Ce samedi, le Barça s'est empêtré sur la pelouse du Coliseum Alfonso Perez dans la banlieue de Madrid pour finalement s'incliner sur la plus petite des marges contre Getafe (1-0). Un revers très lourd de conséquence pour les Blaugranas à l'occasion de la 14e levée puisque le Real Madrid augmente son avance en tête en comptant désormais 6 longueurs d'avance sur le FCB. Valera (67e) a quant à lui signé l'unique but pour faire tomber l'ogre catalan pour la première fois de la saison toutes compétitions confondues.
Après 28 matches sans revers depuis le 30 avril et un dernier contre la Real Sociedad sur la pelouse d'Anoeta de Saint-Sébastien, le FC Barcelone est tombé dans le Coliseum Alfonso Perez, l'antre de Getafe. Ce samedi 27 novembre 2011 est donc une date à marquer d'une pierre blanche, surtout pour les Madrilènes d'ailleurs, tant les Catalans semblaient au-dessus du lot depuis la reprise des hostilités en août 2011. En déplacement dans la banlieue de Madrid pour cette 14e journée de Liga, les Barcelonais ont pourtant offert encore une partition à leur image, avec une possession de balle et des transmissions devant la surface adverse toujours très dangereuses. Malheureusement pour Pep Guardiola, l'entraîneur catalan qui avait décidé de ménager Iniesta avant les échéances de décembre avec, en pointe d'orgue, le Clasico contre le Real Madrid à Bernabéu, ses joueurs étaient dans l'incapacité de transformer leurs nombreuses occasions.
Dans un 4-3-3 avec Maxwell sur la gauche de la défense, Abidal dans l'axe et le Chilien Alexis Sanchez pour épauler Lionel Messi et David Villa en attaque, le Barça n'avait que peu de raisons de s'inquiéter d'Azulones qui ne comptaient qu'une petite longueur d'avance sur Grenade et la zone de relégation avant le coup d'envoi.
Un avantage décisif pour le Real?
Le premier acte était d'ailleurs largement à leur avantage. Après 3 minutes de jeu, Villa et Abidal, d'une tête sur un corner pour le Tricolore, avaient déjà alerté Moya, le dernier rempart du Geta. Messi, quant à lui, attendait seulement huit petites minutes pour se mettre en action. Non pas sur des dribbles, comme il en a l'habitude, mais sur un coup franc qui frôlait le but du club banlieusard (8e). En face, Getafe tentait tant bien que mal de s'approcher du but de Valdés et devait patienter jusqu'à une reprise contrée de Miku pour apporter, un tant soit peu, le danger (21e).
Mais la seconde période était finalement encore plus folle que la précédente. Contre le cours du jeu, Getafe prenait un avantage crucial au tableau d'affichage. Sur un corner de Sarabia, le Barça s'inclinait sur l'un de ses rares points faibles, le jeu de tête, et laissait Valera ouvrir la marque des 5 mètres 50 (67e). Obligé de réagir pour ne pas quitter le Real Madrid des yeux au sommet du classement, le club culé était contraint de s'offrir aux contres pour espérer recoller. Les centres de Pedro, entré en jeu après 72 minutes pour remplacer Sanchez, trouvaient à chaque fois les gants de Moya (80e, 81e) alors que Miku, lui, se ratait sur une contre-attaque en oubliant totalement Juan Rodriguez sur sa gauche (87e). Sergio Busquets écopait pour sa part d'un avertissement pour simulation dans la zone de vérité (89e) tandis que, toujours pour le Barça, Messi touchait du bois à une minute de la fin du temps additionnel (90e+3). Avant cela, l'Argentin avait égalisé mais l'arbitre du match, M. Teixeira, invalidait le but pour une position de hors-jeu de Keita, passeur décisif (90e+1). Deuxième, Barcelone a touché terre et s'est surtout fait surprendre à quinze jours d'un Clasico qui, dans la configuration actuelle, ne lui permettra pas de rattraper le Real Madrid.
Football.fr
Après 28 matches sans revers depuis le 30 avril et un dernier contre la Real Sociedad sur la pelouse d'Anoeta de Saint-Sébastien, le FC Barcelone est tombé dans le Coliseum Alfonso Perez, l'antre de Getafe. Ce samedi 27 novembre 2011 est donc une date à marquer d'une pierre blanche, surtout pour les Madrilènes d'ailleurs, tant les Catalans semblaient au-dessus du lot depuis la reprise des hostilités en août 2011. En déplacement dans la banlieue de Madrid pour cette 14e journée de Liga, les Barcelonais ont pourtant offert encore une partition à leur image, avec une possession de balle et des transmissions devant la surface adverse toujours très dangereuses. Malheureusement pour Pep Guardiola, l'entraîneur catalan qui avait décidé de ménager Iniesta avant les échéances de décembre avec, en pointe d'orgue, le Clasico contre le Real Madrid à Bernabéu, ses joueurs étaient dans l'incapacité de transformer leurs nombreuses occasions.
Dans un 4-3-3 avec Maxwell sur la gauche de la défense, Abidal dans l'axe et le Chilien Alexis Sanchez pour épauler Lionel Messi et David Villa en attaque, le Barça n'avait que peu de raisons de s'inquiéter d'Azulones qui ne comptaient qu'une petite longueur d'avance sur Grenade et la zone de relégation avant le coup d'envoi.
Un avantage décisif pour le Real?
Le premier acte était d'ailleurs largement à leur avantage. Après 3 minutes de jeu, Villa et Abidal, d'une tête sur un corner pour le Tricolore, avaient déjà alerté Moya, le dernier rempart du Geta. Messi, quant à lui, attendait seulement huit petites minutes pour se mettre en action. Non pas sur des dribbles, comme il en a l'habitude, mais sur un coup franc qui frôlait le but du club banlieusard (8e). En face, Getafe tentait tant bien que mal de s'approcher du but de Valdés et devait patienter jusqu'à une reprise contrée de Miku pour apporter, un tant soit peu, le danger (21e).
Mais la seconde période était finalement encore plus folle que la précédente. Contre le cours du jeu, Getafe prenait un avantage crucial au tableau d'affichage. Sur un corner de Sarabia, le Barça s'inclinait sur l'un de ses rares points faibles, le jeu de tête, et laissait Valera ouvrir la marque des 5 mètres 50 (67e). Obligé de réagir pour ne pas quitter le Real Madrid des yeux au sommet du classement, le club culé était contraint de s'offrir aux contres pour espérer recoller. Les centres de Pedro, entré en jeu après 72 minutes pour remplacer Sanchez, trouvaient à chaque fois les gants de Moya (80e, 81e) alors que Miku, lui, se ratait sur une contre-attaque en oubliant totalement Juan Rodriguez sur sa gauche (87e). Sergio Busquets écopait pour sa part d'un avertissement pour simulation dans la zone de vérité (89e) tandis que, toujours pour le Barça, Messi touchait du bois à une minute de la fin du temps additionnel (90e+3). Avant cela, l'Argentin avait égalisé mais l'arbitre du match, M. Teixeira, invalidait le but pour une position de hors-jeu de Keita, passeur décisif (90e+1). Deuxième, Barcelone a touché terre et s'est surtout fait surprendre à quinze jours d'un Clasico qui, dans la configuration actuelle, ne lui permettra pas de rattraper le Real Madrid.
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