Le visa d’entrée en Libye imposé par les nouvelles autorités libyennes ne concerne pas seulement l’Algérie, mais tous les pays voisins et les pays arabes à l’exception de la Tunisie, a indiqué, ce mardi 29 novembre, l’ambassade d’Algérie à Tripoli. Le système actuellement en vigueur fait suite à celui qui prévalait depuis le 30 mars 2011 et qui « n'exempte du visa que les citoyens tunisiens et dernièrement les Turcs », a précisé la même source dans un communiqué repris par l'APS.
L’ambassade a aussi qualifié « d’infondées » les informations faisant état d'instructions secrètes en direction des accès frontaliers entre les deux pays pour empêcher les Algériens d'entrer dans le territoire libyen ou celles de donner 24 heures aux Algériens non détenteurs de certificat de résidence pour quitter la Libye. « Ces informations sont infondées et dénaturent la vérité sur le vécu des étrangers dans un contexte caractérisé par une situation sécuritaire non maîtrisée constatée ici et là mais toujours sans effet », affirme l’ambassade algérienne.
Tout en assurant que les Algériens encore établis en Libye « ne sont exposés à aucune mesure ou décision sélective ou discriminatoire de même qu'il n'existe pas d'indicateurs de risque ou de menace contre eux depuis la chute de l'ancien régime », l’ambassade déplore profondément « les rumeurs et les allégations irresponsables dépourvues de toute objectivité qui ont semé la peur et la panique parmi les ressortissants et leurs familles et qui pourraient influer négativement sur les relations fraternelles qui étaient de tout temps l'un des traits de coexistence sereine entre les ressortissants algériens et libyens établis dans l'un ou l'autre pays ».
Sonia Lyes
L’ambassade a aussi qualifié « d’infondées » les informations faisant état d'instructions secrètes en direction des accès frontaliers entre les deux pays pour empêcher les Algériens d'entrer dans le territoire libyen ou celles de donner 24 heures aux Algériens non détenteurs de certificat de résidence pour quitter la Libye. « Ces informations sont infondées et dénaturent la vérité sur le vécu des étrangers dans un contexte caractérisé par une situation sécuritaire non maîtrisée constatée ici et là mais toujours sans effet », affirme l’ambassade algérienne.
Tout en assurant que les Algériens encore établis en Libye « ne sont exposés à aucune mesure ou décision sélective ou discriminatoire de même qu'il n'existe pas d'indicateurs de risque ou de menace contre eux depuis la chute de l'ancien régime », l’ambassade déplore profondément « les rumeurs et les allégations irresponsables dépourvues de toute objectivité qui ont semé la peur et la panique parmi les ressortissants et leurs familles et qui pourraient influer négativement sur les relations fraternelles qui étaient de tout temps l'un des traits de coexistence sereine entre les ressortissants algériens et libyens établis dans l'un ou l'autre pays ».
Sonia Lyes
Commentaire