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Suite à la mise en examen du général nezzar

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  • Suite à la mise en examen du général nezzar

    Sortir du concordisme : Et si on remettait la vapeur ?

    L’audition du général Khaled Nezzar vient nous rappeler qu’à l’ombre des lois concordistes tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Ces sécrétions gluantes de la théorie de « la tragédie nationale », loin d’avoir clos la moindre question, n’ont fait qu’absoudre la bête immonde de ses crimes. L’unique bénéficiaire de cette forfaiture restera l’islamisme avec ses égorgeurs et ses prêcheurs de haine.

    Ne parlons pas du camp des vaincus. Celui des républicains qui ont tus leurs ressentiments à l’égard d’une bureaucratie autocratique pour, au-delà de tous les périls et face aux pires adversités, défendre l’Etat national et faire face à la subversion obscurantiste. Ce camp fait de militants, de cadres, de fonctionnaires, d’anciens combattants, de parents de ceux qui ont été fauchés par la barbarie islamiste. D’hommes et de femmes dévoués à la patrie. Ce camp condamné à une amnésie forcée, feinte mais impérative. Ce camp de parias sans droits qui ne doit en aucun cas venir jouer à l’empêcheur de se réconcilier en paix ! Un camp condamné au silence, à l’oubli et nié jusque dans son existence par le concordisme qui aurait dû, au moins rehausser l’image de ses promoteurs.

    Les promoteurs de ces lois scélérates auraient pu, à défaut d’un Nobel, trouver un semblant de reconnaissance, si ce n’est de la part de la communauté internationale, au moins de celle l’opinion nationale. Et, même, à défaut de celle-là, puisque ils ne l’ont pas, ils auraient pu espérer avoir celle de ceux qu’ils ont pardonés. Malgré leurs lois successives, ils n’ont rien glané qu’ils n’avaient déjà ! Disposer de fait des destinées du pays, même au prix qu’il soit leur prison dorée.

    Pourtant, il aurait été possible de faire autrement.

    De Bonn, comme de Washington ou de Londres, les chefs terroristes ont lancé leurs directives génocidaires, et revendiqué leurs mise en application. Les Dhina, Kebir, Heddam et autre chefs-terroristes ont organisé et animé la guerre qui nous était faite. L’abjection et la monstruosité de leurs œuvres ainsi que celles de leurs troupes ont été masquées et éludées. L’ignominie de leur idéologie a été passée sous silence.

    Je ne reviendrais qu’à un et unique exemple, qui remonte à 1991. A la veille du 26 décembre 1991, n’étions-nous pas en droit de savoir ce qui s’est passé à Guemmar ? Le meilleur choix n’était-il pas de nous montrer les corps lacérés et mutilés de nos Gardes-Frontières ? Les chefs islamistes, commanditaires de ce crime, ne devaient-ils pas être publiquement confondus ? Taire les attentats de cette veille de législatives n’était-ce pas décharger leurs commanditaires de leurs responsabilités? Une ligne de conduite qui sera maintenue à ce jour, parce que la guerre au terrorisme islamiste ne devait pas être celle du dépassement du système en place. A défaut de cela, elle aura été celle du sauvetage du système et de l’islamisme.

    Cette guerre aurait pu être l’équivalente de la guerre de sécession états-unienne. Mais, la nôtre ne débouche sur la victoire des Nordistes sur les Sudistes; de l'industrie sur l'esclavagisme. Au regard de l’Histoire c’est une guerre à blanc, même si elle a coûtée des centaines de milliers de vies.

    Les lois concordistes nous ont menées à une situation kafkaïenne, où les chefs terroristes se pavanent dans les capitales occidentales en futurs gouvernants de l’Algérie. Ils tissent leurs réseaux de connaissances et d’intérêts, alors que les généraux algériens se découvrent assignés à résidence dans le pays.

    Le véritable problème avec le Général Nezzar n’est pas qu’il ait commis ou couvert des crimes contre l’humanité. Ces crimes-là sont dans le camp de l’islamisme. Le problème, avec lui, est qu’il en a occulté d’innombrables avérés et incontestables commis par ceux qu'il a combattu.

    S’il m’est donné de m’adresser directement à lui je dirais : Mon général, vous avez effectivement gagné toutes les batailles que vous avez engagé. Mais, en bout de marche c’est pour choisir de perdre la guerre. L’explication en est simple : vous refusez la bataille idéologique face à l’islamisme par ce qu’elle conduit à une véritable démocratisation du pays et au dépassement radical du système actuel.
    Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

  • #2
    vous refusez la bataille idéologique face à l’islamisme par ce qu’elle conduit à une véritable démocratisation du pays et au dépassement radical du système actuel.
    Tous les généraux au pouvoir et autres détenant les ficelles de la corruption sont contre la démocratie en Algérie. Mener la guerre contre l'islamisme c'est la voie vers la démocratie certes, mais ce serait pour eux, signer leur arrêt de "mort" financièrement parlant.
    Ils sont bien confortés dans l'idée que tant que cette menace persiste, ils pourront piller le peuple en leur faisant croire qu'ils se battent pour lui.
    Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
    9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
    ou âachra fi âaynikom

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    • #3
      Choquant comment l'institution militaire semble l'avoir lâché...

      Il se débrouille seul contre les vautours.

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      • #4
        Exclusif le général nezzar au soir d’algérie :



        «Je suis au cœur d’une conspiration»
        16/11/2011
        Entretien réalisé par Hani Mostaghanemi

        Jamais officier algérien à la retraite n’a autant parlé que Khaled Nezzar. Il a si souvent payé de sa personne et pris tant de risques, qu’il ne compte plus les bleus qui marquent son épiderme. C’est un personnage qui passionne et dérange en même temps, qu’on aime ou qu’on déteste sans nuance et qu’on insulte parfois. Au-delà des réactions tranchées que déclenche le simple énoncé de son nom, il reste pour toute une génération, un grand décideur qui a eu le courage de passer à l’acte quand il le fallait.
        Un décideur qui a été immense par les services qu’il a rendus à l’institution militaire et à la patrie. Son désintérêt pour le pouvoir donne à ses paroles un incontestable accent de sincérité. Parvenu à ces sommets où généralement «les sauveurs du peuple» s’incrustent et sévissent, il a été conséquent avec ses engagements en se retirant de la politique. Il est vrai que la proclamation du 14 Janvier 1992 instituant un Haut Comité d’Etat l’y obligeait par son article 4, «cette mission ne saurait excéder la fin du mandat présidentiel issu des élections de décembre 1988». Mais combien de généraux, de par notre pauvre monde, ont quitté volontairement le pouvoir, une fois qu’ils l’ont conquis ? Même à la retraite, Nezzar demeure décideur de ses actes et de ses paroles, cassant les tabous les mieux assis de l’institution et fournissant des clefs d’accès à ses codes cryptés. Dans un environnement impitoyable qui interprète chaque variation de ton comme une volte-face et chaque propos nuancé comme un reniement passible d’anathèmes, il assume ses amitiés, ses professions de foi et ses «corrections de tirs» avec des accents simples et des toniques qui portent au loin. Polémique, prolixe, se battant au corps à corps, au moment où certains pensent que ses querelles sont indignes de sa stature et dommageables pour son image de marque (affaire Souaïdia), il révèle soudain derrière ces leurres, ces marionnettes, des tireurs de ficelles qui expliquent et justifient sa colère. C’est cela Nezzar, un hussard au grand cœur venu à la politique par défaut quand, au moment de la grande épreuve, ceux qui s’en prévalaient «légitimement » avaient, tous, déclaré forfait.

        Le Soir d’Algérie : Général Nezzar, ouvrons cette interview par une question indiscrète : comment allez-vous ?
        Général Nezzar : Aussi bien que peut l’être un homme décidé à se battre. Général Nezzar, ce n’est pas la première fois que vous vous trouvez au cœur d’une polémique, est-ce votre stature totémique qui attire sur vous la foudre ?
        Dites plutôt «au cœur d’une conspiration». Il est vrai que j’ai une certaine visibilité. Cela, dans certains pays, se paye par la hargne des ennemis dès que ces derniers subodorent qu’ils peuvent y aller sans craindre le retour du bâton. Certaines hargnes ont la vie longue.
        Ces hargnes ne sont-elles pas nourries par un discours-perfusion ?

        Rien n’est plus gratifiant pour ceux auxquels l’ANP a, jadis, barré la route que de voir un de ses anciens chefs sur la sellette. Quelque part, c’est une tentative d’obtenir par ricochet la condamnation par la justice des nations qui comptent de l’action salvatrice de janvier I992.

        Quel regard portez-vous sur les ONG en général et sur TRIAL en particulier ?

        Je n’ai aucun commentaire à faire sur TRIAL. Pour ce qui est des ONG, celles qui se sont proclamées gardiennes des droits de l’homme, elles sont perçues par nos opinions publiques comme la bonne conscience sélective de l’Occident. Mais nul ne doit se désoler de voir ces gens se battre pour la déconfiture des méchants et la gloire du droit, désormais imposé comme valeur universelle. Tant mieux, si les législations des pays, où ces ONG ont érigé leur mât et hissé leurs couleurs, leur prêtent mainforte. Et tant mieux pour tout le monde si ce n’est plus la canonnière qui mouille à portée de boulets des côtes barbaresques mais les anathèmes des champions du droit d’ingérence «quatre roues motrices».

        Globalement, selon vous, leur action est donc positive ?

        Bien évidemment ! Notre monde, le nôtre surtout, autour duquel, depuis l’immolé de Sidi Bouaziz, gravite la planète, a tragiquement besoin de solidarité et de justice. Pour les gens emprisonnés, torturés, bombardés, assassinés pour leurs idées, c’est déjà ça de pris. Si la menace de devoir rendre des comptes peut faire reculer un dictateur, on ne peut que s’en réjouir.

        Le canevas pour les présidences à vie basées sur un homme «providentiel», s’appuyant sur un clan surarmé et décidé à briser toute contestation par la violence a-t-il réellement fait son temps ?

        Grâce soit rendue à l’Europe des peuples, dont certaines ONG sont l’émanation. Cette Europe des peuples qui a permis, çà et là, à l’étincelle de ne pas s’éteindre. Peut importe si cette justice supranationale n’agit qu’a posteriori, une fois que l’ancien fondé des intérêts des banquiers étrangers, gravement contesté dans son pays, a férocement sévi.

        Vous ne répondez pas à la question. Peu importe ! Changeons de sujet, vous employez le mot «banquier», est-ce une allusion à la patrie de Jean Zigler ?

        La Suisse est un grand pays ami qui, dans les moments difficiles, a été aux côtés de l’Algérie combattante. Chacun se rappelle ce que les autorités fédérales suisses ont consenti comme efforts pour faciliter les conditions dans lesquelles se sont déroulées les négociations algéro-françaises qui ont abouti au cessez-le-feu du 19 mars 1962 et avec quelle constance et quelle habileté les diplomates suisses ont œuvré pour rapprocher les extrêmes. Je me souviens d’un article de Pierre Henri Simon, paru dans Le Monde du 15 mars 1962, qui soulignait l’importance et la qualité des prestations des autorités fédérales suisse, lesquelles : «Dans un monde agité et furieux démontrent une vocation d’ordre et de service».

        Un monde agité et furieux ? Un rappel de la scène politique algérienne pendant la décennie 1990 ?

        Nos partenaires étrangers doivent, parce que nos relations sont anciennes et exemplaires, avoir une approche de nos problèmes documentée et sereine.

        En un mot, prudente ?

        En un mot comme en dix !

        Vous ne vous sentez pas concerné par les accusations dont vous êtes l’objet ?

        Ma réponse est on ne peut plus claire. Je suis pour le droit, pour la liberté d’expression, pour la démocratie. Je l’ai prouvé en facilitant, avec mes compagnons du HCE, les sensibilités politiques plurielles, et nous avons fait en sorte que celles qui n’utilisent pas la violence aient droit de cité. J’ai quitté le pouvoir volontairement. Pourquoi aurais-je torturé ou fait torturer ? Dans quel but ?
        Dernière modification par AARROU, 17 novembre 2011, 01h00.
        "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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        • #5
          Faut-il douter de la bonne foi de vos accusateurs ?

          Rien n’est plus gratifiant pour les résidus du FIS que de voir sur la sellette l’homme qui a contrarié leurs ambitions. Ils m’incriminent en tant qu’ancien chef de l’armée, me faisant porter la responsabilité de faits auxquels je suis complètement étranger et contre lesquels la justice de mon pays a sévi à chaque fois qu’elle en a eu connaissance.

          C’est donc l’armée qui est visée à travers vous et vous ne seriez que le prétexte pour d’autres prétentions ?

          Mais ils le disent on ne peut plus clairement : on ne peut pas citer à comparaître toute l’armée. On incrimine donc celui qui la commandait. Le timing de ces attaques, le contexte régional dans lequel elles sont menées, les commanditaires que l’on devine derrière elles, m’autorisent à croire qu’il y a des arrière-pensées bien éloignées du dossier visible des plaignants. En ce qui me concerne, je suis bien décidé à crever l’abcès une bonne fois pour toutes. Il y va de mon honneur et de celui de l’institution à laquelle j’ai consacré toute ma vie.

          Nezzar, défenseur, quoi qu’il lui en coûte, de l’ANP ?

          Permettez-moi de rappeler à quoi l’ANP a dû faire face par deux citations de l’idéologue du parti que la justice algérienne a dissous, Ali Benhadj : «La démocratie est mécréance» ( Le Maghrebn° 173 du 23/10/1989) et «si le peuple vote contre la loi de Dieu (la Charia), cela n’est rien d’autre qu’un blasphème. Dans ce cas, il faut tuer ces mécréants…» ( Horizons du 23- 02-1989). On peut en citer d’autres toutes autant édifiantes sur ce que réservaient ces braves gens aux Algériens. Récemment, Mme Merkel, le président Sarkozy ainsi qu’Hillary Clinton se sont indignés des menaces de l’ancien guide libyen adressées à sa population. La décision du Conseil de sécurité qui a autorisé l’intervention militaire contre Kadhafi a été prise pour empêcher le massacre des civils. Je revendique pour l’armée de mon pays le droit d’intervenir pour protéger son peuple. Je souligne que je ne fais aucune comparaison malvenue entre l’ANP et les forces de l’OTAN. L’armée algérienne, héritière de l’ALN, est intervenue contre la violence dans le cadre de la loi sans recourir aux méthodes qui ont déshonoré tant d’autres armées dans nos régions. L’ANP, tout en menant ses opérations salvatrices de maintien de l’ordre, a conforté le multipartisme sans exclure aucune obédience, elle a respecté la liberté de la presse, elle a tout fait pour que le dialogue entre les Algériens soit le moyen de régler les différends, elle a surtout initié une politique de la main tendue et du pardon en direction de ceux qui ont pris les armes contre leur propre pays.

          Si nous avons bien compris, vous revendiquez pour l’armée un droit d’ingérence dans la sphère politique ?

          Pourquoi est-ce que vous détournez ce que je dis. L’ANP, et cela je le revendique et je l’assume, a empêché la kaboulisation de l’Algérie. Que des mémoires à œillères le perçoivent différemment maintenant que le danger est passé est dans la nature des choses. On peut s’en indigner, mais il faut faire avec.

          Vous avez écrit de nombreux livres, parmi tous ces ouvrages, il y en a un en particulier que j’ai lu avec intérêt. Il relate avec beaucoup de détails les tenants et les aboutissants de l’opération de janvier 1992.

          Vous voulez sans doute parler de l’«arrêt du processus électoral» ? Je suis en train de le mettre en ligne. J’aurais dû le faire avant, ainsi, les Suisses qui sont, comme chacun sait, méticuleux et précis, auraient eu, avant mon interpellation, une approche totalement différente de la personnalité et de l’action des chefs de l’ANP et surtout de l’action qui prévalait en Algérie à la veille et au lendemain de la démission du président Chadli Bendjedid.

          Est-ce que vous ne seriez pas en train de déplacer l’objet de la plainte dont la justice suisse est saisie en rappelant le pourquoi et le comment des événements où le FIS et l’ANP ont eu les premiers rôles ?

          Non, tout est inextricablement lié. Ce sont les mêmes commanditaires, les mêmes alliés, les mêmes chapelles politiques, les mêmes intérêts liés par la même finalité. Dans quelques jours, vous verrez d’autres marionnettes accourir rameutées par les mêmes officines et les mêmes laissés-pour-compte de l’Histoire pour bénéficier de la publicité qu’offre un prétoire.

          Vous contestez à la justice suisse le droit de se poser des questions sur les atteintes aux droits de l’homme en Algérie dont vous êtes accusé ?

          La meilleure façon de lui contester ce droit est de ne pas répondre à ses questions, or j’ai dit, et je le répète ici, je suis et je resterai à sa disposition.

          Le procureur de la République près le tribunal de Sidi M’hamed vient d’ouvrir une information judiciaire suite à la plainte de M. Belmouhoub pour enlèvement et séquestration…

          Laissez-moi poursuivre à votre place. Vous voulez savoir si je suis pour quelque chose dans cette affaire ?

          Pas exactement, mon général. Je voulais dire — parce que l’opinion publique l’a ainsi interprété — qui a intérêt à accabler encore Nezzar au moment même où ce dernier se trouve dans une situation délicate ? Personne de vraiment sensé n’a cru à votre implication personnelle, ou à celle de vos proches, dans cet étrange enlèvement.

          J’ai lu dans la presse, et vous le confirmez vous-même, que le procureur de la République est saisi de cette affaire.

          Il ira jusqu’au bout. Cela je peux vous l’assurer. Il faut croire que vous n’avez pas que des amis en Algérie. Vous avez dans cette affaire «suisse» nommé Aït Ahmed. Maintenez-vous vos propos ?


          J’avais du respect pour le parcours historique de M. Aït Ahmed. J’ai exprimé, il y a quelques années, ma surprise lorsqu’il a cru de bon goût de comparer le délinquant Souaïdia aux héros de l’OS. Ses positions politiques sont un peu difficiles à suivre pour ceux qui sont habitués à une certaine constance dans les idées. En feuilletant récemment de vieilles archives, je suis tombé incidemment sur un article de La Nationdu 4 juillet I992, signé par M. A. Boumendil qui dit en substance, à propos du dialogue initié par les autorités de l’époque, que M. Aït Ahmed «aurait rendu hommage au réalisme de l’ANP qui s’est exprimé par la recherche d’une solution au problème de la violence… l’initiative du général-major Khaled Nezzar est pour le moins louable. Car ce genre de rencontres peut mener à une sortie pacifique de l’impasse et faire échec à toutes les tentatives de plonger l’Algérie dans le chaos». Je n’ai pas souvenance d’un quelconque démenti de la part de M. Aït Ahmed. Je n’ai jamais compris son animosité à l’égard de l’ANP, mais c’est son problème.

          L’Etat vous soutient-il dans vos difficultés actuelles ?

          Ma réponse sera brève. L’Etat algérien est logique avec lui-même. Il s’est assumé clairement dans cette affaire. L’actuelle législature fait suite à celles qui l’ont précédée. Il y a une cohérence et une continuité dans l’action. Pourquoi l’Etat algérien abandonnerait-il un ancien responsable qui a œuvré pour la pérennité de l’Etat et qui a même, peut-être, d’une certaine façon, à un moment, incarné l’Etat ?

          Avez-vous le sentiment que le président de la République a fait montre de solidarité avec vous ?

          Pleinement !
          H. M.
          Dernière modification par AARROU, 17 novembre 2011, 01h05.
          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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          • #6
            Permettez-moi de rappeler à quoi l’ANP a dû faire face par deux citations de l’idéologue du parti que la justice algérienne a dissous, Ali Benhadj : «La démocratie est mécréance» ( Le Maghrebn° 173 du 23/10/1989) et «si le peuple vote contre la loi de Dieu (la Charia), cela n’est rien d’autre qu’un blasphème. Dans ce cas, il faut tuer ces mécréants…» ( Horizons du 23- 02-1989). On peut en citer d’autres toutes autant édifiantes sur ce que réservaient ces braves gens aux Algériens. Récemment, Mme Merkel, le président Sarkozy ainsi qu’Hillary Clinton se sont indignés des menaces de l’ancien guide libyen adressées à sa population. La décision du Conseil de sécurité qui a autorisé l’intervention militaire contre Kadhafi a été prise pour empêcher le massacre des civils. Je revendique pour l’armée de mon pays le droit d’intervenir pour protéger son peuple.
            re bis
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #7
              Permettez-moi de rappeler à quoi l’ANP a dû faire face par deux citations de l’idéologue du parti que la justice algérienne a dissous, Ali Benhadj : «La démocratie est mécréance» ( Le Maghrebn° 173 du 23/10/1989) et «si le peuple vote contre la loi de Dieu (la Charia), cela n’est rien d’autre qu’un blasphème. Dans ce cas, il faut tuer ces mécréants…» ( Horizons du 23- 02-1989). On peut en citer d’autres toutes autant édifiantes sur ce que réservaient ces braves gens aux Algériens. Récemment, Mme Merkel, le président Sarkozy ainsi qu’Hillary Clinton se sont indignés des menaces de l’ancien guide libyen adressées à sa population. La décision du Conseil de sécurité qui a autorisé l’intervention militaire contre Kadhafi a été prise pour empêcher le massacre des civils. Je revendique pour l’armée de mon pays le droit d’intervenir pour protéger son peuple.
              Solas, on est tous d'accord pour que cette menace islamiste disparaisse, le fait est que ça arrange les généraux, les hommes au pouvoir puisque grâce à ce mouvement, ils arrivent à maintenir leur "place" confortable derrière cette machine théâtrale...

              L'armée à mené une "fausse guerre" et c'est au peuple de mener "la vraie" contre ces détracteurs de la liberté et de la justice.
              Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
              9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
              ou âachra fi âaynikom

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              • #8
                Solas, puise dans ta mémoire et dit moi ce qui te vient à l'esprit en repensant à ces décennies passées? Seuls les noms des terroristes resurgissent!! Comme si notre combat n'a pas eu ses héros! Comme s'il n' y avait pas des braves parmi les enfants de peuple.

                Le résultat est là incontestable : l'islamisme s'est renforcé et est devenu plus prégnant sur la société. Pourquoi, comment? L'Eta est entre les mains d'une bureaucratie corrompue, avide de privilèges et de prébendes.

                Le résultat est sans appel : les chefs de notre armée se demandent tous s'ils peuvent se rendre sans risque à l'étranger! Alors, que Dhina à Londres, Heddam à Washington, et d'autres encore se pavanent la tête haute, alors dans dans les archives des institutions il y a de quoi documenter un "Nuremberg" Algérien pour juger ces monstres! Alors pourquoi toute cette doccumentation n'est-elle pas révélée au grand jour?

                Plutôt que de répondre poliment au questions du juge suisse, pourquoi le Général Nezzar ne fait-il pas le procès des dirigeants islamistes concepteurs et commendataires de crimes contre l’Humanité?
                Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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                • #9
                  Permettez moi aussi de rappeler ce que les barbares ont dit:

                  "Si nous ne gagnons pas les elections, nous appellerons au djihad à partir des mosquées ."

                  Hélas Chadli a tout fait pour qu'ils remportent ces élections.
                  Rappelez vous le jour ou il a reçu Benhadj alors que celui-ci était en tenue militaire, et ou il a rçu l'assurance qu'il restera président de la " REPUBLIQUE".

                  Le même Belhadj qui avait déclaré également :

                  Nos universités sont des usines à fabriquer des batards .

                  Insulte à tous les algériens ayant des filles à l'université .

                  Abassi avait déclaré, " nous mettrons ces démocrates dans des bateaux à destination de l'occident, et au retour nous les chargerons de pasdarans iraniens , qui nous aiderons à mettre de l'ordre " .
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                  Commentaire


                  • #10
                    Et encore une chose. L'ANP n'a pas fait face seule à l'hydre islamiste. C'est avec le peuple à ses côté qu'elle a pu s'acquitter de sa mission républicaine.
                    Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

                    Commentaire


                    • #11
                      C'est avec le peuple à ses côté qu'elle a pu s'acquitter de sa mission républicaine.
                      Et nous FEMMES qui n'ont pas baissés les bras face aux menaces des barbares, ce qui n'était pas le cas de beaucoup d'hommes !!
                      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                      • #12
                        L'armée à mené une "fausse guerre" et c'est au peuple de mener "la vraie" contre ces détracteurs de la liberté et de la justice.
                        "serviteurs de la République" me paraît plus approprié que "détracteurs de la liberté et de la justice". par contre, je trouve le terme "populace" beaucoup plus approprié que "peuple"

                        Commentaire


                        • #13
                          DÉCLARATION SUR LE PRINCIPE DE NON-INGÉRENCE

                          Pétition en faveur du général Khaled Nezzar

                          Les soussignés, soucieux des conséquences néfastes sur les relations entre les peuples algérien et suisse, que pourrait susciter l'interpellation de Monsieur Khaled NEZZAR par la procureure fédérale de la Confédération Helvétique,
                          - Estiment qu'au-delà de la personne du général NEZZAR, ministre de la Défense Nationale et coprésident de la République au sein du Haut Comité d'Etat, c'est le peuple algérien qui se trouve atteint dans sa souveraineté et sa dignité.
                          - Rappellent que depuis le début de l'année 1991, les atteintes aux personnes et aux biens, les menaces sur l'ordre républicain perpétrées par les dirigeants, militants et adhérents du FIS, l'appel à la grève insurrectionnelle et à la désobéissance civile, l'appel à la guerre sainte par des prêches virulents, avaient pour finalité l'instauration d'un Etat théocratique.
                          - Constatent que suite à ces appels, les membres du FIS ont perpétré des massacres collectifs et des assassinats par dizaines de milliers, s'attaquant sans distinction aux populations civiles, aux fonctionnaires de l'Etat, aux journalistes et membres des médias audiovisuels, aux services de sécurité et aux membres de l'Armée.
                          - Rappellent, en tant que de besoin, à ceux qui l'ignorent et à ceux qui, 20 ans après, n'en auraient plus le souvenir, que le FIS a été, successivement, le géniteur de l'AIS (Armée Islamique du Salut), du GIA (Groupes Islamistes Armés) et du GSPC (Groupes Salafistes pour la Prédication et le Combat) qui se sont en définitive fondus dans l'AQMI (Al Qaîda au Maghreb Islamique) qui perpétue ses crimes aussi bien dans les pays du Sahel qu'en Algérie.
                          - Considèrent qu'à la demande de la société civile, tout particulièrement du Comité National pour la Sauvegarde de l'Algérie (CNSA), et suite à la réquisition des autorités légales, l'Armée Nationale Populaire est intervenue à partir de 1991 pour soutenir la légitime défense de la République menacée et de la Démocratie déclarée impie par l'intégrisme.
                          - Sont persuadés que l'action des patriotes soutenus par l'ANP a évité à l'Algérie le sort tragique de l'Afghanistan.
                          - Déplorent que Madame la Procureure fédérale ait, a priori, donné suite à la requête de deux anciens responsables du FIS demeurant en Suisse qui, par le biais d'une «plainte pour tortures», entendent en réalité, présenter leur organisation aujourd'hui dissoute par la justice algérienne, comme victime du gouvernement et de son armée.
                          - Constatent que ces plaintes, comme celles classées sans suite par le procureur près le tribunal de Paris, ont pour finalité de masquer aux yeux de l'opinion internationale les crimes de l'intégrisme islamiste dont le monde n'a réellement pris conscience qu'après le 11 septembre 2001 et ainsi se replacer sur l'échiquier politique à la faveur d'un islamisme «modéré» dont le «printemps arabe» aurait suscité l'éclosion.
                          - Estiment dérisoire d'attribuer un acte de torture à un ministre de la Défense alors qu'il est évident qu'en période de troubles si dépassements, violences ou même tortures il y a, ces actions aussi inadmissibles et condamnables qu'elles soient sont inhérentes à des situations extrêmes parfois vécues sur le terrain à l'insu de la hiérarchie, M.NEZZAR ayant publiquement déclaré avoir sanctionné tous les dépassements portés à sa connaissance et en particulier les faits de torture qu'il a qualifiés comme «une salissure qu'il faudra s'employer à effacer».
                          - Déclarent formellement qu'ils n'entendent pas, par la présente pétition, se substituer au Général NEZZAR, qui, sur l'honneur, s'est engagé à se représenter en Suisse pour assurer sa défense, mais se sentent atteints dans leur dignité de citoyens algériens par l'intervention d'un Etat étranger dans les affaires intérieures de leur pays lorsque sont posées des questions telles que:
                          - «De quelle manière avez-vous participé au coup d'Etat du 11 janvier 1992?» Ce qui laisse préjuger que l'on a déjà conclu à la réalité d'un coup d'Etat dans l'ignorance de l'article 84 de la Constitution du 23 février 1989 et des conditions de son application.
                          - Pouvez-vous m'expliquer quel type de décision a pu prendre le Haut Comité d'Etat?
                          - «Comment les décisions du HCE étaient-elles mises en oeuvre jusqu'aux instances politiques du bas de l'échelle?»
                          - «Comment les décisions de l'Etat-major étaient-elles mises en oeuvre?»
                          - Considèrent de tels propos et agissements comme attentatoires à la souveraineté algérienne et au principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d'un Etat, principe indispensable à la paix, au respect mutuel et aux bonnes relations entre les membres de la communauté internationale.
                          - Déclarent que les Algériens, qui ont tant souffert de la barbarie terroriste durant plus d'une décennie dans l'indifférence du monde «civilisé», sont consternés par l'approche superficielle de leur malheur, par des personnes, institutions ou Etats, ignorants des réalités du pays et prétendant s'arroger le monopole de la défense des droits humanitaires.
                          - Conscients de la nécessité de préserver les relations liant les deux peuples depuis la précieuse intervention suisse aux préliminaires des Accords d'Evian, les soussignés en appellent aux responsables de l'Etat Algérien pour prendre toutes mesures dictées par les circonstances et prier le gouvernement de la Confédération Helvétique d'agir dans les délais opportuns, pour mettre un terme à une procédure que ne justifient ni la réalité des faits invoqués, ni les principes du droit international.

                          Jeudi 29 Decembre 2011,
                          l'Expression
                          /...
                          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                          • #14
                            .../

                            Une petite brochette de la liste des signataires
                            , beaucoup de députés et de sénateurs, des journalistes et d'anciens diplomates !!!!!

                            18. ASLAOUI Leila (ancien magistrat, ancien ministre, ancienne sénatrice)


                            26. BEDJAOUI Mohammed (ancien ministre de la Justice, ancien ministre des Affaires étrangères, ancien président du Conseil constitutionnel algérien, ancien président de la Cour internationale de justice de la Haye)
                            27. BENHABYLES Saïda (ancienne ministre, ancienne sénatrice, fondatrice de la Fédération internationale des associations des victimes du terrorisme, Prix des Nations unies pour la société civile 2001)

                            43. BOUABDALLAH Wahid (ancien P-DG d'entreprise nationale, industriel)

                            47. BOUDJEDRA Rachid (écrivain)

                            53. BOUHARA Abderrezak (ancien résistant, ancien ministre, sénateur)
                            54. BOULAHIA Brahim (ancien magistrat, ancien député, sénateur)
                            55. BOULENOUAR Amine (avocat)
                            56. BOUMENDIL Mohamed Arezki (journaliste, ancien député)
                            57. BOUMAHROUK Hafid (député)
                            58. BOUMEDIENNE Tayeb (avocat, député)
                            59. BOURAYOU Khaled (avocat)
                            60. BOURBIA Salah (ancien résistant)
                            61. BOURGOUD Najib (enseignant universitaire)

                            63. BOUZIDI Abdelmadjid (professeur des universités, économiste)
                            64. BOUZIANE Mohamed (professeur de médecine dentaire, ancien recteur)
                            65. BRAHIMI Miloud (avocat, membre fondateur et ancien président de la Ligue algérienne des droits de l'homme)
                            66. CHABANE Hakim (P-DG entreprise nationale)
                            67. CHALLAL Arezki (opérateur économique, membre du bureau exécutif du Conseil supérieur du patronat)
                            68. CHALLALI Mohand (universitaire, chercheur)
                            69. CHAID Abderrahmane (ancien résistant, sénateur)
                            70. CHACHOUA Louisa (professeur, chef de service Hôpital d'ophtalmologie à Parnet, professeur d'ophtalmologie à la Faculté de médecine, membre des sociétés d'ophtalmologie algérienne, française et américaine, sénatrice)
                            71. CHAFAA Abbès (avocat, député)
                            72. CHENAF Rachid (directeur d'entreprise)
                            73. DERGHAL Abdelhafid (médecin maître assistant en chirurgie)
                            74. DJEBBAR Ahmed (professeur émérite, université des sciences et technologies de Lille, ancien ministre)
                            75. DJAKOUN Abdelwahab (directeur du quotidien La Nouvelle République
                            76. DJAMAA Mohamed-Kamel (ancien P-DG d'entreprise, retraité)
                            77. DJAMAA Abdelatif (médecin spécialiste)
                            78. DJEGHABA Mohamed (ancien résistant, ancien ministre)
                            79. DJELLOULI Noureddine (cadre supérieur de la Nation, ancien président de l'Union nationale de la jeunesse algérienne)
                            80. DJEL Salah (professeur d'université, député)
                            81. DJOUDI Noureddine (ancien ambassadeur)
                            82. DOUM Ahmed (ancien dirigeant du FLN en France 1954-1962, directeur de société)
                            83. DRIF-BITAT Zohra (ancienne résistante, ancienne députée de la 1re Assemblée constituante, vice-présidente du Sénat, membre du Comité exécutif de l'Union interparlementaire)
                            84. EL-HADJ Laïb (ancien député, sénateur)
                            85. ETTAYEB Leïla (ancienne résistante, professeur de français, ancien ministre, sénatrice)
                            86. FATTANI Ahmed (directeur du quotidien L'Expression)
                            87. FETTANI Nourredine (consultant)
                            88. GACEB Ahmed (ancien cadre supérieur de l'Etat, ancien président du Conseil d'administration du groupe Kipco Algérie)
                            89. HALLAS Lyès (journaliste)
                            90. HAMADOUCHE Mehenna (directeur de la rédaction du quotidien «La Nouvelle République», traducteur)
                            91. HAMADOUCHE Mohamed (cadre supérieur CNEP)
                            92. HAMIANI Réda (ancien ministre, président du Forum des chefs d'entreprise)
                            93. HAROUN Ali (ancien membre du Conseil national de la révolution algérienne, docteur en droit, ancien ministre des Droits de l'homme)
                            94. ISSAD Malek (directeur général de société)

                            96. KADEDIR Mansour (ancien magistrat)
                            97. KACEM Sihem (universitaire, cadre d'entreprise)
                            98. KARA Mostefa (professeur en médecine, chef de clinique cardiologie)
                            99. KASDALI Nourdine (ancien ministre)
                            100. KASRI Rafika (docteur en chimie, professeur à l'université, ancien recteur, sénatrice)
                            101. KORICHI Abdelkrim (docteur d'Etat en psychologie, professeur à l'université, sénateur)

                            103. KHATRI Kaddour (administrateur, président de club sportif RCO)
                            104. KHELIL Mahi (député)
                            105. KHELLADI Khaled (ancien ambassadeur, ancien résistant)
                            106. KRIM Omar (vice-président de l'Union, bâtonnier de Mostaganem)
                            107. LAKHDAR Yacoub (ancien P-DG d'entreprise)
                            108. LAZHARI Bouzid (professeur de droit, rapporteur du Comité des droits de l'homme de l'ONU à Genève)
                            109. LAKHDARI Azzi (avocat, député)
                            110. LAKHDARI Saïd (avocat, député)
                            111. LAKHDARI Mohamed-Lakhdar (ancien cadre syndical, ancien député)
                            112. LAOUFI Abdelatif (sociologue)
                            113. LAROUSSI Mohamed Sadek (ancien membre du Conseil constitutionnel)
                            114. LEMKAMI Zhor (ancienne résistante, bibliothécaire)
                            115. LEMKAMI Mohamed (ancien résistant, ancien vice-président de l'APN, ancien ambassadeur)
                            116. LOUZ Yacine (docteur en pharmacie)
                            117. LOUNIS OURIDA (avocate)
                            118. LOUNAOUCI Hamid (député et ancien ministre)
                            119. MAARFIA Mohamed (ancien résistant, journaliste)

                            121. MALEK Réda (négociateur des Accords d'Evian, ancien ambassadeur, ancien ministre des Affaires étrangères, ancien chef de gouvernement)
                            122. MALKI Abdelkader (dirigeant syndical, ancien député, sénateur)
                            123. MANKOUR Maâmar (député)
                            124. MEBARKI Mohamed (docteur d'Etat en physique, professeur d'université, ancien recteur)
                            125. MEBIROUK Mahfoud (avocat, député)
                            126. MECHATI Mohamed (ancien résistant, membre des 22, ancien ambassadeur)
                            127. MEDJAHED Bachir (ancien cadre supérieur de l'Etat, analyste à l'INESG)

                            129. MENAD Bachir (président sortant de l'Union, actuel bâtonnier de Médéa)
                            130. MIRA Smaïl (député)
                            131. MOKHTARI Lazhar (sénateur, président de la Commission juridique au Conseil de la Nation)
                            132. NEDDAF Lakhdar (DG d'entreprise)
                            133. NEDJOUA Mabrouk (bâtonnier d'Annaba)
                            134. MOKRANI Abdallah (docteur d'Etat université de Manchester)
                            135. NASRI Azzouz (ancien président de la Cour suprême)
                            136. NAZAR Chérif (avocat, député)
                            137. NIBOUCHE Mohammed (pharmacien, Head of Public and Regulatory Affairs Department)
                            138. OKBI Abdelghani (ancien enseignant, ancien ambassadeur, ancien ministre, sénateur)
                            139. OUALI Rachid (avocat)
                            140. OUALI Djafar (directeur général de société)
                            141. OUAMRANE Ramdane (dirigeant de société)
                            142. RACHEDI Ahmed (cinéaste et réalisateur)
                            143. RAMDANE Omar (ancien résistant, ancien président du Forum des chefs d'entreprise, industriel)
                            144. REGUIEG Tahar (bâtonnier de Tlemcen)
                            145. RIGHI Mustapha (psychologue, spécialiste des milieux industriels)
                            146. REBRAB Issad (industriel, président du groupe Cevital)
                            147. REKIK Salaheddine (avocat)
                            148. SAI Ahmed (bâtonnier de Sétif)
                            149. SAHLI Belkacem (professeur d'université)
                            150. SEDDIKI Ahmed (entrepreneur)
                            151. SENHADJI Kamel (professeur des universités, directeur de recherches, Lyon, France).
                            152. SMAINE Abdelkader (cadre supérieur de la Nation, ancien député)
                            153. SENOUCI Brahim (docteur d'Etat, enseignant à l'université de Cergy Pontoise)
                            154. SENOUCI Bachir (Mouvement associatif de l'environnement)
                            155. SELINI Abdelmadjid (bâtonnier de l'Ordre des avocats d'Alger, ancien président de l'Union nationale des avocats)
                            156. SI-YOUCEF Hocine (bâtonnier de Tizi Ouzou)
                            157. SI-YOUCEF Mahmoud (ancien wali «Préfet»)
                            158. SI ALI Mohamed (avocat, député)
                            159. SID Samir (reporter-photographe)
                            160. SIFI Abdelouahab (directeur d'institut)
                            161. TALBI Badaoui (entrepreneur)
                            162. TAYEB-BRAHIM Hacène (cadre d'entreprise, ancien sénateur)
                            163. TERBAG Nouredine (ancien parlementaire)
                            164. TOUALBIA Madjid (journaliste)
                            165. TIFOUR Ben Moussa (avocat, député)
                            166. TIAR Taha (ancien directeur de l'Ecole nationale d'administration, membre du Conseil constitutionnel, docteur en droit)
                            167. TIBAOUI Ahmed (membre du Forum des chefs d'entreprise)
                            168. YEKHLEF Youcef (ancien cadre supérieur de l'Etat)
                            169. YACHIR Naïma (journaliste)
                            170. ZAATOUT Salah (médecin, maître-assistant en chirurgie, directeur de clinique)
                            171. ZAHALI Abdelkader (ancien député, sénateur)
                            172. ZERARI Rabah «Cdt Azzedine» (ancien membre du Conseil national de la Révolution algérienne, sénateur, auteur)
                            173. ZEHAR Mohamed (pharmacien)
                            174. ZEGHDAR M'hammed (professeur de médecine interne, chercheur, ancien sénateur)
                            175. ZIANE Benattou (professeur en médecine)
                            176. ZITOUNI Messaoud (professeur de médecine, ancien doyen de faculté)
                            177. ZOUAOUI Benhamadi (journaliste)
                            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                            • #15
                              Indignité

                              La Suisse a vraiment perdu toute dignité pour ramper comme cela devant les USA.

                              Quelle honte !

                              Comment un pays qui prospère en fructifiant les capitaux des régimes les plus crapuleux du monde ose-t-il se poser en justicier ?

                              Quel pays de clowns !
                              Dernière modification par abdelbaki, 29 décembre 2011, 04h53.

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