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Les économies d'énergie, clé pour la Chine, l'Inde et le Brésil

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  • Les économies d'énergie, clé pour la Chine, l'Inde et le Brésil

    eh oui ,
    Le marché de l'energie est fondamental dans l'economie de l'avenir .
    Celà ont ne le répètera jamais assez .
    Dévelloper les energies renouvellables , Ameliorer la bonne gestion ne peuvent être que benefique pour notre petite planète
    L'article suivant contient quelques infos importantes .
    Surtout pour ceux qui veulent saisir un peu ce qui vas se passer dans les années à venir .
    Il concerne en particulier 3 pays .

    Ci dessous La dépêche Reuters suivan le titre perché ci dessus :

    29 mai 2006 .Reuters
    par Alister Doyle

    OSLO - La Chine, l'Inde et le Brésil pourraient réduire leur consommation d'énergie d'un quart en mettant en oeuvre de simples programmes d'économies et d'isolations, mais les banques rechignent à financer de tels projets, révèle une étude de la Banque mondiale et du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE).

    Avec 2,6 milliards d'habitants, ces trois puissances émergentes concentrent 40% de la population mondiale. Elles figurent également parmi les principaux pays émetteurs de gaz à effet de serre, facteur du réchauffement climatique.

    Selon les projections, leurs besoins en matière d'énergies fossiles pourraient doubler d'ici 2030.

    "Economiser l'énergie constitue la manière la moins chère, la plus facile et la plus rapide de réduire de nombreux problèmes liés à l'énergie, d'améliorer l'environnement et d'accroître à la fois la sécurité énergétique et le développement économique", écrit Robert Taylor, spécialiste des questions d'énergie à la Banque mondiale qui a conduit cette étude.

    Selon ses calculs, des travaux d'isolation dans les immeubles et les usines seraient susceptibles de réduire de 25% la consommation énergétique en Chine, en Inde et au Brésil. Et il est vraisemblable que ces conclusions, après quatre ans d'étude, soient aisément transposables dans toutes les autres nations en développement.

    Mais le rapport souligne que de nombreuses banques ont laissé passer la chance d'accroître leurs propres bénéfices en n'accordant pas suffisamment d'importance au financement de projets visant à lutter contre les déperditions en matière d'énergie. Un constat d'autant plus fort avec un baril du brut oscillant aux alentours de 70 dollars.

    L'OMBRE DU RENOUVELABLE

    En plus de la limitation des émissions de gaz à effet de serre, en plus de la baisse des atteintes à la qualité de l'air, réduire d'un quart la consommation énergétique de ces puissances émergentes signifierait aussi un allègement de leur facture énergétique de plusieurs centaines de millions de dollars.

    "La source essentielle du financement, c'est le secteur bancaire local", rappelle Jeremy Levin, qui a contribué à cette étude.

    Or, ajoute-t-il, ces banques n'ont pas encore pris conscience du potentiel financier de ces programmes d'isolation thermique, de rationalisation de l'éclairage ou des systèmes de climatisation d'air, et de rénovation des chaudières.

    "Les économies d'énergie n'ont peut-être pas le même attrait que les solutions alternatives, comme les énergies renouvelables", avance-t-il pour expliquer ces réticences.

    C'est pourtant là le principal gisement de solutions à la crise énergétique.

    L'étude s'arrête ainsi sur l'exemple d'une filiale de l'entreprise indienne Pragati Paper qui a investi 91.000 dollars dans un programme d'économie d'énergie dans une usine de pâte à papier et allégé au final de 139.000 dollars son budget énergie. "Le tout en moins d'un an", insiste Jeremy Levin.
    Ouvrons nos coeurs , car l'ont risque de peu comprendre ce qui nous arrivent
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