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Lahcen Daoudi : Le PJD peut remporter les élections si elles sont transparentes et libres

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  • Lahcen Daoudi : Le PJD peut remporter les élections si elles sont transparentes et libres

    Pas d’alliance avec le G8, avec la Koutla, le PJD est prêt à gouverner, sinon il restera dans l’opposition. Lutte contre la corruption, formation et valorisation du travail manuel, 7% de taux de croissance du PIB et 5% en temps de crise, lutte contre les disparités sociales... Ce sont là les principales priorités du PJD.

    Votre parti, contrairement aux législatives précédentes, compte-t-il, cette fois-ci, couvrir la totalité des conscriptions ?

    Oui, cette fois-ci, nous couvrons la totalité des 92 conscriptions, sauf si nous ne trouvons pas le candidat idoine. Beaucoup de gens que nous ne connaissons pas nous sollicitent pour se présenter au nom du PJD, or nous ne pouvons pas donner notre accréditation à n’importe qui.

    Vous êtes tête de liste cette fois-ci à Béni-Mellal, Fès ne vous convient plus ?

    C’est le secrétariat général qui a décidé ainsi, on s’est dit que quel que soit le candidat à Fès on remportera au moins un siège. Or à Béni-Mellal il y a six sièges et le parti estime que si je suis tête de liste dans cette ville, j’aurais la chance d’y remporter au moins deux sièges. Si je ne le fais pas, je considère que j’ai échoué.

    Et vous comptez remporter ces élections ?

    L’aspiration légitime de tout parti est d’être vainqueur des élections, logiquement on devrait être cette fois-ci le premier parti. En 2007, on l’a déjà été dans la réalité si ce n’est qu’on nous a chipé quelques sièges. En termes de voix, le PJD était déjà le premier parti politique au Maroc. Nous pensons que l’image de notre parti s’est sensiblement améliorée depuis, et donc logiquement, si tout se passe bien, nous serons mathématiquement vainqueurs. Mais la réalité ne correspond pas toujours à la logique du PJD. Cette fois-ci, nous sommes très optimistes.

    Vous tablez sur combien de sièges ?

    Il est sûr qu’aucun parti n’aura la majorité absolue, surtout avec le système du plus fort reste, des 6% pour les listes locales et les 3% pour les listes nationales. On a voulu la balkanisation, on l’aura. Le gouvernement prochain ne différera pas de l’actuel, il sera composé de plusieurs partis. En termes de sièges, si à mon avis on descend sous la barre de 70, c’est un mauvais score pour notre parti. On table sur 80 sièges, mais tout dépend du taux de participation, une massive participation des citoyens au scrutin entraînera une bonne récolte pour nous. Nous craignons, avec l’appel au boycott de certains partis, un fort taux d’abstention dans certaines villes.

    Le PJD est le seul à faire cavalier seul, or il y a la Koutla, l’alliance de gauche et le G8 : c’est un choix ?

    On ne croit pas à ce jeu. Quant à la Koutla, l’USFP est ambivalente, c’est dommage car le pays a plus que jamais besoin d’elle. Elle ratera une occasion si elle n’envoie pas un message fort aux Marocains, même si le PJD n’est pas dans ses rangs, ne serait-ce que pour contrecarrer les prétentions du G8. Il ne faut pas laisser l’occasion à ce dernier de surfer sur la situation pour prétendre que c’est lui la seule solution pour le pays en l’état actuel des choses. C’est très mauvais que la Koutla se présente en lambeaux devant les citoyens, elle a un rôle historique à jouer après la nouvelle Constitution à un moment où le Maroc a besoin d’un pôle crédible.

    Ne seriez-vous pas en train de faire un clin d’œil à cette Koutla ?

    En tout cas, nous ne ferons pas d’alliance avec le G8. Notre programme et celui de Mezouar sont aux antipodes. Nous nous considérons plus proches du PI, de l’USFP et du PPS. Avec ceux-là, nous souhaitons avoir une alliance sur la base de nos programmes. La crainte est que l’un de ces partis, desquels on est proche, et avec lesquels il y a des contacts informels, ne soit tenté de se rapprocher du G8.

    De toute façon, avec le PI, le PJD est le plus proche, référence islamique oblige dans les programmes…

    Tous les partis ont une référence islamique, ce qui compte aujourd’hui, en 2011, c’est la fibre sociale, au delà des idéologies et des appartenances politiques. Sur ce point, on est proche de la Koutla.

    Vos priorités si le PJD est chef du gouvernement ?

    La lutte contre la corruption d’abord, elle coûte au pays 2% du PIB, c’est un manque à gagner pour le Budget de l’Etat. On ne rêve pas de l’éradiquer, mais si on la baisse de 50 à 60%, c’est déjà pas mal. Gagner un point du PIB, c’est gagner 8 milliards de dirhams. Deuxième priorité : la formation. Il faut absolument qu’il y ait un centre de formation adossé à chaque lycée. L’idéal est de ne pas trouver un jeune dans la rue, désœuvré. il faut absolument revaloriser le travail manuel, les Marocains veulent gagner de l’argent en ayant les mains dans les poches, ce n’est pas normal. Le balayeur français ou japonais est valorisé socialement, le Marocain non, il n’est valorisé que s’il a de l’argent. Si la science et le travail manuels ne sont pas valorisés dans notre pays, je me demande comment affronter la compétition internationale. Il faut absolument que la culture du travail soit installée au Maroc.

    Et sur le plan économique, les 7% comme taux de croissance que vous promettez dans votre programme, vous semble réalisable en ces temps de crise ?

    Oui, sauf si la crise continue. Dans ce cas c’est plutôt dans les 5% qu’il faut placer le curseur. De toutes les manières, il faut créer les conditions de croissance en formant les gens, en réformant la justice pour que le capital étranger croit au Maroc, et, surtout, en organisant des élections libres et transparentes pour rendre confiance à tout le monde. En Tunisie, passé le cap des élections, la bourse prend des couleurs. Je ne parle pas en tant que PJD, mais en tant que Maroc : il est temps de renvoyer le message que le Maroc est un pays stable pour rendre la confiance. Il ne faut pas qu’on soit à la traîne par rapport à la Tunisie et à l’Egypte.

    Vous proposez aussi une baisse du taux de l’IS, donc moins d’entrée d’argent dans les caisses de l’Etat ?

    Le parti a proposé en effet 25% pour les entreprises réalisant un CA entre 5 et 20 MDH. Mais les banques et les assurances doivent payer un peu plus, car leurs bénéfices sont élevés et il n’y a pas de mal à les taxer plus. Il faut rétablir les 2 points d’IS en plus, du moins en période de vaches maigres.
    La rue demande la justice dans la répartition des richesses, c’est son droit quand elle voit rouler dans la rue, devant ses yeux, des voitures qui coûtent 1 MDH et plus. On ne va pas interdire aux gens de se payer ce luxe, nous demandons seulement qu’ils passent à la caisse, d’où les 30% sur les produits de luxe que nous proposons. En tout cas, on sera toujours gagnant, si l’on importe moins de voitures de luxe, la balance commerciale s’améliorera. Nous proposons la même approche pour les terrains vacants et les lots non bâtis, il y en a partout, au moment où les petites gens ne trouvent pas de logement : il faut les taxer, ou bien que leurs propriétaires bâtissent où les vendent, dans les deux cas l’économie sera gagnante, car c’est de l’argent qui dort. On taxe aujourd’hui ces terrains de 10 à 20 DH par m2, il faut augmenter cette taxe. Il y a 800 000 logements vides au Maroc, on ne parle pas de ces immigrés qui en possèdent pour assurer leur avenir après leur retour au pays, mais de taxer tous ceux qui possèdent trois logements et plus.

    Et la Caisse de compensation?

    Là encore, seuls les pauvres doivent bénéficier de ses avantages. On ne pourra pas supprimer cette caisse, sinon il faudra relever le Smig et augmenter tous les petits salaires. Il faut d’abord de la transparence dans la gestion de cette caisse. Il faut ensuite réduire l’enveloppe de la compensation de 50% et ne faire bénéficier les subventions qu’elle accorde qu’aux Marocains aux revenus modestes.

    Avec un Smig à 3 000 DH, ne craignez-vous pas d’étouffer les entreprises sur lesquelles vous tablez pour accroître la richesse ?

    Notre objectif est d’améliorer le revenu moyen par personne de 40%, si on crée les conditions de la croissance et si on améliore la productivité de l’entreprise en formant les gens. 3 000 DH comme Smig est le minimum sur une période de 5 ans. Cette année, on vient d’augmenter les salaires des fonctionnaires de 600 DH, et le Smig de 10%, ne pourra-t-on pas l’augmenter un peu plus encore sur 5 ans pour atteindre les 3 000 DH ? Et c’est réalisable.

    Et le sort de la TVA ?

    Le thé, très consommé, est à 14%. L’alcool dans les hôtels est taxé à 10% ? Trouvez-vous cela normal ? L’objectif est de baisser progressivement la TVA sur certains produits de base, comme les fournitures scolaires par exemple, et il est impossible de le faire la première année, car il faut d’abord mobiliser plus d’argent. Il faut améliorer au fur et à mesure les recettes pour pouvoir baisser la TVA sur ces produits, tout en augmentant de 20 à 30% la TVA sur les produits de luxe. Le message dans tout cela est d’améliorer le pouvoir d’achat des citoyens aux revenus modestes.
    Autre chose très importante : il faut encourager le développement local, car l’Etat ne peut plus s’en occuper, et donc la fiscalité locale doit complètement changer, c’est honteux qu’une ville comme Casablanca soit déficitaire. Il faut améliorer les recettes au niveau local et ne plus compter sur l’Etat, qui doit s’occuper, lui, des grands chantiers. Le potentiel est énorme au niveau de la ville. Beaucoup de propriétaires de grandes villas et de résidences luxueuses dans les villes ne payent pas de taxe car ils ne sont tout simplement pas recensés par le ministère des finances, il va falloir réactualiser le recensement, il y a donc de l’argent à récupérer, et en appliquant la même loi en vigueur. On estime à 60 milliards de dirhams les sommes à récupérer au niveau local.

    Pour terminer, que pensez-vous du bilan du gouvernement actuel ?

    On a raté cinq ans pour faire des réformes. En période de crise, il faut prendre des décisions courageuses, comme par exemple la réforme de la Caisse de compensation, ou la Caisse de retraite. On n’a pas eu le courage d’ouvrir cette boîte de Pandore. Pour cette dernière, les dépenses vont être supérieures aux recettes à partir de 2012. Jusqu’à quand retarder ces réformes ? Sans parler des déficits de la balance commerciale, de la balance des paiements, le déficit budgétaire, la corruption, le désastre de l’enseignement et de la santé, la concentration des richesses... Assez de bricolage ! Il faut entamer des réformes douloureuses, le Maroc n’a plus de temps à perdre.

    Vous n’êtes pas en train de rêver ? De verser dans le populisme ?

    La critique est aisée, c’est vrai, mais il faut la faire objectivement. A partir d’un diagnostic aussi sincère que possible. Nos n’avons pas de baguette magique, mais le rêve est permis.

  • #2
    En aparté : Alcool, peine de mort, homosexualité, héritage... Ce qu’il en pense


    Il y a des sujets sur lesquels le PJD semble radical ! Ceux relatifs aux libertés individuelles : la vente et la consommation de boissons alcoolisées, l’homosexualité, le partage de l’héritage entre l’homme et la femme, la peine de mort, l’avortement, quelle serait votre position si le PJD guide le prochain gouvernement ?

    Concernant l’alcool, je vous rappelle que c’est le PJD qui a forcé le gouvernement à augmenter les taxes sur l’alcool. Certains m’ont dit que c’est haram (interdit par l’islam) de le faire, j’ai répondu que je ne suis pas un «fquih», je suis là pour augmenter les recettes de l’Etat. Le Maroc est un pays historiquement ouvert sur le monde, si l’on veut être dans la mondialisation on ne peut pas faire pour l’alcool ce qu’ont fait l’Iran ou le Soudan. L’ouverture signifie la liberté, mais dans la responsabilité. On est prêt à appliquer au Maroc la loi canadienne sur l’alcool. Comme ce pays, pour prévenir le danger de l’alcool sur la santé et ses méfaits sur la société, il faut au moins couvrir une canette de bière quand on veut l’acheter, et bâcher un camion qui transporte de l’alcool. L’interdiction de l’alcool ne résout pas le problème puisque, de toute façon, les Marocains qui aiment boire vont se le procurer ou en fabriquer eux-mêmes.

    L’homosexualité ?

    Qu’on la pratique chez soi. C’est comme pour Ramadan, la loi n’interdit pas de manger quand on est chez soi. La religion est une affaire entre Dieu et l’individu, mais quand on est dans la rue, ce n’est plus une affaire entre Dieu et l’individu, mais entre ce dernier et la société.

    Le partage de l’héritage ?

    Si un jour un référendum est organisé et autorise ce partage, je suis preneur.

    La peine de mort ?

    On ne peut l’abolir par la loi car elle est dans le Coran, mais faire en sorte de ne pas l’appliquer. «On ne peut interdire ce qui est licite», a dit un jour le Roi. La loi ne peut pas autoriser ce qui est interdit par le Coran, mais le pratiquer est une autre histoire. Les Marocains ont trouvé des équilibres dans beaucoup de domaines : l’alcool, la peine de mort, l’homosexualité…

    L’avortement ?

    Saâd Eddine El Othmani l’a expliqué clairement un jour, et il faut prendre l’avis des Oulémas là-dessus : oui, on peut autoriser l’avortement, mais dans des conditions que la loi doit fixer en fonction de cet avis, et quand la vie de la mère est en danger. Toujours est-il qu’il faut un consensus là-dessus. Le PJD a voté oui pour le nouveau code de la famille, et je me demande comment aurait réagi la société si notre parti ne l’avait pas fait.

    La laïcité au Maroc, comme en Turquie, pays dirigé par un parti islamique ?

    Je ne suis pas contre un Etat laïc. Encore faut-il savoir qui va gérer la chose religieuse si l’on instaure la laïcité, nous n’avons pas un pape comme en Europe, ou un clergé comme les chiites pour gérer le fait religieux.
    Qui va le faire au Maroc ? Les partis politiques, les extrémistes religieux ? La laïcité est incompatible avec la commanderie des croyants, elle n’est pas possible au Maroc.

    Le port du voile ?

    C’est une liberté individuelle. Toutes les femmes péjidistes ne portent pas le voile, comme la responsable de communication de notre parti.

    Jaouad Mdidech. La Vie éco

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    • #3
      En fait, le PJD veut jouer son cinéma des législatives de 2007 : tout le monde, y compris en Occident, le donnait gagnant à cette époque !
      Alors ce parti essaie de justifier d'avance son échec éventuel le 25 novembre prochain en faisant dans l'intimidation !

      Le Maroc a cette tare de trimballer 30% d'analphabètes [peut-être plus] qui ne savent pas lire entre les lignes : le PJD s'y épanouit, pour le moment. Mais je ne donne pas un sou pour qu'il se casse la gueule si par malheur il gagne les élections du 25

      J'ai toujours pensé, par exemple, que l'Algerie aurait dû laisser le FIS gouverner dans les années 90 : ils n'aurait pas tenu 6 mois ! Et l'Algerie aurait pu s'en débarrasser sans guerre civile.

      Commentaire


      • #4
        arazigh
        En fait, le PJD veut jouer son cinéma des législatives de 2007 : tout le monde, y compris en Occident, le donnait gagnant à cette époque !
        Alors ce parti essaie de justifier d'avance son échec éventuel le 25 novembre prochain en faisant dans l'intimidation !

        Le Maroc a cette tare de trimballer 30% d'analphabètes [peut-être plus] qui ne savent pas lire entre les lignes : le PJD s'y épanouit, pour le moment. Mais je ne donne pas un sou pour qu'il se casse la gueule si par malheur il gagne les élections du 25

        J'ai toujours pensé, par exemple, que l'Algerie aurait dû laisser le FIS gouverner dans les années 90 : ils n'aurait pas tenu 6 mois ! Et l'Algerie aurait pu s'en débarrasser sans guerre civile.


        Va dire ca a l'AKP turc avec 11% de croissance au premier trimestre 2011 (4,9% au maroc au même trimestre). IDH turc (92) maroc (130) ...

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        • #5
          Envoyé par soufiane-
          Va dire ca a l'AKP turc avec 11% de croissance au premier trimestre 2011 (4,9% au maroc au même trimestre). IDH turc (92) maroc (130) ...
          Je te comprends soufiane.
          Seulement, comprends-moi aussi : la Turquie est un pays laique. L' AKP, de part l'histoire de ce pays, a digéré la laicité et n' y voit plus un épouvantail.

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          • #6
            Va dire ca a l'AKP turc avec 11% de croissance au premier trimestre 2011 (4,9% au maroc au même trimestre). IDH turc (92) maroc (130) ...
            qu'est ce que l'AKP a à voir avec le PJD? et qu'est ce que la Maroc a à voir avec la Turquie?...l'état turque est laïque depuis presque 1 siècle.

            Commentaire


            • #7
              arazigh/rodmaroc

              Et ou est ce que le PJD marocain a dit qu'il va instaurer une khilafa? en plus le fait que le PJD n'est pas laïque en quoi c'est un défaut sachant qu'aucun autre parti légalise ne l'est puisque tous doivent assister au dourouss hassania de M6 même si au fond ils ne sont pas musulmans et même ceux de l'USFP parmi eux.

              Si le problème est la laïcité alors ce n'est pas le PJD a remettre en cause mais les fondements actuels de l'état marocain. Ce qui est sure c'est que soit le PJD marocain ou enahda tunisien ont des bonnes relations avec l'AKP turc et veulent suivre le model surtout en matière d'économie ... eux au moins ils ont du sang neuf et on les a pas essayés contrairement aux partis du soulta ou l'istiqlal dont on connait déjà le maximum qu'ils peuvent donner au maroc.

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              • #8
                Envoyé par rodmaroc
                qu'est ce que l'AKP a à voir avec le PJD? et qu'est ce que la Maroc a à voir avec la Turquie?...l'état turque est laïque depuis presque 1 siècle.
                C'est un message difficile à faire passer en effet.
                Je crois savoir que l'impact de l' Empire Othoman au Maghreb n'a eu d'influence que dérisoire. En tout cas au Maroc.

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                • #9
                  mais ils revent nos amis du PJD . au max ils auront 7 % si toutefois il y aura vote important ( plus de 50 - 60 %)

                  Commentaire


                  • #10
                    morceau application de Islam pauvre type va tu peut pas avoir une culture occidental avec un couche de peinture islam ,c'est sois l'un soit l'autre.
                    pays de tapette honte au musulmans de crindre plus les mecreant Allah subhan wa ta3ala.
                    allais vous merite de perdre les elections insh'Allah en plus avec une touche egaux oui on va gagner va si bouge la clochard ils utilise Islam a leur fin personnel un partis musulman applique islam ou ne ee revendique comme tel

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                    • #11
                      Envoyé par upup
                      mais ils revent nos amis du PJD
                      Oui
                      N'oublions pas le fracas de ces obscurantistes dans leur passage à la municipalité de Meknès : leur première "réforme" dans cette cité , dite "ville au 100 minarets", est d'amplifier les haut-parleurs sur ces mêmes minarets.
                      Comme si parler très fort, et porter la barbe ajoute qq chose à la foi !

                      Jusqu'à présent ils ont gagné les voix des pauvres types. Ça ne peut pas durer.
                      NO PASARAN !

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