Les islamistes algériens n'ont de référents politiques que les théoriciens intégristes. Naïvement, nous pourrions nous demander pourquoi ces tenants de l’islam politique restent indifférents aux personnalités religieuses de premier plan qui ont marquées notre Histoire récente. L'émir, Ben Badiss, ou les vénérables cheikhs des zaatcha , des Ouled sid Echeikh, et autres Tarîqa et confréries qui ont menées la résistance à l’occupant ...
La réponse est pourtant simplissime. Les islamistes sont étrangers à notre mouvement de libération national. Ils sont un greffon dont nous ont gratifié les Mokhabarates Egyptiennes.
Pour « aider » l'Algérie, Djamal Abdel-Nasser a "refilé" à la jeune Algérie indépendante une bonne partie de ses frères musulmans. Plutôt que de se retrouver en prison, ils se sont trouvés en charge des destinées de notre école. Résultat : ils ont fait de notre pays une prison à ciel ouvert. Leur « Histoire » est ailleur qu’en Algérie, et ils ne prennent de la notre que ce qui peut leur donner un semblant de légitimité. Il ne faut donc pas s’étonner que cet implant malin réduise notre patrimoine et notre mémoire historiques à deux petites phrases "شَعْـبُ الجـزائرِ مُـسْـلِـمٌ وَإلىَ الـعُـروبةِ يَـنتَـسِـبْ" ainsi que le fameux "dans le cadre des principes islamiques.". Comme si les Cent trente-deux ans de résistance n'auraient produit que ce maigre butin intellectuel !
L'islamisme est exogène à notre mouvement national, creuset de l'Etat algérien moderne. Il est même étranger aux premières résistances à la conquête coloniale. C'est l'idéologie étrangère par excellence. Une pensé importée clefs en main, vecteur d’une nouvelle entreprise de conquête et d’acculturation. Ce Hizb Edhalamiya compromet l’existence de notre Nation et travaille à sa perte. Il est une menace nationale.
La réponse est pourtant simplissime. Les islamistes sont étrangers à notre mouvement de libération national. Ils sont un greffon dont nous ont gratifié les Mokhabarates Egyptiennes.
Pour « aider » l'Algérie, Djamal Abdel-Nasser a "refilé" à la jeune Algérie indépendante une bonne partie de ses frères musulmans. Plutôt que de se retrouver en prison, ils se sont trouvés en charge des destinées de notre école. Résultat : ils ont fait de notre pays une prison à ciel ouvert. Leur « Histoire » est ailleur qu’en Algérie, et ils ne prennent de la notre que ce qui peut leur donner un semblant de légitimité. Il ne faut donc pas s’étonner que cet implant malin réduise notre patrimoine et notre mémoire historiques à deux petites phrases "شَعْـبُ الجـزائرِ مُـسْـلِـمٌ وَإلىَ الـعُـروبةِ يَـنتَـسِـبْ" ainsi que le fameux "dans le cadre des principes islamiques.". Comme si les Cent trente-deux ans de résistance n'auraient produit que ce maigre butin intellectuel !
L'islamisme est exogène à notre mouvement national, creuset de l'Etat algérien moderne. Il est même étranger aux premières résistances à la conquête coloniale. C'est l'idéologie étrangère par excellence. Une pensé importée clefs en main, vecteur d’une nouvelle entreprise de conquête et d’acculturation. Ce Hizb Edhalamiya compromet l’existence de notre Nation et travaille à sa perte. Il est une menace nationale.
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