Coucou,
C#est mon pécher quotidien, je suis accro aux sucreries (- depuis que j#ai fait un régime), je ne peux pas m'en passer........j'adore le reglisse et les bonbons acidulés. Ce sont mes anti-stress mais aussi des petits plaisirs qui peuvent ponctuer une journée......
Je me suis reconnue dans cet article....quelque fois.
Et vous ?????
Le bonbon, rituel adulte[COLOR=Navy]
LE MONDE | 30.05.06 |
Un Français sur trois serait "accro" aux bonbons. C'est ce qui ressort de la première étude comportementale décortiquant les us et coutumes des consommateurs de friandises (hors chocolats) menée par la chambre syndicale nationale de la confiserie avec l'institut BVA, auprès de 847 personnes de plus de 15 ans et publiée le 11 mai. Fraises Tagada, crocodiles Haribo, caramels, sucres cuits et autres chewing-gums séduisent autant les adultes que les enfants pour lesquels ils avaient été imaginés.
La consommation moyenne de bonbons en France est de 3,3 kg par an et par habitant. Les "gourmands" et les "accros" (35 % de la population) les grignotent à longueur de journée, principalement chez eux, comme antistress ou pour se donner de l'énergie, selon les cas.
En suçant des sucettes, en mâchouillant des formes gélifiées ou des confiseries régionales, les amateurs de sucreries "renouent avec la douceur enfantine", explique le sociologue Robert Egbuy. "Ils sont dans un registre de consommation psychologique de l'ordre de la consolation et cherchent à se rassurer dans des moments de tension personnelle ou professionnelle", détaille-t-il. Ces grands consommateurs de friandises sont souvent jeunes (18-24 ans), issus de familles nombreuses et d'origine plutôt modeste.
Il existe aussi un "langage bonbon". Entre adultes, les confiseries sont parfois utilisées pour nouer des relations avec les autres, échanger sans conflit. "C'est symptomatique, dans les réunions de bureau un peu tendues, il suffit de mettre des bonbons sur la table pour apaiser l'atmosphère", observe le sociologue. Les confiseries servent aussi à ritualiser les rapports entre certaines femmes et leurs enfants. Notamment en région parisienne. Les mères utilisent les bonbons comme une monnaie d'échange, pour récompenser ou interdire. La friandise fait alors partie du système éducatif.
Mais la France compte aussi son lot de réfractaires : environ un quart de la population a renoncé aux bonbons. Soit pour des raisons liées à la santé, soit pour des raisons de statut social. Ces adultes, qui vivent souvent en milieu rural, refusent cette consommation de type impulsif - 80 % des bonbons sont achetés dans les grandes surfaces sans que l'achat ait été prévu -, dont ils ont une perception très négative. Il s'agit souvent d'hommes, âgés de plus de 55 ans et qui "ne veulent pas ressembler à une sorte d'enfant ou d'adolescent attardé. Ils se vivent comme des adultes responsables", explique M. Egbuy.
Florence Amalou
C#est mon pécher quotidien, je suis accro aux sucreries (- depuis que j#ai fait un régime), je ne peux pas m'en passer........j'adore le reglisse et les bonbons acidulés. Ce sont mes anti-stress mais aussi des petits plaisirs qui peuvent ponctuer une journée......
Je me suis reconnue dans cet article....quelque fois.
Et vous ?????
Le bonbon, rituel adulte[COLOR=Navy]
LE MONDE | 30.05.06 |
Un Français sur trois serait "accro" aux bonbons. C'est ce qui ressort de la première étude comportementale décortiquant les us et coutumes des consommateurs de friandises (hors chocolats) menée par la chambre syndicale nationale de la confiserie avec l'institut BVA, auprès de 847 personnes de plus de 15 ans et publiée le 11 mai. Fraises Tagada, crocodiles Haribo, caramels, sucres cuits et autres chewing-gums séduisent autant les adultes que les enfants pour lesquels ils avaient été imaginés.
La consommation moyenne de bonbons en France est de 3,3 kg par an et par habitant. Les "gourmands" et les "accros" (35 % de la population) les grignotent à longueur de journée, principalement chez eux, comme antistress ou pour se donner de l'énergie, selon les cas.
En suçant des sucettes, en mâchouillant des formes gélifiées ou des confiseries régionales, les amateurs de sucreries "renouent avec la douceur enfantine", explique le sociologue Robert Egbuy. "Ils sont dans un registre de consommation psychologique de l'ordre de la consolation et cherchent à se rassurer dans des moments de tension personnelle ou professionnelle", détaille-t-il. Ces grands consommateurs de friandises sont souvent jeunes (18-24 ans), issus de familles nombreuses et d'origine plutôt modeste.
Il existe aussi un "langage bonbon". Entre adultes, les confiseries sont parfois utilisées pour nouer des relations avec les autres, échanger sans conflit. "C'est symptomatique, dans les réunions de bureau un peu tendues, il suffit de mettre des bonbons sur la table pour apaiser l'atmosphère", observe le sociologue. Les confiseries servent aussi à ritualiser les rapports entre certaines femmes et leurs enfants. Notamment en région parisienne. Les mères utilisent les bonbons comme une monnaie d'échange, pour récompenser ou interdire. La friandise fait alors partie du système éducatif.
Mais la France compte aussi son lot de réfractaires : environ un quart de la population a renoncé aux bonbons. Soit pour des raisons liées à la santé, soit pour des raisons de statut social. Ces adultes, qui vivent souvent en milieu rural, refusent cette consommation de type impulsif - 80 % des bonbons sont achetés dans les grandes surfaces sans que l'achat ait été prévu -, dont ils ont une perception très négative. Il s'agit souvent d'hommes, âgés de plus de 55 ans et qui "ne veulent pas ressembler à une sorte d'enfant ou d'adolescent attardé. Ils se vivent comme des adultes responsables", explique M. Egbuy.
Florence Amalou
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