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Elections Législatives, un scrutin historique salué...
L'après 25 novembre est maintenant sur toutes les lèvres. Les citoyens marocains ont voté hier et le taux de participation a atteint 45.4%. Les marocains espèrent du changement tangible et l'espoir est immense, le rendez-vous du 25 novembre marquera certainement une transition vers un changement salutaire et surtout palpable au quotidien.
A la sortie des urnes, plusieurs citoyens ont émis le voeu de voir émerger une élite politique "honnête et consciente de ses responsabilités", tout en oeuvrant à réaliser les promesses électorales.
Les réactions des capitales mondiales, des observateurs et des média internationaux saluent le déroulement des élections législatives 2011 au Maroc.
Les Etats-Unis d'Amérique ont fait part du soutien aux efforts du Maroc pour la promotion du processus démocratique en cours à travers des réformes constitutionnelles, judiciaires et politiques.
Pour Washington, "la mise en oeuvre de la nouvelle constitution dans toute son ampleur est un pas en avant sur la voie de la concrétisation des aspirations et des droits de tous les Marocains".
En France, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, M. Bernard Valero a qualifié le scrutin du vendredi comme une "étape supplémentaire sur la voie de l'avancement des réformes porteuses d'avenir".
William Hague, Le ministre britannique des Affaires étrangères, s'est quant à lui félicité du déroulement de ce scrutin qui constitue "une consolidation de la mise en oeuvre" des dispositions de la nouvelle constitution au Maroc. Le scrutin du 25 novembre est "important" sur la voie d'une plus grande démocratie fondée sur la reddition des comptes, a-t-il ajouté.
Le député italien et président de la commission des droits humains de l'assemblée parlementaire de l'Organisation de la sécurité et de la coopération en Europe, M. Matteo Mecacci a affirmé, pour sa part que "Au Maroc, une transition est en cours vers la démocratie. il y existe une dynamique institutionnelle et politique".
En tant que membre de la mission d'observation des législatives du 25 novembre au Maroc, il a fait état de la "transparence" et de la "pluralité" qui ont marqué ce scrutin.
Son collègue de la mission d'observation, l'eurodéputé français, Gilles Parneux (socialiste), a qualifié ce scrutin d'"historique", soulignant qu'au delà de la mission technique, "il nous a semblé important d'être aux côtés du Maroc pour manifester notre soutien à cette transition démocratique et conforter le dialogue euro-méditerranéen".
Le Maroc, qui a obtenu le statut de "partenaire avancé" auprès de l'Union Européenne, "constitue un interlocuteur de premier plan dans le cadre du partenariat euro-méditerranéen", a ajouté M. Pargneaux.
Rachida Dati, l'eurodéputée française a estimé que la "révolution tranquille", qui se déroule au Maroc, avec la tenue des premières élections législatives après la réforme de la Constitution du 1er juillet dernier, représente "un modèle pour le monde arabe".
Les plus prestigieux supports internationaux ont accordé une large couverture aussi bien au déroulement de la campagne électorale qu'au jour du vote. Ils ont ainsi suivi de près, à travers leurs correspondants permanents ou des équipes d'envoyés spéciaux, le déroulement de cette échéance.
Akram Guendouli. La Vie éco
L'après 25 novembre est maintenant sur toutes les lèvres. Les citoyens marocains ont voté hier et le taux de participation a atteint 45.4%. Les marocains espèrent du changement tangible et l'espoir est immense, le rendez-vous du 25 novembre marquera certainement une transition vers un changement salutaire et surtout palpable au quotidien.
A la sortie des urnes, plusieurs citoyens ont émis le voeu de voir émerger une élite politique "honnête et consciente de ses responsabilités", tout en oeuvrant à réaliser les promesses électorales.
Les réactions des capitales mondiales, des observateurs et des média internationaux saluent le déroulement des élections législatives 2011 au Maroc.
Les Etats-Unis d'Amérique ont fait part du soutien aux efforts du Maroc pour la promotion du processus démocratique en cours à travers des réformes constitutionnelles, judiciaires et politiques.
Pour Washington, "la mise en oeuvre de la nouvelle constitution dans toute son ampleur est un pas en avant sur la voie de la concrétisation des aspirations et des droits de tous les Marocains".
En France, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, M. Bernard Valero a qualifié le scrutin du vendredi comme une "étape supplémentaire sur la voie de l'avancement des réformes porteuses d'avenir".
William Hague, Le ministre britannique des Affaires étrangères, s'est quant à lui félicité du déroulement de ce scrutin qui constitue "une consolidation de la mise en oeuvre" des dispositions de la nouvelle constitution au Maroc. Le scrutin du 25 novembre est "important" sur la voie d'une plus grande démocratie fondée sur la reddition des comptes, a-t-il ajouté.
Le député italien et président de la commission des droits humains de l'assemblée parlementaire de l'Organisation de la sécurité et de la coopération en Europe, M. Matteo Mecacci a affirmé, pour sa part que "Au Maroc, une transition est en cours vers la démocratie. il y existe une dynamique institutionnelle et politique".
En tant que membre de la mission d'observation des législatives du 25 novembre au Maroc, il a fait état de la "transparence" et de la "pluralité" qui ont marqué ce scrutin.
Son collègue de la mission d'observation, l'eurodéputé français, Gilles Parneux (socialiste), a qualifié ce scrutin d'"historique", soulignant qu'au delà de la mission technique, "il nous a semblé important d'être aux côtés du Maroc pour manifester notre soutien à cette transition démocratique et conforter le dialogue euro-méditerranéen".
Le Maroc, qui a obtenu le statut de "partenaire avancé" auprès de l'Union Européenne, "constitue un interlocuteur de premier plan dans le cadre du partenariat euro-méditerranéen", a ajouté M. Pargneaux.
Rachida Dati, l'eurodéputée française a estimé que la "révolution tranquille", qui se déroule au Maroc, avec la tenue des premières élections législatives après la réforme de la Constitution du 1er juillet dernier, représente "un modèle pour le monde arabe".
Les plus prestigieux supports internationaux ont accordé une large couverture aussi bien au déroulement de la campagne électorale qu'au jour du vote. Ils ont ainsi suivi de près, à travers leurs correspondants permanents ou des équipes d'envoyés spéciaux, le déroulement de cette échéance.
Akram Guendouli. La Vie éco