Ce qui devait arriver, arriva !
Le pouvoir Syrien vient de manger son pain Blanc, après des mois de révolte pacifique, les contestataires passent aux choses sérieuses.
Damas a été dimanche, pour la première fois depuis le début du soulèvement en Syrie, le théâtre d'une attaque des adversaires au régime...
Au moins deux roquettes ont été tirées à l'aube sur l'un des sièges du parti Baas au pouvoir depuis 1963 en Syrie, ont rapporté des habitants.
L'Armée syrienne libre, composée de déserteurs et basée en Syrie, a revendiqué l'attaque.
«La place où est situé le siège local du parti Baas a été bouclée par la police. Mais j'ai vu de la fumée s'élever du bâtiment et des camions de pompiers», a dit un des témoins qui a requis l'anonymat.
Cette attaque n'a pu être vérifiée de manière indépendante, la Syrie ayant expulsé la plupart des journalistes indépendants.
Mercredi, l'Armée syrienne libre a mené une première attaque d'envergure contre le gouvernement en tirant au lance-roquette et à la mitrailleuse sur une installation des services de renseignements de l'armée de l'air.
Reuters
Le pouvoir Syrien vient de manger son pain Blanc, après des mois de révolte pacifique, les contestataires passent aux choses sérieuses.
Damas a été dimanche, pour la première fois depuis le début du soulèvement en Syrie, le théâtre d'une attaque des adversaires au régime...
Au moins deux roquettes ont été tirées à l'aube sur l'un des sièges du parti Baas au pouvoir depuis 1963 en Syrie, ont rapporté des habitants.
L'Armée syrienne libre, composée de déserteurs et basée en Syrie, a revendiqué l'attaque.
«La place où est situé le siège local du parti Baas a été bouclée par la police. Mais j'ai vu de la fumée s'élever du bâtiment et des camions de pompiers», a dit un des témoins qui a requis l'anonymat.
Cette attaque n'a pu être vérifiée de manière indépendante, la Syrie ayant expulsé la plupart des journalistes indépendants.
Mercredi, l'Armée syrienne libre a mené une première attaque d'envergure contre le gouvernement en tirant au lance-roquette et à la mitrailleuse sur une installation des services de renseignements de l'armée de l'air.
Reuters
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