Or du passé,jamais oublié, où es-tu?
Perdu en un instant
C'était le paradis
Nous, nous l'avons gâché,mais pourquoi?
Un tel sentiment,c'était un miracle
Né en cachette
Tu es la simplicité, cette chose qui me fait rêver
Tu es ma passion, le mensonge et la vérité
Pour toi j'ai perdu la tête, je ne vois plus la réalité
Comme toujours je t'attendais à un coin
Comme toujours j'imaginais, dans un regard, que je te voyais, toi
Comme toujours je me trompais
Tu es celui que je voudrais, peut-être celui que je n'aurai jamais
Comme une trahison,mais pour nous c'était le bonheur
L'amour unique, cette phrase magique
Elle restera pour toujours,écrite là où tu sais,
Cette phrase que tu veux
Personne n'est plus comme nous
Des désirs extrêmes,une imagination de folie toi et moi
Un cœur unique,d'amants et complices
Et cette énergie,d'une véritable entente ne pourra pas
revenir en nous,si nous ne sommes pas nous
Chacune de nos rencontres
était comme la première, jamais de l'ennui,
Tu t'entourais de moi,comme une poupée
Ils courent, les tics-tacs de la montre
Qui me font
Un instant
Me rappeler les frémissements
Inaccessible réalité
Je peux déjà distinguer
De la montre tombent les tics-tacs
Qui ne finissent pas
Et me séparent
De ces immenses instants
Enfermés dans tes bras
Personne n'est plus comme nous
Perdu en un instant
C'était le paradis
Nous, nous l'avons gâché,mais pourquoi?
Un tel sentiment,c'était un miracle
Né en cachette
Tu es la simplicité, cette chose qui me fait rêver
Tu es ma passion, le mensonge et la vérité
Pour toi j'ai perdu la tête, je ne vois plus la réalité
Comme toujours je t'attendais à un coin
Comme toujours j'imaginais, dans un regard, que je te voyais, toi
Comme toujours je me trompais
Tu es celui que je voudrais, peut-être celui que je n'aurai jamais
Comme une trahison,mais pour nous c'était le bonheur
L'amour unique, cette phrase magique
Elle restera pour toujours,écrite là où tu sais,
Cette phrase que tu veux
Personne n'est plus comme nous
Des désirs extrêmes,une imagination de folie toi et moi
Un cœur unique,d'amants et complices
Et cette énergie,d'une véritable entente ne pourra pas
revenir en nous,si nous ne sommes pas nous
Chacune de nos rencontres
était comme la première, jamais de l'ennui,
Tu t'entourais de moi,comme une poupée
Ils courent, les tics-tacs de la montre
Qui me font
Un instant
Me rappeler les frémissements
Inaccessible réalité
Je peux déjà distinguer
De la montre tombent les tics-tacs
Qui ne finissent pas
Et me séparent
De ces immenses instants
Enfermés dans tes bras
Personne n'est plus comme nous
Commentaire