C’est en écoutant quelqu’un parler de la mendicité en tant que phénomène que l’idée m’est venue pour soumettre le thème ici, afin de connaitre vos impressions.
Mon avis personnel est que je me méfie des gens qui mendient. Il m’arrive, bien sûr, de donner quelques pièces de monnaie, mais beaucoup plus par geste fortuit et irréfléchi que par esprit de solidarité. Il m’arrive même de regretter mon geste après.
En fait, c’est parce que j’ai tellement vu de cas de ces soit disant mendiants que je doute en leur morale, si morale il y a : Des gens de tous bords investissent des "endroits porteurs" tels que les abords des mosquées pour mendier. Quand on leur propose de la nourriture (un pain, un sachet de lait, …), ils la refusent et préfère de l’argent, alors qu’une personne censée être pauvre, dans le besoin, accepte toute forme d’aide.
Le cas le plus édifiant que je connais est celui de cette dame répondant au nom d’ "El 3akri". Son mari travaille et ses enfants aussi. Il y a quelques années de cela, ils ont acheté un lot de terrain et ont construit une villa d’un étage, après avoir vendu leur logement vétuste. On m’a dit qu’elle va au hammam pour soigner sa beauté. De temps en temps, elle vient dans mon voisinage, proposer à la vente des habits de femmes (Djbeb, khimarate,…). Une fois, je l’ai personnellement aperçue en action de mendier dans un quartier d’Alger! Après l’effet à la fois de surprise et de doute, je voulais m’en assurer et je me suis rapproché d’elle, mais de sorte à ce qu’elle ne me voit pas. C’était bien elle : El 3akri en personne, mais avec un habit de fortune, de circonstance quoi! "Wahadt rabi" par la chahada et je me suis sauvé. Quand j’ai raconté l’évènement à la maison, tout le monde est resté sidéré pour entendre dire à la fin : "Wellah ma b qa walou fi 8ad eddénia" (je jure au nom d'Allah qu'il ne reste plus rien dans ce monde).
Personnellement, j’aide les pauvres de mon entourage immédiat que je connais bien. Je suis donc sûr de leur précarité sociale. Ils ne sortent d’ailleurs pas pour aller mendier. Ils sont humbles. Ce sont ces gens-là qui méritent l’aide à mon sens.
Qu’en est-il de vous?
Mon avis personnel est que je me méfie des gens qui mendient. Il m’arrive, bien sûr, de donner quelques pièces de monnaie, mais beaucoup plus par geste fortuit et irréfléchi que par esprit de solidarité. Il m’arrive même de regretter mon geste après.
En fait, c’est parce que j’ai tellement vu de cas de ces soit disant mendiants que je doute en leur morale, si morale il y a : Des gens de tous bords investissent des "endroits porteurs" tels que les abords des mosquées pour mendier. Quand on leur propose de la nourriture (un pain, un sachet de lait, …), ils la refusent et préfère de l’argent, alors qu’une personne censée être pauvre, dans le besoin, accepte toute forme d’aide.
Le cas le plus édifiant que je connais est celui de cette dame répondant au nom d’ "El 3akri". Son mari travaille et ses enfants aussi. Il y a quelques années de cela, ils ont acheté un lot de terrain et ont construit une villa d’un étage, après avoir vendu leur logement vétuste. On m’a dit qu’elle va au hammam pour soigner sa beauté. De temps en temps, elle vient dans mon voisinage, proposer à la vente des habits de femmes (Djbeb, khimarate,…). Une fois, je l’ai personnellement aperçue en action de mendier dans un quartier d’Alger! Après l’effet à la fois de surprise et de doute, je voulais m’en assurer et je me suis rapproché d’elle, mais de sorte à ce qu’elle ne me voit pas. C’était bien elle : El 3akri en personne, mais avec un habit de fortune, de circonstance quoi! "Wahadt rabi" par la chahada et je me suis sauvé. Quand j’ai raconté l’évènement à la maison, tout le monde est resté sidéré pour entendre dire à la fin : "Wellah ma b qa walou fi 8ad eddénia" (je jure au nom d'Allah qu'il ne reste plus rien dans ce monde).
Personnellement, j’aide les pauvres de mon entourage immédiat que je connais bien. Je suis donc sûr de leur précarité sociale. Ils ne sortent d’ailleurs pas pour aller mendier. Ils sont humbles. Ce sont ces gens-là qui méritent l’aide à mon sens.
Qu’en est-il de vous?
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