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Quelque dix mille postes de travail ont été créés par les entreprises françaises en Algérie, dont la plupart sont liés aux petites et moyennes entreprises, et ce nombre s’est multiplié durant les cinq dernières années, a indiqué le président de la chambre française du commerce et de l’industrie en Algérie, Michel de Cavarelli.
L’Algérie à passé de la cinquantième place dans la liste des pays où la France entreprennent des investissements, à la quarantième place selon les indications du même responsable, au forum d’El Moudjahid, considérant cela comme un indicateur du développement des relations économiques entre les deux pays, Cavarelli a profité de cette occasion pour rappeler les développements les plus importants que connaît le marché Algérien, en présentant un bilan positif des opportunités qu’offre l’Algérie tant pour les investisseurs étrangers que locaux.
Le président de la chambre française du commerce et de l’industrie estime que la présence de 200 entreprises françaises en Algérie, soumises à la législation algérienne, montre à quel point cette présence est effective et sérieuse. Michel de Cavarelli a, d’autre part, considéré que le monde des affaires n’est pas soumis à la politique, car les hommes d’affaires s’intéressent seulement aux opportunités qu’offre l’économie algérienne avec les autres facteurs d’attraction et de concurrence, deux indices essentielles par pour tout investisseur étrangers. Ces derniers ne sont pas influencés par les transformations dans les relations politiques entre les deux pays.
Cavareli a, par ailleurs, a assuré que le nombre des sociétés françaises qui vont prendre part à la foire internationale d’Alger dépasse les 340 entreprises. Plus de 400 entreprises françaises ont participé, l’année en cous, aux différentes foires spécialisées organisées en Algérie.
En revanche, Michel Cavarelli a cité certains points négatifs en à propos du marché algérien, à savoir les obstacles administratifs et la lenteurs de certaines procédures, et le manque de l’immobilier industriel. Toutefois, « L’Algérie a beaucoup changé ces cinq dernières années. Un changement plutôt positif », a-t-il ajouté.
- EL khabar
L’Algérie à passé de la cinquantième place dans la liste des pays où la France entreprennent des investissements, à la quarantième place selon les indications du même responsable, au forum d’El Moudjahid, considérant cela comme un indicateur du développement des relations économiques entre les deux pays, Cavarelli a profité de cette occasion pour rappeler les développements les plus importants que connaît le marché Algérien, en présentant un bilan positif des opportunités qu’offre l’Algérie tant pour les investisseurs étrangers que locaux.
Le président de la chambre française du commerce et de l’industrie estime que la présence de 200 entreprises françaises en Algérie, soumises à la législation algérienne, montre à quel point cette présence est effective et sérieuse. Michel de Cavarelli a, d’autre part, considéré que le monde des affaires n’est pas soumis à la politique, car les hommes d’affaires s’intéressent seulement aux opportunités qu’offre l’économie algérienne avec les autres facteurs d’attraction et de concurrence, deux indices essentielles par pour tout investisseur étrangers. Ces derniers ne sont pas influencés par les transformations dans les relations politiques entre les deux pays.
Cavareli a, par ailleurs, a assuré que le nombre des sociétés françaises qui vont prendre part à la foire internationale d’Alger dépasse les 340 entreprises. Plus de 400 entreprises françaises ont participé, l’année en cous, aux différentes foires spécialisées organisées en Algérie.
En revanche, Michel Cavarelli a cité certains points négatifs en à propos du marché algérien, à savoir les obstacles administratifs et la lenteurs de certaines procédures, et le manque de l’immobilier industriel. Toutefois, « L’Algérie a beaucoup changé ces cinq dernières années. Un changement plutôt positif », a-t-il ajouté.
- EL khabar