Maintenant qu’il est mort c’est le grand déballage. On saura tout des mœurs du « guide » de la révolution libyenne. En 2007, on en avait eu un avant-goût quand Kadhafi, invité par son ami d’alors, Nicolas Sarkozy, avait installé sa tente à Paris. A cette occasion, la journaliste française et grand reporter de la chaine de télévision publique France3, Memona Hintermann, avait révélé dans les médias de son pays la tentative de viol dont elle avait été victime en 1984. Alors qu’elle interrogeait le « guide » à Tripoli, celui-ci se jeta sur elle et tenta de la violer, en la menaçant de mort si elle révélait l’incident. Aujourd’hui le quotidien Le Monde révèle une autre histoire. Celle d’une esclave sexuelle de Kadhafi. Enlevée à sa famille à l’âge de 15 ans pour être la « pute » officielle de Kadhafi, « Safia », c’est un nom d’emprunt, raconte comment elle a été violée pendant cinq ans, et obligée de fumer et de boire.
Outre le drame de cette jeune femme âgée aujourd’hui d’à peine 22 ans, on en apprend des choses grace au témoignage de « Safia ». Le défunt tyran aimait bien, paraît-il, « l’équiper » de sous-vêtements et de « tenues sexy » pour qu’elle danse et se dévêtisse au son de la musiquepour le bon plaisir du dictateur.
A Bab Al-Azizia, le palais de Kadhafi à Tripoli, « Safia » découvre ainsi le harem du maître du pays dirigé par un trio de matrones violentes et intraitables. Elle se souvient des « partouzes » qui réunissaient comme « chair à consommer » autant de femmes libyennes que d’étrangères.
Deux chefs d’Etat africains, mais le docte Le Monde ne nous dit pas lesquels, auraient « consommé » de cette « chair ».
Toujours selon « Safia », le colonel « avait aussi de nombreux partenaires sexuels masculins ». Le Monde ne nous explique pas si Kadhafi était « actif » ou « passif ». C’est-à-dire, s’il jouait à l’homme ou à la femme dans ses relations homosexuelles. Ou peut-être les deux à la fois. Mystère.
Safia raconte que Kadhafi l’obligeait à boire du whisky, du « Black Label », et à prendre avec lui de la cocaïne. « Il est constamment sous substance et ne dort jamais. »
On aura tout vu et tout entendu depuis la chute du « guide ». En plus de tyran et d’assassin, Kadhafi était donc un pédophile, un violeur, un ivrogne, un drogué et un homosexuel.
demain online
Outre le drame de cette jeune femme âgée aujourd’hui d’à peine 22 ans, on en apprend des choses grace au témoignage de « Safia ». Le défunt tyran aimait bien, paraît-il, « l’équiper » de sous-vêtements et de « tenues sexy » pour qu’elle danse et se dévêtisse au son de la musiquepour le bon plaisir du dictateur.
A Bab Al-Azizia, le palais de Kadhafi à Tripoli, « Safia » découvre ainsi le harem du maître du pays dirigé par un trio de matrones violentes et intraitables. Elle se souvient des « partouzes » qui réunissaient comme « chair à consommer » autant de femmes libyennes que d’étrangères.
Deux chefs d’Etat africains, mais le docte Le Monde ne nous dit pas lesquels, auraient « consommé » de cette « chair ».
Toujours selon « Safia », le colonel « avait aussi de nombreux partenaires sexuels masculins ». Le Monde ne nous explique pas si Kadhafi était « actif » ou « passif ». C’est-à-dire, s’il jouait à l’homme ou à la femme dans ses relations homosexuelles. Ou peut-être les deux à la fois. Mystère.
Safia raconte que Kadhafi l’obligeait à boire du whisky, du « Black Label », et à prendre avec lui de la cocaïne. « Il est constamment sous substance et ne dort jamais. »
On aura tout vu et tout entendu depuis la chute du « guide ». En plus de tyran et d’assassin, Kadhafi était donc un pédophile, un violeur, un ivrogne, un drogué et un homosexuel.
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