L'USFP ne sera pas aux côtés du PJD dans le gouvernement
La nouvelle est tombée hier, dimanche 4 décembre. « L’USFP s’est désormais placée dans l’opposition suite à une décision prise dimanche par son Conseil national », a annoncé Driss Lachgar, membre du bureau politique du parti, cité par Rfi.fr. Après 13 années passées au pouvoir, l’Union socialiste des forces populaires, dirigée par Abdelouahed Radi, a décidé de se retirer de la coalition gouvernementale, mettant l’avenir de la Koutla démocratique en péril.
« Le retour de l'USFP aux rangs de l'opposition répond à un intérêt national et à une nécessité politique qui consiste à faire progresser la démocratie marocaine suivant une démarcation claire entre les formations politiques de différents référentiels et instaurer une véritable alternance démocratique », a estimé le parti de la rose, dans un communiqué. Abdelilah Benkirane devra, donc, revoir sa stratégie pour former une nouvelle coalition gouvernementale. A priori, l’Istiqlal et le mouvement Populaire sont favorables pour une participation au nouveau gouvernement. Reste à négocier des rapprochements avec le PPS et l’Union Constitutionnelle.
alm
La nouvelle est tombée hier, dimanche 4 décembre. « L’USFP s’est désormais placée dans l’opposition suite à une décision prise dimanche par son Conseil national », a annoncé Driss Lachgar, membre du bureau politique du parti, cité par Rfi.fr. Après 13 années passées au pouvoir, l’Union socialiste des forces populaires, dirigée par Abdelouahed Radi, a décidé de se retirer de la coalition gouvernementale, mettant l’avenir de la Koutla démocratique en péril.
« Le retour de l'USFP aux rangs de l'opposition répond à un intérêt national et à une nécessité politique qui consiste à faire progresser la démocratie marocaine suivant une démarcation claire entre les formations politiques de différents référentiels et instaurer une véritable alternance démocratique », a estimé le parti de la rose, dans un communiqué. Abdelilah Benkirane devra, donc, revoir sa stratégie pour former une nouvelle coalition gouvernementale. A priori, l’Istiqlal et le mouvement Populaire sont favorables pour une participation au nouveau gouvernement. Reste à négocier des rapprochements avec le PPS et l’Union Constitutionnelle.
alm
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