Arrivera-t-il ?????Le fera -t-il ou c’est juste des promesses ??
Profitant de la rencontre, le ministre a mis en garde certains enseignants qui n’ont pas payé leur loyer depuis 1998. Ajoutant que "durant ces dernières années, les enseignants du supérieur ont bénéficié de 11 500 logements".
"La revalorisation des salaires des enseignants du supérieur sera effective à partir du mois prochain", c’est ce qu’a déclaré, Rachid Harraoubia, lors d’une rencontre organisée hier au niveau de son institution, regroupant les membres du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES).
Cette revalorisation des salaires sera effectuée, selon le ministre, sous deux formes, une par voie de la Fonction publique et l’autre dans le cadre du statut de l’enseignant. Pour ce qui est des logements, Harraoubia a annoncé que ce problème est "réglé", restent les démarches administratives, elles seront achevées le mois de juin prochain. Profitant de la rencontre, le ministre a mis en garde certains enseignants qui n’ont pas payé leur loyer depuis 1998. Ajoutant que "durant ces dernières années, les enseignants du supérieur ont bénéficié de 11 500 logements".
Concernant le statut de l’enseignant, ne voulant pas s’étaler, le ministre a indiqué que les discussions concernant ce sujet vont être entamées le mois prochain.
Face à ces réponses, le coordinateur national du CNES, Ali Boukaroura, présent à cette rencontre s’est montré satisfait des décisions prises par la tutelle, quant aux réponses positive à leurs revendications "le ministre à bien pris notre dossier au sérieux, et nous sommes vraiment satisfaits de ces décisions".
Concernant les perturbations observées dans certaines universités, le ministre à indiqué qu’elle ne sont pas significatives, "seules 6 universités sur 58 ont répondu au mot d’ordre de grève qui a été interdit par la justice, mais à l’heure actuelle nous avons pu trouver des solutions qui arrangent les deux parties, et nous faisons de notre mieux pour arrêter ces perturbations". Il a ajouté également que des "décisions rigoureuses seront appliquées à l’encontre des syndicalistes ayant appelé à cette grève, car la justice a tranché sur cette question et qu’ils doivent respecter la décision de la justice". Pour ce qui est de l’organisation interne du Cnes il a insisté en disant "Nous essayons de ne pas intervenir au sein du CNES".
Le ministre a également souligné lors de cette rencontre, la situation des étudiants face à ces grèves, surtout qu’ils sont sur le point d’achever leur année scolaire, "cette prise en otage des étudiants sur le plan éthique, moral et relationnelle est inacceptable".
Enfin il notera que si ces revendications "que nous venons de satisfaire" sont les seules préoccupations des enseignants "nous souhaitons que nos universités retrouvent enfin leur stabilité".
- La depeche de Kabylie
Profitant de la rencontre, le ministre a mis en garde certains enseignants qui n’ont pas payé leur loyer depuis 1998. Ajoutant que "durant ces dernières années, les enseignants du supérieur ont bénéficié de 11 500 logements".
"La revalorisation des salaires des enseignants du supérieur sera effective à partir du mois prochain", c’est ce qu’a déclaré, Rachid Harraoubia, lors d’une rencontre organisée hier au niveau de son institution, regroupant les membres du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES).
Cette revalorisation des salaires sera effectuée, selon le ministre, sous deux formes, une par voie de la Fonction publique et l’autre dans le cadre du statut de l’enseignant. Pour ce qui est des logements, Harraoubia a annoncé que ce problème est "réglé", restent les démarches administratives, elles seront achevées le mois de juin prochain. Profitant de la rencontre, le ministre a mis en garde certains enseignants qui n’ont pas payé leur loyer depuis 1998. Ajoutant que "durant ces dernières années, les enseignants du supérieur ont bénéficié de 11 500 logements".
Concernant le statut de l’enseignant, ne voulant pas s’étaler, le ministre a indiqué que les discussions concernant ce sujet vont être entamées le mois prochain.
Face à ces réponses, le coordinateur national du CNES, Ali Boukaroura, présent à cette rencontre s’est montré satisfait des décisions prises par la tutelle, quant aux réponses positive à leurs revendications "le ministre à bien pris notre dossier au sérieux, et nous sommes vraiment satisfaits de ces décisions".
Concernant les perturbations observées dans certaines universités, le ministre à indiqué qu’elle ne sont pas significatives, "seules 6 universités sur 58 ont répondu au mot d’ordre de grève qui a été interdit par la justice, mais à l’heure actuelle nous avons pu trouver des solutions qui arrangent les deux parties, et nous faisons de notre mieux pour arrêter ces perturbations". Il a ajouté également que des "décisions rigoureuses seront appliquées à l’encontre des syndicalistes ayant appelé à cette grève, car la justice a tranché sur cette question et qu’ils doivent respecter la décision de la justice". Pour ce qui est de l’organisation interne du Cnes il a insisté en disant "Nous essayons de ne pas intervenir au sein du CNES".
Le ministre a également souligné lors de cette rencontre, la situation des étudiants face à ces grèves, surtout qu’ils sont sur le point d’achever leur année scolaire, "cette prise en otage des étudiants sur le plan éthique, moral et relationnelle est inacceptable".
Enfin il notera que si ces revendications "que nous venons de satisfaire" sont les seules préoccupations des enseignants "nous souhaitons que nos universités retrouvent enfin leur stabilité".
- La depeche de Kabylie
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