Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L'Algérie devrait avoir une croissance économique de 10 % en 2015

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • L'Algérie devrait avoir une croissance économique de 10 % en 2015

    L'Algérie devrait avoir une croissance économique de 10 % en 2015


    L'Institut de prospective économique du monde méditerranéen(Ipemed) a organisé, cette semaine, son " Petit déjeuner de la Méditerranée " autour de deux problématiques majeures : " Quels financements innovants pour soutenir le développement économique des pays du Sud et de l'Est méditerranéen (PSEM) ? et " Les partenariats public-privé, une solution " ? Le professeur Camille Sari, économiste, spécialiste du Maghreb, a évoqué au cours de son intervention rapporté par un site méditerranéen spécialisé en économie de la région, les " énormes déficits budgétaires " enregistrés dans les pays du Maghreb. " Au Maroc, précisa-t-il, la caisse de compensation absorbe 5 milliards d'euros du budget marocain pour les produits de première nécessité, et je suis pour que cela soit maintenu… En Algérie, on finance des hausses de salaires énormes - de 80 %, dernièrement, pour les universitaires. En Tunisie, le chômage touche désormais 700 000 personnes " et des familles de plus en plus nombreuses cessent de payer leur facture d'électricité. " Ma crainte, a souligné Camille Sari, est que les 38 milliards de dollars de financements pour la Tunisie, l'Egypte et la Libye, annoncés au G8 de Deauville n'aillent aux dépenses de fonctionnement de l'Etat. a-t-il indiqué. " Avec une dépense publique de 400 milliards de dollars sur la période 2005-2015, comme aucun autre pays au monde, et pour seulement 36 millions d'habitants, l'Algérie devrait avoir une croissance à 10 %, et non pas seulement celle qu'on lui connaît, à 4,7 % " a-t-il fait remarquer. Le professeur Sari a déclaré en outre son intérêt pour " le renforcement de dispositifs type Coface, pour l'export mais aussi pour l'investissement " pour l'accompagnement des sociétés mixtes, qui assurent au moins des résultats de production et pour des financements de production de substitution aux importations. Mais, les pays du Maghreb importent énormément, dit-il, l'agroalimentaire " faute de pouvoir développer la réexportation " explique-t-il la problématique. Maître Eric Diamantis, avocat d'affaires et VP d'IPEMED, a rappelé d'abord, quant à lui, les énormes besoins de la région PSEM : 300 milliards d'euros d'investissements d'ici à 2030, selon les estimations de la BEI, et 50 millions d'emplois à créer d'ici à 2020. Il évoqua ainsi quelques pistes susceptibles de contribuer à relever cet immense défi. Parmi celles-ci : mobiliser l'épargne locale, qui est abondante, mais insuffisamment retenue sur place ; créer une Caisse des Dépôts en Tunisie, comme cela été fait au Maroc et se focaliser sur les investissements structurants, notamment au bénéfice des PME auxquelles les banques locales demandent trop de garanties. Il faut aussi, selon son analyse, renforcer la présence d'acteurs institutionnels assureurs ; mettre en place un Fonds de garantie régional, en accompagnant sa création par une indispensable coordination sur l'information financière des entreprises, aujourd'hui souvent défaillante et optimiser les procédures d'arbitrage, aujourd'hui trop onéreuses et dont l'exécution des décisions dépend du juge local…Se félicitant du fait que certains instruments ont été mis en place ces dernières années, en particulier le Fonds Inframed, maître Diamantis signala qu'actuellement l'UE, via la BEI, travaille à élaborer un instrument susceptible d'attirer l'épargne privée dans la région. " Une des premières tâches de la Commission, relève-t-il, devrait viser la coordination des instruments, fournir une assurance assez large du risque politique et systémique, et en partie pris en charge par la Commission elle-même ". Aujourd'hui, plus de trois cent traités de protection des investissements existent, a-t-il ajouté, entre le Nord et le Sud méditerranéens, et plus de cent dans l'espace Sud-Sud… Mais il y a un problème, selon lui. " Ces outils sont très complexes, et leur trop forte diversité juridique brouille la vision des investisseurs. C'est pourquoi il faut travailler à l'harmonisation de la protection des investissements dans la région " estime Eric Diamantis, avant de conclure : " Je milite pour un Traité régional de protection des investissements ", et d'annoncer qu'un autre outil européen est sur le point de d'aboutir : une garantie d'émissions obligataires pour le financements de projets. Au-delà du financement des PME, la question de la pertinence des PPP (partenariat public-privé) pour le financement des grands équipements structurants a été également évoquée. " Le cadre juridique clair du PPP ne suffit pas, il faut que les points annexes soient aussi pensés, par exemple l'imputation des actifs pour les banques participant au financement (…) "En France le contrat de partenariat a pris des années pour se mettre en place " soutient l'expert en droit des affaires. Reste que si le PPP paraît à beaucoup d'acteurs européens l'outil idéal pour financer les grands projets d'infrastructures - une mission d'appui française a d'ailleurs commencé à établir des échanges avec des interlocuteurs marocains, algériens, tunisiens, libanais, ., et l'EPEC (Centre européen d'expertise en matière de PPP) créé par la BEI et la Commission de l'UE offre un soutien d'expertise aux pays du Sud - " le PPP n'a pas toujours bonne presse dans les pays du Sud, fait remarquer Radhi Meddeb, président d'IPEMED. C'est un problème de culture, car le PPP suppose une capacité de dialogue entre administrations et investisseurs, or les administrations ne sont pas suffisamment fortes à ce jour. "

    Le Maghreb

  • #2
    L'Algérie devrait avoir une croissance économique de 10 % en 2015


    Je croyais que Sah on allais avoir les 10% de croissance, mais finalement c'est du conditionnel ....dommage
    A chacun son paradis !

    Commentaire


    • #3
      Code HTML:
      une croissance économique de 10 %


      "Birrgad (en dormant)" ... l'Algerie pourra même atteindre une croissance de 20%.

      Pauvre enfant, pauvre Algérie


      ps: Faut vraiment avoir du courage pour écrire des articles de ce genre.

      Commentaire


      • #4
        quelle malhoneteté d'ameurter les gens vers un article en prenant comme titre une phrase sortie de son contre .......

        si le plus gros gisement de petrole etait decouvert à SouK Larb3a, le maroc en 5 ans devrait dépasser l'europe .
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

        Commentaire


        • #5
          si le plus gros gisement de petrole etait decouvert à SouK Larb3a, le maroc en 5 ans devrait dépasser l'europe .

          JE ne sais pas comment le prendre si c'est du sarcasme ou du sérieux ...
          شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

          Commentaire


          • #6
            JE ne sais pas comment le prendre si c'est du sarcasme ou du sérieux ...
            et tu crois que c'est à moi de te le dire ......
            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

            Commentaire


            • #7
              Non mais je me pose juste la question ... enfin moi je ne vous souhaite que du bien inchalah machi ghir un puit de pétrole .. comme ça le maroc dépasserai l’Europe.
              شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

              Commentaire


              • #8
                Non mais je me pose juste la question ... enfin moi je ne vous souhaite que du bien inchalah machi ghir un puit de pétrole ..
                qui a souhaité du mal ou du bien , la seule chose que j'ai futigé à travers mon intervention , c'est la malhonneteté intellectuelle de l'auteur de l'article qui consiste à sortir une phrase de son contexte pour la mettre en tant que titre ...........

                comme ça le maroc dépasserai l’Europe.
                si un jour ca arrive , c'est que l'algérie est à ces cotés et vice versa ......
                " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                Commentaire


                • #9
                  "Birrgad (en dormant)" ... l'Algerie pourra même atteindre une croissance de 20%.

                  Pauvre enfant, pauvre Algérie


                  ps: Faut vraiment avoir du courage pour écrire des articles de ce genre.
                  C'est Faisable quand on sais qu'en 2010 l'Algérie a enregistré une croissance de 9% HH
                  Dernière modification par numidia-4-ever, 22 novembre 2011, 20h50.

                  Commentaire


                  • #10
                    L'Algérie devrait avoir une croissance économique de 10 % en 2015
                    Certains pays, en début d'année 2011, avaient fait des prévisions de croissance pas loin de 2 et aujourd'hui sont plus près d'un taux nul et risque même de se trouver en récession.

                    Alors pour 2015 ???
                    Mr NOUBAT

                    Commentaire


                    • #11
                      La prévision de ce cher Camille Sari, c'est comme celle de madame soleil, elle se réalise que si le temps est beau.

                      Commentaire


                      • #12
                        en 2009 en pleine crise des subprimes, l’Algérie a fait +9% de croissance hors hydrocarbures, donc ce n'est pas impossible grâce aux investissements fait et envisagés.

                        Commentaire


                        • #13
                          La prévision de ce cher Camille Sari, c'est comme celle de madame soleil, elle se réalise que si le temps est beau.
                          Certes mais cette prévision n'est pas folle elle parfaitement Faisable

                          en 2009 en pleine crise des subprimes, l’Algérie a fait +9% de croissance hors hydrocarbures
                          c'était en 2010 et en 2011 ça sera 5.3%

                          Commentaire


                          • #14
                            non 2009

                            L’Algérie a enregistré en 2009 une forte croissance économique hors hydrocarbures de 9,3%, malgré la baisse des revenus pétrolières de cet important exportateur d’hydrocarbures, a indiqué mercredi le Gouverneur de la Banque d’Algérie Mohamed Laksaci

                            "La croissance hors hydrocarbures a atteint 9,3% en 2009 contre 6% en 2008", a déclaré M. Laksaci en présentant à l’Assemblée nationale le rapport annuel sur l’évolution de la situation financier et monétaire de Algérie
                            "L’économie nationale hors hydrocarbures a enregistré une forte croissance en 2009 en dépit de la baisse de la demande pétrolière mondiale et ce qu’elle a induit comme baisse de la valeur des exportations et de la fiscalité pétrolière", a-t-il ajouté.
                            La croissance globale, qui inclut le secteur des hydrocarbures, s’est établie, quant à elle, à 2,4% soit un produit intérieur brut (PIB) de 10017,5 milliards de dinars (100 milliards d’euros environ).
                            M. Laksaci a précisé que les exportations d’hydrocarbures avaient reculé de manière substantielle en 2009 enregistrant 44,41 milliards de dollars, soit une baisse de 42,46% par rapport à 2008.
                            La production pétrolière de l’Algérie, qui génère près de 98% de ses recettes extérieures, a connu un "recul" pour la quatrième année consécutive, a-t-il dit.
                            Selon M. Laksaci, la croissance hors hydrocarbures a été portée par la bonne performance de la production agricole (20%), les services (8,8 %), les bâtiments et travaux publiques (8,7)% dans une conjoncture marquée par la relance de l’industrie et le recul du taux de chômage à 10,2%.
                            En 2009, l’inflation a enregistré son plus haut niveau en Algérie durant la dernière décennie (5,7 %), selon le gouverneur de la Banque d’Algérie. L’Algérie disposait de 147,2 milliards de dollars de réserves en devises à fin décembre 2009 contre 143,1 à fin 2008, soit 36 mois d’importations de biens et services, a-t-il ajouté.
                            La dette externe s’est chiffrée à fin 2009 à 5,41 milliards de dollars dont 3,92 mds de dollars représentant la dette à moyen et à long terme et 1,41 mds de dollars la dette à court terme (12 mois), a précisé M. Laksaci.

                            Commentaire


                            • #15
                              Mea culpa

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X