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Le pétrole a encore de très beaux jours devant lui

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  • Le pétrole a encore de très beaux jours devant lui

    Entre le déclin du nucléaire et la lenteur du développement des renouvelables, pétrole et charbon devraient rester encore longtemps les rois. Et ce malgré leur fort impact sur le climat. Le World Energy Outlook, publication de l'AIE, anticipe des températures en hausse de 3,5 ° en 2050 et un prix du pétrole qui pénalisera l'économie mondiale.

    La Tribune Infographie
    Quels que soient les choix stratégiques des pays producteurs dans les années à venir, l'Agence internationale à l'énergie (AIE) anticipe déjà une hausse dramatique des cours du pétrole. Dans le meilleur des mondes, le baril devrait s'échanger à 120 dollars en 2035, si la part du pétrole dans la consommation d'énergie passait de 33 % à 27 % au niveau mondial. Mais vu le déclin probable du nucléaire (cf graphique), vu la lenteur du développement des énergies renouvelables, le pétrole peut se reposer sur ses lauriers.

    « Dans ces conditions défavorables, nous nous dirigeons vers un baril à 150 dollars dès 2015, un prix qui pourrait redescendre légèrement ensuite », assure Fatih Birol, l'économiste en chef de l'organisation.

    Contrairement à l'OPEP, qui a estimé mardi que le prix du baril baisserait fortement dans le futur, le rapport annuel de l'AIE diffusé mercredi à Londres souligne le retard des investissements nécessaires dans les infrastructures des pays producteurs de pétrole. Les relations entre les deux organisations, qui défendent des intérêts contraires, se sont refroidies au printemps dernier, après le refus par l'OPEP d'augmenter sa production, et la mise sur le marché de stocks de réserves par l'AIE, qui a contribué à faire baisser les cours du brut. Un contexte très politique dans lequel les analyses divergent encore plus que d'habitude. L'OPEP, qui se réunit en décembre, a tout intérêt à prévoir un recul des prix, pour étayer le statu quo de sa production. À l'inverse, l'AIE crie au loup pour prévenir le retour de la hausse des prix.

    Sans préjuger des évolutions futures, la question des investissements reste préoccupante face à une demande toujours plus forte. 100 milliards de dollars d'investissement nécessaires dans les pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord devrait ainsi être retardé par les évènements récents. Le Printemps arabe a en effet incité le Yemen et l'Arabie Saoudite à réorienter leurs investissements.

    La production hors OPEP diminuera de 47 millions de barils par jour d'ici à 2035, soit l'équivalent de la production de l'OPEP. Pour maintenir notre consommation actuelle, il faudra donc trouver un moyen de la remplacer. L'AIE prévoit de surcroît en effet une hausse de la demande mondiale de 87 millions à 99 millions de barils par jour au cours des vingt-cinq prochaines années.

    Dans un premier temps, les pays producteurs engrangeront d'importants revenus supplémentaires, avant de voir ceux-ci se réduire fortement suite au détournement à long terme des consommateurs vers d'autres sources d'énergie. Pour l'économie mondiale, les conséquences s'annoncent désastreuses à court terme. « Le prix élevé du baril depuis plusieurs années a déjà joué un rôle prépondérant dans l'avènement de la crise économique actuelle car il a déséquilibré les balances commerciales des pays importateurs et favorisé l'inflation, » indique Fatih Birol.

    Ralentissement économique

    À 150 dollars en 2015, l'économie mondiale risque de ralentir fortement car rien ne pourra à court terme remplacer le pétrole. Même à moyen et long terme, l'agence ne voit pas les énergies renouvelables prendre une part majeure dans la production d'électricité. Les coûts de production s'avèrent en effet très élevés, surtout dans les conditions économiques et financières actuelles, où les États tentent de réduire leurs dépenses. Or « les gouvernements doivent bien comprendre que les subventions sont et resteront obligatoires pour que les énergies renouvelables demeurent compétitives », rappelle l'économiste. Les subventions sont passé de 39 milliards en 2007 à 66 milliards en 2010. La poursuite de cette tendance pour arriver à 250 milliards en 2035, un seuil nécessaire pour atteindre les objectifs fixés en matière d'énergie renouvelable, paraît aujourd'hui peu probable.

    Par Tristan de Bourbon, à Londres
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    aniasse
    les tailleurs des généraux ont encore de beaux jour devant eux ...
    La jalousie de ceux quand on pas aussi!

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    • #3
      aniasse ???

      Envoyé par aniasse
      les tailleurs des généraux ont encore de beaux jour devant eux ...
      Envoyé par aniasse
      les algériens qui n'en voient pas la couleur..tu pensent qu'ils sont jaloux des généraux ...?
      ça se saurait...
      Bsahathoum
      Puisque nos généraux , ça titillent les esprits d à coté ..
      pour ton info : les généraux n ont rien a avoir avec la gestion de la Sonatrach
      PS : occupe –toi , de la mort de kadhafi et de la chari3a en Libye , ainsi de 35 % du pétrole brut libyen GRATIS pour Sarko ?
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4
        @aniasse
        Tape dans le virtuel comme dab , comme tu avais gagné en Libye ..La Hchouma ( t avait vide déchanté )
        Le pétrole à gogo en Algerie , pour satisfaire ton ego , je te répètes « Bsahathoum nos généraux » puisque ça dérange ton esprit ( d à coté )
        PS : ton tintin cherche le pétrole en Libye il avait récolté la Chari3a ?
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

        Commentaire


        • #5
          @ aniasse
          Le pétrole à gogo en Algerie : Bsahathoum nos généraux et Mabrouk aux algériens les infrastructures de bases !
          Alors fham à coté , Bsahathoum le pétrole vert ???
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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          • #6
            @aniasse

            @aniasse
            le pétrole à gogo en Algérie te reste en travers de la gorge !!!
            contente -toi du petrole vert ?
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              le pétrole et le gaz sont irremplaçable malgré toute les énergies qu'on essaye de créer
              veni vidi vici .

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              • #8
                Zirds

                Tant qu'il y'a assez pour faire marcher la machine mais la situation est que le pic petrolier est deja atteint en 100 ans de pompage et l'assechement se fera en moins de temps

                Les plus intelligent prennent le devant et se preparent d'avance les paresseux se contenteront d'importer

                A ton avis pourquoi l'iran et l'arabie veulent s'equiper de nucleaire civile alors que leurs stocks sont enormes?

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                • #9
                  LES reserves restantes kayan el khir el quodam
                  mais ca coute bonbons pour le tirer enfin pour que le puit soit rentable il faut un baril a au moins 100 dollars
                  comment sait on que le pique pétrolier est déjà passé .
                  tu googles ASPO
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                  Commentaire


                  • #10
                    ah sur quels critères on peut dire que c'est100$le seuil de rentabilité ...?


                    pour les réserves restantes..comment fait google machin pour avoir des info sur les réserves restantes...qu'on n'a pas encore trouvé ...?
                    sur ta grande intelligence
                    de moineau
                    mon GENERAL
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                    • #11
                      .je prefere le thé à la menthe verte...effectivement
                      @ aniasse
                      remplace la menthe verte par petrole vert , là tu confirmeras ta vraie pensée ?
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                      • #12
                        YA toba
                        c des mangeurs de the
                        wach bik takassarrrassak

                        les generaux ils boivent du glen et compagnie
                        du the
                        une insulte
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #13
                          toi les hydrocarbures..c'est dans tes rêves que tu les vois
                          c'est combien le litre d'essence au maroc ? surement pas 0.18 euros le litre
                          et l’électricité ? et le gaz de ville vous en avez au maroc ? non biensure que non
                          essaye de voir plus loin que le bout de ton nez ma lolote
                          veni vidi vici .

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                          • #14
                            Saha Zirds,

                            Mais sincérement, le pétrole ne nous a pas servi vraiment à grand chose. On a une économie non diversifiée qui repose sur l'exportation des hydrocarbures. On ne produit rien du tout. Même pas une agriculture qui pourrait alimenter les villes Algériennes et cela date depuis l'indépendance.

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                            • #15
                              Malédiction ?

                              Bonjour

                              Sans pétrole, l’algérien n'aurait pas inscrit ses enfants à l'école, il n'y aurait pas une université pour tous les bacheliers, il n'y aurait pas de santé gratuite, il n'y aurait pas de route pour aller travailler, il n'y aurait pas autant de barrages pour alimenter l'agriculture, les villages et les villes en eau, il n'y aurait pas d'électricité dans toutes les villes et villages, ...etc.

                              Salut Mouloud

                              Sans pétrole peut être que tu serais aujourd'hui au village entrain de traire les vaches. Bien que c'est bien plus noble de mon point de vue.

                              Il y a beaucoup de chance que la plupart d'entre nous n'aient jamais fait d'études et ne soient pas instruits.

                              La question qui se pose dans ce cas :

                              L'instruction et l'éducation telles qu'elles sont conçues aujourd'hui, ne sont-elles pas elles mêmes la malédiction ?

                              Une instruction et une éducation qui incitent les gens à penser à leurs propres gueules. Elles incitent à l'individualisme, au chacun pour soit, au matérialisme, à la course au gain.

                              La malédiction donc est à rechercher dans les valeurs que se donnent les sociétés et non pas dans les richesses que nous offre la Vie.
                              Rebbi yerrahmek ya djamel.
                              "Tu es, donc je suis"
                              Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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