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LIBAN - RAPPORT Dans un classement sur la prospérité dans 110 économies, le Liban s’est classé au 82e rang mondial et à la dixième place parmi les pays de la région MENA. L’étude mesure la prospérité de manière globale en tenant compte à la fois de la richesse matérielle et de la qualité de vie.
Le Legatum Institute a classé le Liban au 82e rang mondial à la 10e place parmi les pays de la région Moyen-Orient-Afrique du Nord (MENA), dans son classement sur la prospérité dans 110 économies.
Le pays du Cèdre s’est en outre classé à la 25e place parmi 27 pays à revenus moyens-supérieurs (PRMS) inclus dans l’étude. L’année dernière, il s’était rangé à la 84e place du classement mondial et à la dixième place parmi les pays de la région MENA.
Dans le monde, le Liban s’est ainsi classé avant l’Équateur, le Guatemala et la Bolivie, mais après la Syrie, la Namibie et la Moldavie. Dans l’étude citée par le Lebanon This Week de la Byblos Bank, la prospérité est mesurée dans un sens global, incluant à la fois la richesse matérielle et la qualité de vie. Les résultats montrent ainsi que dans le monde, ce ne sont pas les pays enregistrant le PIB le plus élevé qui prospèrent nécessairement le plus mais ceux où les citoyens vivent heureux, en bonne santé et libres.
Les données couvrent ainsi 89 variables regroupées en huit sous-indices, chacun étant identifiés comme des composantes essentielles de la prospérité. Le classement final attribué aux pays étant ainsi le résultat de la moyenne des huit sous catégories.
Concernant le sous-indice mesurant l’économie dans un pays donné, le Liban s’est ainsi classé à la 58e, place mondiale, à la huitième parmi les pays de la région MENA et au 12e rang des PRMS.
Cette catégorie mesure les performances des pays dans quatre domaines essentiels à la prospérité que sont les politiques macroéconomiques, les attentes économiques et leur satisfaction, les bases de la croissance, et l’efficacité du secteur financier.
Dans le monde, le Liban est ainsi arrivé avant l’Algérie, la Croatie et le Cambodge, mais derrière le Kazakhstan, la Grèce et la Syrie. Dans la région MENA, le Liban s’est par ailleurs classé devant l’Algérie, la Jordanie et l’Iran, mais derrière la Tunisie, la Syrie et le Maroc. Parmi les pays à revenus moyens supérieurs, il s’est en outre rangé devant l’Algérie et la République dominicaine, mais derrière le Kazakhstan et la Colombie.
Dans la catégorie mesurant l’entrepreneuriat et les opportunités, le pays du Cèdre s’est classé à la 81e place mondiale, à la dixième parmi les pays de la région MENA et au 24e rang parmi les PRMS. Ce sous-indice mesure ainsi la qualité de l’environnement pour favoriser l’entrepreneuriat, la capacité d’innovation des entreprises et le niveau d’opportunités. Dans le monde, le Liban arrive devant la Namibie, l’Ouzbékistan et l’Algérie, mais derrière l’Indonésie, l’Égypte et le Vietnam. Dans la région, le Liban se classe avant l’Algérie, l’Iran et le Soudan, sur ce sous-indice, mais après l’Égypte, le Maroc et la Jordanie. Parmi les PRMS, il s’est en outre rangé derrière la Namibie et l’Algérie, mais avant le Venezuela et le Botswana.
Enfin, concernant l’indice sur la gouvernance des pays, le Liban s’est classé à la 94e place mondiale, à la 12e parmi le pays de la région MENA et au 23e rang des pays à revenus moyens-supérieurs. Cette catégorie évalue la performance des pays dans les domaines de la responsabilité des gouvernements, la transparence des élections et la participation politique. Le Liban s’est ainsi classé avant le Yémen, l’Iran et le Soudan, mais après l’Algérie, la Syrie et l’Égypte. Il s’est en outre placé avant la Russie, mais derrière l’Argentine parmi les PRMS.
L'Orient le Jour
Le Legatum Institute a classé le Liban au 82e rang mondial à la 10e place parmi les pays de la région Moyen-Orient-Afrique du Nord (MENA), dans son classement sur la prospérité dans 110 économies.
Le pays du Cèdre s’est en outre classé à la 25e place parmi 27 pays à revenus moyens-supérieurs (PRMS) inclus dans l’étude. L’année dernière, il s’était rangé à la 84e place du classement mondial et à la dixième place parmi les pays de la région MENA.
Dans le monde, le Liban s’est ainsi classé avant l’Équateur, le Guatemala et la Bolivie, mais après la Syrie, la Namibie et la Moldavie. Dans l’étude citée par le Lebanon This Week de la Byblos Bank, la prospérité est mesurée dans un sens global, incluant à la fois la richesse matérielle et la qualité de vie. Les résultats montrent ainsi que dans le monde, ce ne sont pas les pays enregistrant le PIB le plus élevé qui prospèrent nécessairement le plus mais ceux où les citoyens vivent heureux, en bonne santé et libres.
Les données couvrent ainsi 89 variables regroupées en huit sous-indices, chacun étant identifiés comme des composantes essentielles de la prospérité. Le classement final attribué aux pays étant ainsi le résultat de la moyenne des huit sous catégories.
Concernant le sous-indice mesurant l’économie dans un pays donné, le Liban s’est ainsi classé à la 58e, place mondiale, à la huitième parmi les pays de la région MENA et au 12e rang des PRMS.
Cette catégorie mesure les performances des pays dans quatre domaines essentiels à la prospérité que sont les politiques macroéconomiques, les attentes économiques et leur satisfaction, les bases de la croissance, et l’efficacité du secteur financier.
Dans le monde, le Liban est ainsi arrivé avant l’Algérie, la Croatie et le Cambodge, mais derrière le Kazakhstan, la Grèce et la Syrie. Dans la région MENA, le Liban s’est par ailleurs classé devant l’Algérie, la Jordanie et l’Iran, mais derrière la Tunisie, la Syrie et le Maroc. Parmi les pays à revenus moyens supérieurs, il s’est en outre rangé devant l’Algérie et la République dominicaine, mais derrière le Kazakhstan et la Colombie.
Dans la catégorie mesurant l’entrepreneuriat et les opportunités, le pays du Cèdre s’est classé à la 81e place mondiale, à la dixième parmi les pays de la région MENA et au 24e rang parmi les PRMS. Ce sous-indice mesure ainsi la qualité de l’environnement pour favoriser l’entrepreneuriat, la capacité d’innovation des entreprises et le niveau d’opportunités. Dans le monde, le Liban arrive devant la Namibie, l’Ouzbékistan et l’Algérie, mais derrière l’Indonésie, l’Égypte et le Vietnam. Dans la région, le Liban se classe avant l’Algérie, l’Iran et le Soudan, sur ce sous-indice, mais après l’Égypte, le Maroc et la Jordanie. Parmi les PRMS, il s’est en outre rangé derrière la Namibie et l’Algérie, mais avant le Venezuela et le Botswana.
Enfin, concernant l’indice sur la gouvernance des pays, le Liban s’est classé à la 94e place mondiale, à la 12e parmi le pays de la région MENA et au 23e rang des pays à revenus moyens-supérieurs. Cette catégorie évalue la performance des pays dans les domaines de la responsabilité des gouvernements, la transparence des élections et la participation politique. Le Liban s’est ainsi classé avant le Yémen, l’Iran et le Soudan, mais après l’Algérie, la Syrie et l’Égypte. Il s’est en outre placé avant la Russie, mais derrière l’Argentine parmi les PRMS.
L'Orient le Jour
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