A peine formé, le nouveau gouvernement d'Abdel Rahim Al-Kib est déjà contesté. La tribu berbère des Amazighs, qui vit dans l'ouest du pays, s'estime lésée, tandis qu'à Benghazi des dizaines de personnes ont manifesté.
Dans un communiqué, les Amazighs ont dénoncé leur "marginalisation", se jugeant exclus des ministères importants. Leur représentativité dans le gouvernement "ne correspond pas à leur présence" et à leur contribution à la révolution. En signe de contestation, ils ont appelé les Libyens et les Amazighs en particulier à manifester et à geler provisoirement leur coopération avec le Conseil national de transition (CNT) ainsi qu'avec le gouvernement.
A Benghazi, les manifestants ont exprimé leur rejet du gouvernement d'Abdel Rahim Al-Kib, dénonçant, eux aussi, la mauvaise représentativité au sein du pouvoir éxécutif des ressortissants de la ville, fer de lance de la contestation contre Mouammar Kadhafi.
Le Monde
Dans un communiqué, les Amazighs ont dénoncé leur "marginalisation", se jugeant exclus des ministères importants. Leur représentativité dans le gouvernement "ne correspond pas à leur présence" et à leur contribution à la révolution. En signe de contestation, ils ont appelé les Libyens et les Amazighs en particulier à manifester et à geler provisoirement leur coopération avec le Conseil national de transition (CNT) ainsi qu'avec le gouvernement.
A Benghazi, les manifestants ont exprimé leur rejet du gouvernement d'Abdel Rahim Al-Kib, dénonçant, eux aussi, la mauvaise représentativité au sein du pouvoir éxécutif des ressortissants de la ville, fer de lance de la contestation contre Mouammar Kadhafi.
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