Le constructeur automobile français pourrait construire son site à 350 km à l’est d’Alger, à Jijel. C’est ce que déclare le ministre algérien de l’Industrie, Mohamed Benmeradi le 10 novembre en marge d’une séance de questions au sénat.
L’Algérie espère arriver à un accord avec le constructeur français Renault avant la fin de l’année. Mais déjà les négociations auraient avancé notamment sur la question de l’implantation du futur site Renault. Le choix se ferait donc pour Jijel. Initialement, l’usine devait être installée à Rouiba sur le site de la Société nationale de véhicules industriels (SNVI).
Mais les autorités ont décidé de remettre à jour le projet de zone industrielle de Bellara. Elle est co-gérée avec l'émirati DP World, 3e opérateur mondial de terminaux à conteneurs.
Certains points restent en débat comme la répartition des 51% du capital du partenariat que Renault doit signer avec l’Algérie conformément à la loi algérienne.
Selon le ministre, une fois l’accord signé, la première Renault conçue en Algérie pourrait être livrée 18 mois après. La proportion de pièces produites sur place sera dans un premier temps de 20 à 25%, puis arrivera à 60% lorsque pneumatiques et vitrages seront intégrés.
L’ambition de Renault est de produire chaque année 75 000 unités et à terme environ le double.
Le 10 novembre 2011 par Barbara Leblanc
L’Algérie espère arriver à un accord avec le constructeur français Renault avant la fin de l’année. Mais déjà les négociations auraient avancé notamment sur la question de l’implantation du futur site Renault. Le choix se ferait donc pour Jijel. Initialement, l’usine devait être installée à Rouiba sur le site de la Société nationale de véhicules industriels (SNVI).
Mais les autorités ont décidé de remettre à jour le projet de zone industrielle de Bellara. Elle est co-gérée avec l'émirati DP World, 3e opérateur mondial de terminaux à conteneurs.
Certains points restent en débat comme la répartition des 51% du capital du partenariat que Renault doit signer avec l’Algérie conformément à la loi algérienne.
Selon le ministre, une fois l’accord signé, la première Renault conçue en Algérie pourrait être livrée 18 mois après. La proportion de pièces produites sur place sera dans un premier temps de 20 à 25%, puis arrivera à 60% lorsque pneumatiques et vitrages seront intégrés.
L’ambition de Renault est de produire chaque année 75 000 unités et à terme environ le double.
Le 10 novembre 2011 par Barbara Leblanc
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