3 eme année, 2 année…puis 3 année…Quand est ce le sort de nos enfants va etre réellement pris au sérieux ?
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Invité hier de l’émission de la radio chaîne I “ Tahaoulet” , Boubekeur Benbouzid, ministre de l’Education nationale, a abordé les questions des reformes entamées dans le secteur et des examens de fin d’année. Lors de l’émission, le ministre a déclaré que dans le cadre de l’application des réformes en fonction des besoins du terrain, le français sera enseigné à partir de l’année prochaine, en troisième année primaire et non pas à la deuxième année.
«On a constaté que la décision d’enseigner le français en deuxième année devait être rectifiée, puisque l’élève doit pendant les deux premières années du primaire se familiariser d’abord avec sa langue nationale», a affirmé le ministre. Toujours concernant le primaire, l’invité de la radio a précisé par ailleurs que l’introduction de l’examen de 6e à l’échelle nationale répond plus à un besoin d’améliorer le niveau et d’habituer les élèves aux examens qu’à un souci de sélection. L’examen, selon ce responsable, permet un meilleur suivi des élèves et une meilleure connaissance de leurs possibilités. La 6e, examen pour lequel a été d’ailleurs maintenue une deuxième session contrairement au baccalauréat et au BEF. La session est programmée pour le 24 juin prochain en tant que session de rattrapage «mais pas de rachat», a noté le ministre. Le but, selon ce dernier, est d’arriver à plus de 90 % de taux de réussite avec par la suite des séances de soutien et des cours personnalisés de rattrapage pour les élèves ayant échoué. Pour ce qui est du baccalauréat, en réponse à la question da la journaliste de la chaîne I, il a précisé qu’hormis la session de 1992, il n’y a plus de fuites lors de cet examen puisque des dispositions drastiques ont été prises. Selon le ministre pour cette année, 200 milliards de centimes ont été consacrés pour les trois examens avec une rallongue par rapport aux années précédentes de 50 milliards de centimes. Ce budget supplémentaire concerne principalement la rétribution des correcteurs «en vue de leur donner les moyens et de les motiver à prendre en charge les élèves», a déclaré le ministre. Pour ce qui est des résultats du baccalauréat, Boubekeur Benbouzid a rappelé qu’il n’y avait plus de rachat depuis trois années, toujours dans le souci, d’améliorer les résultats. Le but fixé est d’arriver à 70% de taux de réussite, explique le ministre tout en précisant que « le bac de la réforme est attendu pour l’année 2008». Pour ce qui est de la réforme, elle a permis, notamment, selon l’intervenant, la mise sur pied de 144 programmes nouveaux et l’éducation de 114 nouveaux manuels scolaires.
-Le Soir d'Algerie
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Invité hier de l’émission de la radio chaîne I “ Tahaoulet” , Boubekeur Benbouzid, ministre de l’Education nationale, a abordé les questions des reformes entamées dans le secteur et des examens de fin d’année. Lors de l’émission, le ministre a déclaré que dans le cadre de l’application des réformes en fonction des besoins du terrain, le français sera enseigné à partir de l’année prochaine, en troisième année primaire et non pas à la deuxième année.
«On a constaté que la décision d’enseigner le français en deuxième année devait être rectifiée, puisque l’élève doit pendant les deux premières années du primaire se familiariser d’abord avec sa langue nationale», a affirmé le ministre. Toujours concernant le primaire, l’invité de la radio a précisé par ailleurs que l’introduction de l’examen de 6e à l’échelle nationale répond plus à un besoin d’améliorer le niveau et d’habituer les élèves aux examens qu’à un souci de sélection. L’examen, selon ce responsable, permet un meilleur suivi des élèves et une meilleure connaissance de leurs possibilités. La 6e, examen pour lequel a été d’ailleurs maintenue une deuxième session contrairement au baccalauréat et au BEF. La session est programmée pour le 24 juin prochain en tant que session de rattrapage «mais pas de rachat», a noté le ministre. Le but, selon ce dernier, est d’arriver à plus de 90 % de taux de réussite avec par la suite des séances de soutien et des cours personnalisés de rattrapage pour les élèves ayant échoué. Pour ce qui est du baccalauréat, en réponse à la question da la journaliste de la chaîne I, il a précisé qu’hormis la session de 1992, il n’y a plus de fuites lors de cet examen puisque des dispositions drastiques ont été prises. Selon le ministre pour cette année, 200 milliards de centimes ont été consacrés pour les trois examens avec une rallongue par rapport aux années précédentes de 50 milliards de centimes. Ce budget supplémentaire concerne principalement la rétribution des correcteurs «en vue de leur donner les moyens et de les motiver à prendre en charge les élèves», a déclaré le ministre. Pour ce qui est des résultats du baccalauréat, Boubekeur Benbouzid a rappelé qu’il n’y avait plus de rachat depuis trois années, toujours dans le souci, d’améliorer les résultats. Le but fixé est d’arriver à 70% de taux de réussite, explique le ministre tout en précisant que « le bac de la réforme est attendu pour l’année 2008». Pour ce qui est de la réforme, elle a permis, notamment, selon l’intervenant, la mise sur pied de 144 programmes nouveaux et l’éducation de 114 nouveaux manuels scolaires.
-Le Soir d'Algerie
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