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Boutéflika veut satisfaire son égoisme

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  • Boutéflika veut satisfaire son égoisme

    Bouteflika et le FLN veulent réviser la constitution
    De la fragilité institutionnelle à l’instabilité constitutionnelle
    La classe politique et la presse nationale s’interrogent, depuis un certain temps, sur les intentions réelles de ceux qui veulent réviser la Constitution. Abdelaziz Belkhadem, qui se présente comme un farouche partisan de la modification de Loi fondamentale, en a fait son cheval de bataille.
    On comprend, dès lors, pourquoi la « cuisine constitutionnelle » dans laquelle se mijote le projet est installée au siège du FLN qui, pour ce faire, a mis en place une commission de « réflexion ». L’objectif est assez évident : la suppression de la limitation des mandats présidentiels, la création d’un poste de vice-président de la République et, accessoirement, la transformation du quinquennat en septennat. Si l’on ne peut reprocher à l’ancien parti unique de « réfléchir » sur cette question, on peut, cependant, dire que tout projet de révision constitutionnelle doit faire l’objet d’un débat public et national. Quant aux modifications qui seront apportées, ces dernières, dans un souci du respect du constitutionnalisme démocratique, doivent être l’oeuvre des spécialistes du droit constitutionnel. Or, le débat sur cette révision qui se précise un peu plus chaque jour est mené en vase clos. Et, bizarrement, ce sont les anciens doctrinaires de la pensée unique qui s’y penchent ! Il s’agit, de ce point de vue, non pas d’une révision structurelle mais d’une révision conjoncturelle qui obéit beaucoup plus à des considérations d’ordre politique (personnelle ?). La différence réside, en effet, dans le fait que la révision structurelle consiste en une refonte profonde, pour une raison ou une autre, du texte constitutionnel. Des modifications conjoncturelles, l’Algérie, pas plus que les autres pays africains, en a fait une spécialité. Depuis l’Indépendance, le pays a connu quatre Constitutions. En termes de statistique, chaque chef d’Etat a eu la sienne (Ben Bella, Boumediène, Chadli, Zeroual). De ce fait, le pays a été installé dans une instabilité constitutionnelle chronique. Si l’on ose une comparaison, la Constitution américaine, adoptée en 1787, à l’exception de quelques amendements, n’a jamais subi de grandes modifications. Surtout pas dans ses principes fondamentaux. Dans l’absolu, une constitution, étant une œuvre humaine, pourra logiquement être adaptée à l’évolution de la société d’autant plus que, dans la majorité des cas, elle prévoit la possibilité d’une révision. Toutefois, la question qu’on doit se poser est de savoir si les modifications qui seront apportées sont constitutionnellement nécessaires. Mais les régimes absolutistes ou ceux qui glissent progressivement vers l’absolutisme font peu de cas des règles démocratiques et des lois organiques. Chez eux, les révisions constitutionnelles ne s’expliquent, à des exceptions près, que par la tentation despotique des dirigeants. L’un change la Constitution pour renforcer ses pouvoirs, l’autre pour régner à vie.En Algérie, le projet en gestation ne vise, ni plus ni moins, que la concrétisation du rêve que caresse Bouteflika de briguer un troisième mandat à la prochaine élection présidentielle et même... au-delà ! Notre pays n’est pas, toutefois, le seul qui s’apprête à remanier sa Loi fondamentale. Hafedh El Assad avait ouvert le bal en Syrie. Hosni Moubarak, en Egypte, lui a emboîté le pas. Maâmar Kadhafi en Libye, Zine El Abidine Ben Ali en Tunisie, Idriss Deby au Tchad aussi. Avant eux, il y a eu Ould Taya (Mauritanie), Lansana Conté (Guinée), Omar Bongo (Gabon), Gnassingbé Eyadéma (Togo). Tous ont profité d’une révision constitutionnelle pour se faire réélire ou pour consacrer une sorte de « césarisme présidentiel ». Pourquoi Bouteflika en fera-t-il l’exception ? Dans la logique de son nouveau chef du gouvernement, il faut donner encore le temps au Président pour « concrétiser son programme ». Mais un chef d’Etat qui n’a pu réaliser « les ambitions du peuple » en dix ans, pourra-t-il les réaliser en quinze ans ?

    A. Benchabane
    Dernière modification par Itrane, 30 mai 2006, 05h24.

  • #2
    Et savez vous pourquoi on les laisse faire? parce qu'on a peur du choix du peuple, on a peur que le peuple s'exprime et choisisse l'islam, et c'est toute une élite dite "démocrate" qui maintient ces hommes aux pouvoir à travers la presse et autres moyens d'influences, ces kabyles de services croient servir les interets des Kabyles et la minorité communiste arabe, mais en fait, ils servent les interets de toufik.

    Il n'y a qu'un seul homme qui a vu vrai: Hocine Aït Ahmed, il ne s'est jamais associé au pouvoir, quitte à s'allier avec les islamistes.

    Hocine Ait Ahmed est agé et experimenté, il sait ce qu'il fait, et je crois qu'il vise loin, Imaginez un Etat islamique avec Taleb Ibrahimi, je suis sur qu'il serait plus tolérant et moins hypocrite envers les kabyles que toufik/smain/boutesrika, de plus il y'aurait moins de corruption et boutsriQisme vu que les elus de la nation seront vraiment elu!

    J'ai peur qu'un mouvement indepentiste violent et généralisé voit le jour en kabylie avant la fin du toufiQo-boutesRriQisme-R, on se ferait massacrer comme des moutons, et ce, avec la benediction de Paris et de washinton... vu que y'a des kabyles democrates partout dans le gouvernement, l'administration, l'arméé...etc de quoi vous plaignez vous a leqbayel?

    Par contre, si un Etat islamique voit le jour, il ne sera pas aussi soutenu par Paris et Washinton vu que les islamistes ne travailleront plus pour eux et que leur coutumes et rites repousseront les sociétés occidentales, les islamistes auront donc peur d'appliquer leurs lois de djouhalas primitives en Kabylie... la seul sortie honorable pour eux est de donner une très large autonomie aux kabylie au nom de la choura (tachawara leqbayel an la youtabbiqu ma qala allah), ils accepteront parce que sinon une guerre civile eclatera car tous les democrates kabyles ne verront aucun interet à soutenir des singes au pouvoir et il seront les premiers au jihad, les islamistes ne voudront pas d'une guerre civile de peur de perdre leur apres une intervention américaine (puisque les islamistes ne metteront plus les interets de washcinton avant ceux de l'algérie comme le fait l'equipe QRQ-R, un blaspheme pour Bush!).

    En fait, avec un etat islamique, les kabyles seront gagnants quelque soit le senario, autonomie ou independance.. (contrairement aux islamistes seulement gangants dans le premier et les americans seulement gangants dans le deuxieme), le second senario est sanguinaire donc je prefere le premier.

    Le sage Aît Ahmed ne veut donner le choix de souveraineté aux Kabyles puisque infructif, laissons les autres choisir!

    On a tout à gagner avec un etat islamique, allah d amoqran!

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    • #3
      c'est le début de la dynastie des Abdelaziz
      Abdelaziiz le président
      Abdelaziz Al Khadem
      Abdelaziz le Marrakhi
      Abdelaziz pour toujours .....la paranoia.

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      • #4
        on en a plein les c.....de Bouteflika.........
        Non mais vous vous imaginez un peu ça, Bouteflik encore et encore pendant des années encore ...aaaaaaaaaaaahhhhhhhhh
        :22:

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