          Dernière modification par Adama, 11 novembre 2011, 11h46.

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                          • #14
                            Suite 3 :

                            ...


                            Les types d’arme qui pourraient être utilisés contre des cibles dures et des sites souterrains de Natanz, pourraient être comme le GBU-28, bien que les Etats-Unis peuvent avoir tranquillement donné à Israël beaucoup plus de systèmes sophistiqués ou Israël a pus avoir développé ses systèmes propres, y compris une variante d’arme nucléaire.

                            Le GBU-28 est transporté par le F-15I. Il s'agit d'une bombe de "5 000 livres" à guidage laser avec une ogive de 4 400 livres pénétrante qui a pus être amélioré par l'IAF pour utiliser l'électro-optique ou un ciblage GPS. C'est une arme classique datant du début des années 1990, et il a été rapporté que l'IAF a en acheté au moins 100. Il a été régulièrement mis à jour depuis 1991 et l'USAF a commandé une version améliorée en 1996.

                            Il ressemble à un long tube d'acier avec des ailettes à l'arrière et un module d'orientation vers l'avant. Il peut planer une jusqu’à une distance certaine de 3 à 7 miles (5 km à 11,3 km), selon la hauteur de largage. Il est de 153 "long X 14.5" de diamètre.

                            Les frappes multiples sur les bâtiments dispersés et les entrées d’un certain nombre d'installations seraient nécessaires pour garantir les dommages adéquats sans réamorçages - qui peut ne pas être réalisable pour Israël étant donné les limites de sa capacité de production de sortie au-dessus, même si les cibles iraniens sont faciles. Comme pour les cibles durcies et souterraines, le mixe de missiles guidés de précision de l’IAF - comme le Harpoon ou le Popeye - n'aurait pas la létalité nécessaire avec des ogives conventionnelles et l'utilisation par Israël même de petites ogives nucléaires poserait des problèmes évidents.

                            Israël pourrait avoir spécialement conçus ou adaptés des armes pour ces frappes, et a acheté 500 bunker-busters des États-Unis en Février 2005. Les experts ont spéculé que l'achat a été un mouvement de projection de puissance ou qu’Israël avait en fait l'intention d'utiliser ces bombes conventionnelles contre les sites nucléaires iraniens. Ces spéculations ont été exacerbées lorsque le chef d'état-major israélien, le lieutenant général Dan Halutz, a demandé dans quelle mesure Israël s irait arrêter le programme nucléaire iranien, a-t-il dit à «2 000 km».

                            Les bombes à cibles difficile à atteindre qu'il a acquis auprès des Etats-Unis sont des bunker-busters, cependant, ne sont pas des systèmes conçus pour tuer les installations souterraines. Ils pourraient endommager les entrées mais pas les installations. Ce qui n'est pas connu et si Israël possède ses propres munitions ou a secrètement acquis des systèmes plus sophistiqués.

                            Son principal problème serait le ravitaillement - ses cinq KC-130H et 5 B-707 tankers sont lents et vulnérables et aurait besoin d'escorte - et de son ordinaire B-707 AE & W, l’ELINT et les avions de guerre électronique sont aussi lents, bien que le nouveau G- 550 Shaved ELINT est un avion rapide et l'IAF a quelques drones à longue portée qui pourraient soutenir ses avions, avant, pendant, et après de telles missions.

                            Les grands « avions lents de personnel techniques » auraient de sérieux problèmes de pénétration et de survit dans l'espace aérien iranien. Israël a, cependant, spécialement configurée certains de ses F-15s et de ses F-16s avec un ciblage, EW, aide suppression-SAM, et d’ELINT pour ce genre de mission. Les détails complets concernant ces capacités sont inconnues.



                            Illustration III.54: Frappes conventionnelles d’Israël sur les installations nucléaires de l'Iran






                            Illustration III.55: Routes Probables pour frappes israéliennes







                            Center for Strategic and International Studies (CSIS)



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                            Dernière modification par Adama, 11 novembre 2011, 11h47.

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                            • #15
                              Et voilà ! Prévisible

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