Cher Monsieur,
Dans votre article, Vous tentez sans y parvenir de récuser les preuves du double discours de Tariq Ramadan.
Que Tariq Ramadan prône la stricte observance du Coran et des hadiths, alors qu'il dit par ailleurs vouloir concilier l'appartenance musulmane avec la vie commune et les lois des sociétés européennes et occidentales n'est plus à démontrer et ce de longue date. Il suffit d'écouter ses discours diffusés sur k7 et DVD à l'intérieur de la cté musulmane et de comparer leur contenu avec ses articles, ses livres, ses interviews à l'adresse des non-musulmans pour s'en convaincre.
Pierre-André Taguieff chercheur au CNRS a relève ces propos de Tariq diffusés par cassette audio : "La crainte pour les musulmans en Occident, c'est que les musulmans répondent à l'Occident et ne répondent pas à Dieu. Or il faut répondre à Dieu et ce sera notre réponse à l'Occident".
De nombreux intellectuels, se sont penchés sur la question, et tous ont relevé des preuves du double discours de Frère Tariq : Leila Babès, Soheib Bencheikh, Antoine Sfeir , Mohamed Sifaoui, Caroline Fourest pour ne citer qu'eux.
Chacun pourra juger par lui-même en allant écouter un extrait des discours de Tariq Ramadan xxxxxxxxx ici.
A l'instar d'Antoine Sfeir, Mohamed Sifaoui, analyse et comparaison faites, la preuve que « Tariq Ramadan est un « maître du double langage » déclarant une chose au public non musulman et une autre au public musulman est irréfutable , à moins d'être sourd, ou idiot.
Et je me range du coté de Caroline Fourest quand elle déclare, analyse à l'appui de la vingtaine de livres que Tariq Ramadan a publié qu'il est fondamentalement plus « intégriste » que réformiste, avec cette nuance pour moi : un islam modéré est une imposture intellectuelle, un mensonge historique. Et ce que les occidentaux prennent pour un islam intégriste n'est que l'expression normale de l'islam, quand il est entièrement fidèle au Coran, aux Hadiths, à la Sunna et à la Charia.
Vous opposez à ces accusations de double discours, la superficialité des connaissances sur l’Islam chez les occidentaux , la malhonnêteté des intellectuels qui manipulent les masses. Des affirmations dont on attendrait qu'elles soient fondées...
Vous dites qu'il ne s'agit pas d'un double discours mais d'une différence de technique de communication ; la formule fait sourire... une forme d'aveu involontaire ? Je comprends que vue l'ignorance des non-musulmans occidentaux en matière d'Islam, Tariq Ramadan ne puisse s'adresser à nous comme il le ferait avec un musulman. Par contre je m'étonne qu'il ne tienne pas à la cté musulman le discours qu'il nous tient à nous non-musulmans. Ca ne devrait pas poser de difficultés de vocabulaire si, comme le prétend Tariq Ramadan dans son discours soit disant post intégrationniste, les fondamentaux de la pensée occidentale sont compatibles avec l'islam ? Je m'en étonne, mais l'islamophobe, raciste, impie, ignare, mécréant, intellectuellement malhonnête que vous supposerez que je suis parce que j'ose critiquer l'islam sait pourquoi et il va vous raconter une petite histoire qui illustre bien le problème...
Voyez-vous, cher Monsieur,
j'ai longtemps exercé le métier de libraire spécialisé en religions dans une grande librairie Lilloise. Tolérant, ouvert, ardent défenseur de la liberté de penser, de croire, de s'exprimer. J'ai toujours mis un point d'honneur à ce que toutes les confessions religieuses, soient également représentées dans mes rayonnages. Et croyez moi l'islam avait une bonne place. C'est un ami iranien musulman, lui-même libraire religieux qui venait me conseiller pour la bonne tenue de la rubrique islam. J'ai lu le coran, les hadiths et même des ouvrages de théologie, de spiritualité.
En dépit d'un traitement égalitaire en terme de représentation et de promotion, la rubrique islam est la seule qui ai causé des ennuis et des problèmes de cohabitation avec les autres confessions religieuses dans ma librairie.
Il y avait toujours des clients musulmans pour venir me dire : faut pas mettre les livres saints de l'islam à coté du bouddhisme (horreur absolue), un autre pour me dire, pas à coté du judaisme (une autre horreur), encore un autre pour dire pas à coté des chrétiens.. (déjà moins ignoble).
Or, jamais un chrétien, un juif, un protestant, un bouddhiste, un hindou, n'est venu me dire de pas mettre leurs livres Saints à coté de l'islam. J'ai même eu un jour un client musulman qui m'a agressé verbalement, menacé des foudre de l'enfer parce que j'étiquetais en les empilant sur le sol ( par manque de place) des corans... C'est dire.
Combien de fois n'ai-je pas trouvé en fin de journée des piles de livres retournées pour cacher le titre, parce que jugés impies par le musulman de passage dans la librairie...
Voilà pour la petite histoire qui illustre de façon anecdotique, les difficultés et les problème que posent l'islam dans sa cohabitation avec le reste du monde.
Dans votre article vous prétendez que le discours de Tariq Ramadan est citoyen, qu'il prend en considération les quatre dimensions fondamentales dans la pensée occidentale : à savoir la liberté, la démocratie, la laïcité et la citoyenneté.
Et que donc :
1. La liberté : « pas de contrainte en religion » est un principe fondamental dans la pratique de l’Islam, avant d’être le résultat de la pensée occidental.
2. La démocratie : la concertation dans la gestion des affaires sociales existe dans l'islam
3. La laïcité : la séparation entre le credo(Dogme) « Ibadate », et le système socio-économique
« Mouaâmalat » en Islam. Sont des principes appliqués et respectés dans l'islam.
Comme vous y allez...
Soit, il existe des pays musulmans tels que la Turquie, le Maroc qui respectent plus ou moins bien les valeurs des démocraties occidentales parce que l'islam est tenu éloigné du pouvoir .
Maintenant trouvez-moi un pays au gouvernement islamique fidèle au Coran, aux hadiths, à la Charia et à la Sunna qui respecte la liberté, la démocratie, la laicité .. et revenez nous voir .. dans ...600 ans.
Je ne vais pas reformuler ici moins bien ce que des intellectuels, éclairés et impartiaux ont brillamment écrit sur l'islam. Je me contenterai de renvoyer l'internaute intéréssé par la question à la critique d'Ibn Warraq : auteur du livre : « Pourquoi je ne suis pas musulman ». Livre épuisé mais xxxxxxxxx
Que dit Ibn warraq ?
en substance :
L'idée propagée par les média occidentaux et les islamologues, que l'islam authentique est pacifique, que l'islam vrai respecte les droits de l'homme est une imposture intellectuelle et un mensonge historique.
Un Islam moderne, modéré, compatible avec les valeurs occidentales ne serait tout simplement pas l'islam. Par contre il peut y avoir des musulmans modérés, à condition qu'ils soient libérés de l'islam car en définitive les premières et les principales victimes de l'islam sont les musulmans eux-même.
Ibn Warraq démontre
je cite :
« de façon convaincante que les atrocités commises en Algérie ou en Afgha-nistan ou encore au Soudan, par exemple, sont la conséquence logique des principes gravés dans le Coran, les Hadiths, la Sunna et la Charia. Autre-ment dit, ce que l'ayatollah Khomeini a mis en pratique en Iran c'est l'islam, l'islam véridique, et non pas quelque aberration. Après tout, Khomeini a passé une large partie de sa vie à l'étudier. Quand il décrète sa sentence de mort contre Rushdie, Khomeini ne fait que suivre un précèdent instauré par Muhammad, le fondateur de l'islam, celui-là même qui n'avait aucun scru-pule à obtenir vengeance ou régler une querelle par l'assassinat politique. Le jihad, comme Warraq le démontre, est clairement prôné par la loi isla-mique, et le Coran foisonne de passages qui exhortent le croyant à tuer l'incroyant ou le non-musulman. Warraq fait également éclater le mythe de la tolérance islamique : l'islam a conquis par l'épée, et ce faisant elle a détruit la chrétienté en orient et la culture persane séculaire, pillant et brûlant les églises et les temples ; elle a dévasté l'Inde et a littéralement mis à sac des mil-liers de temples hindous. La situation déplorable des femmes dans le monde islamique est aussi analysée par Warraq comme une conséquence, une conséquence logique des principes misogynes qui sont parsemés dans tout le Coran, les Hadiths et la charia : une femme est un être inférieur dans tous les sens du terme, aussi bien moralement qu'intellectuellement ; elle ne peut hériter que de la moitié perçue par un homme ; son témoignage devant un tribunal ne vaut que la moitié de celui d'un homme ; elle ne peut épouser un non-musulman, elle ne peut divorcer, certaines professions lui sont interdites, et ainsi de suite. Warraq insiste sur la nature totalitaire de l'islam, montrant en quoi il est incompatible avec le respect des Droits de l'Homme. Ce ne sont pas seule-ment les femmes qui sont inférieures selon la loi islamique, mais aussi les non-musulmans vivant dans des pays islamiques. De même que nul n'a le droit de changer de religion : un apostat doit être tué. Warraq aborde également les récentes découvertes sur les origines de l'islam, découvertes qui jettent de lourdes suspicions sur l'authenticité des sources islamiques, lesquelles naturellement sont toutes tardives. Warraq nous explique également en détail les influences qu'ont exercées le paga-nisme, le manichéisme, le judaïsme, et le christianisme sur Muhammad, et qui lui ont permis de fonder l'islam. Le Coran est également considéré comme un document extrêmement humain, grouillant d'erreurs grammati-cales et historiques, dont il n'existe non pas une, mais des milliers de ver-sions. »
agoravox
Dans votre article, Vous tentez sans y parvenir de récuser les preuves du double discours de Tariq Ramadan.
Que Tariq Ramadan prône la stricte observance du Coran et des hadiths, alors qu'il dit par ailleurs vouloir concilier l'appartenance musulmane avec la vie commune et les lois des sociétés européennes et occidentales n'est plus à démontrer et ce de longue date. Il suffit d'écouter ses discours diffusés sur k7 et DVD à l'intérieur de la cté musulmane et de comparer leur contenu avec ses articles, ses livres, ses interviews à l'adresse des non-musulmans pour s'en convaincre.
Pierre-André Taguieff chercheur au CNRS a relève ces propos de Tariq diffusés par cassette audio : "La crainte pour les musulmans en Occident, c'est que les musulmans répondent à l'Occident et ne répondent pas à Dieu. Or il faut répondre à Dieu et ce sera notre réponse à l'Occident".
De nombreux intellectuels, se sont penchés sur la question, et tous ont relevé des preuves du double discours de Frère Tariq : Leila Babès, Soheib Bencheikh, Antoine Sfeir , Mohamed Sifaoui, Caroline Fourest pour ne citer qu'eux.
Chacun pourra juger par lui-même en allant écouter un extrait des discours de Tariq Ramadan xxxxxxxxx ici.
A l'instar d'Antoine Sfeir, Mohamed Sifaoui, analyse et comparaison faites, la preuve que « Tariq Ramadan est un « maître du double langage » déclarant une chose au public non musulman et une autre au public musulman est irréfutable , à moins d'être sourd, ou idiot.
Et je me range du coté de Caroline Fourest quand elle déclare, analyse à l'appui de la vingtaine de livres que Tariq Ramadan a publié qu'il est fondamentalement plus « intégriste » que réformiste, avec cette nuance pour moi : un islam modéré est une imposture intellectuelle, un mensonge historique. Et ce que les occidentaux prennent pour un islam intégriste n'est que l'expression normale de l'islam, quand il est entièrement fidèle au Coran, aux Hadiths, à la Sunna et à la Charia.
Vous opposez à ces accusations de double discours, la superficialité des connaissances sur l’Islam chez les occidentaux , la malhonnêteté des intellectuels qui manipulent les masses. Des affirmations dont on attendrait qu'elles soient fondées...
Vous dites qu'il ne s'agit pas d'un double discours mais d'une différence de technique de communication ; la formule fait sourire... une forme d'aveu involontaire ? Je comprends que vue l'ignorance des non-musulmans occidentaux en matière d'Islam, Tariq Ramadan ne puisse s'adresser à nous comme il le ferait avec un musulman. Par contre je m'étonne qu'il ne tienne pas à la cté musulman le discours qu'il nous tient à nous non-musulmans. Ca ne devrait pas poser de difficultés de vocabulaire si, comme le prétend Tariq Ramadan dans son discours soit disant post intégrationniste, les fondamentaux de la pensée occidentale sont compatibles avec l'islam ? Je m'en étonne, mais l'islamophobe, raciste, impie, ignare, mécréant, intellectuellement malhonnête que vous supposerez que je suis parce que j'ose critiquer l'islam sait pourquoi et il va vous raconter une petite histoire qui illustre bien le problème...
Voyez-vous, cher Monsieur,
j'ai longtemps exercé le métier de libraire spécialisé en religions dans une grande librairie Lilloise. Tolérant, ouvert, ardent défenseur de la liberté de penser, de croire, de s'exprimer. J'ai toujours mis un point d'honneur à ce que toutes les confessions religieuses, soient également représentées dans mes rayonnages. Et croyez moi l'islam avait une bonne place. C'est un ami iranien musulman, lui-même libraire religieux qui venait me conseiller pour la bonne tenue de la rubrique islam. J'ai lu le coran, les hadiths et même des ouvrages de théologie, de spiritualité.
En dépit d'un traitement égalitaire en terme de représentation et de promotion, la rubrique islam est la seule qui ai causé des ennuis et des problèmes de cohabitation avec les autres confessions religieuses dans ma librairie.
Il y avait toujours des clients musulmans pour venir me dire : faut pas mettre les livres saints de l'islam à coté du bouddhisme (horreur absolue), un autre pour me dire, pas à coté du judaisme (une autre horreur), encore un autre pour dire pas à coté des chrétiens.. (déjà moins ignoble).
Or, jamais un chrétien, un juif, un protestant, un bouddhiste, un hindou, n'est venu me dire de pas mettre leurs livres Saints à coté de l'islam. J'ai même eu un jour un client musulman qui m'a agressé verbalement, menacé des foudre de l'enfer parce que j'étiquetais en les empilant sur le sol ( par manque de place) des corans... C'est dire.
Combien de fois n'ai-je pas trouvé en fin de journée des piles de livres retournées pour cacher le titre, parce que jugés impies par le musulman de passage dans la librairie...
Voilà pour la petite histoire qui illustre de façon anecdotique, les difficultés et les problème que posent l'islam dans sa cohabitation avec le reste du monde.
Dans votre article vous prétendez que le discours de Tariq Ramadan est citoyen, qu'il prend en considération les quatre dimensions fondamentales dans la pensée occidentale : à savoir la liberté, la démocratie, la laïcité et la citoyenneté.
Et que donc :
1. La liberté : « pas de contrainte en religion » est un principe fondamental dans la pratique de l’Islam, avant d’être le résultat de la pensée occidental.
2. La démocratie : la concertation dans la gestion des affaires sociales existe dans l'islam
3. La laïcité : la séparation entre le credo(Dogme) « Ibadate », et le système socio-économique
« Mouaâmalat » en Islam. Sont des principes appliqués et respectés dans l'islam.
Comme vous y allez...
Soit, il existe des pays musulmans tels que la Turquie, le Maroc qui respectent plus ou moins bien les valeurs des démocraties occidentales parce que l'islam est tenu éloigné du pouvoir .
Maintenant trouvez-moi un pays au gouvernement islamique fidèle au Coran, aux hadiths, à la Charia et à la Sunna qui respecte la liberté, la démocratie, la laicité .. et revenez nous voir .. dans ...600 ans.
Je ne vais pas reformuler ici moins bien ce que des intellectuels, éclairés et impartiaux ont brillamment écrit sur l'islam. Je me contenterai de renvoyer l'internaute intéréssé par la question à la critique d'Ibn Warraq : auteur du livre : « Pourquoi je ne suis pas musulman ». Livre épuisé mais xxxxxxxxx
Que dit Ibn warraq ?
en substance :
L'idée propagée par les média occidentaux et les islamologues, que l'islam authentique est pacifique, que l'islam vrai respecte les droits de l'homme est une imposture intellectuelle et un mensonge historique.
Un Islam moderne, modéré, compatible avec les valeurs occidentales ne serait tout simplement pas l'islam. Par contre il peut y avoir des musulmans modérés, à condition qu'ils soient libérés de l'islam car en définitive les premières et les principales victimes de l'islam sont les musulmans eux-même.
Ibn Warraq démontre
je cite :
« de façon convaincante que les atrocités commises en Algérie ou en Afgha-nistan ou encore au Soudan, par exemple, sont la conséquence logique des principes gravés dans le Coran, les Hadiths, la Sunna et la Charia. Autre-ment dit, ce que l'ayatollah Khomeini a mis en pratique en Iran c'est l'islam, l'islam véridique, et non pas quelque aberration. Après tout, Khomeini a passé une large partie de sa vie à l'étudier. Quand il décrète sa sentence de mort contre Rushdie, Khomeini ne fait que suivre un précèdent instauré par Muhammad, le fondateur de l'islam, celui-là même qui n'avait aucun scru-pule à obtenir vengeance ou régler une querelle par l'assassinat politique. Le jihad, comme Warraq le démontre, est clairement prôné par la loi isla-mique, et le Coran foisonne de passages qui exhortent le croyant à tuer l'incroyant ou le non-musulman. Warraq fait également éclater le mythe de la tolérance islamique : l'islam a conquis par l'épée, et ce faisant elle a détruit la chrétienté en orient et la culture persane séculaire, pillant et brûlant les églises et les temples ; elle a dévasté l'Inde et a littéralement mis à sac des mil-liers de temples hindous. La situation déplorable des femmes dans le monde islamique est aussi analysée par Warraq comme une conséquence, une conséquence logique des principes misogynes qui sont parsemés dans tout le Coran, les Hadiths et la charia : une femme est un être inférieur dans tous les sens du terme, aussi bien moralement qu'intellectuellement ; elle ne peut hériter que de la moitié perçue par un homme ; son témoignage devant un tribunal ne vaut que la moitié de celui d'un homme ; elle ne peut épouser un non-musulman, elle ne peut divorcer, certaines professions lui sont interdites, et ainsi de suite. Warraq insiste sur la nature totalitaire de l'islam, montrant en quoi il est incompatible avec le respect des Droits de l'Homme. Ce ne sont pas seule-ment les femmes qui sont inférieures selon la loi islamique, mais aussi les non-musulmans vivant dans des pays islamiques. De même que nul n'a le droit de changer de religion : un apostat doit être tué. Warraq aborde également les récentes découvertes sur les origines de l'islam, découvertes qui jettent de lourdes suspicions sur l'authenticité des sources islamiques, lesquelles naturellement sont toutes tardives. Warraq nous explique également en détail les influences qu'ont exercées le paga-nisme, le manichéisme, le judaïsme, et le christianisme sur Muhammad, et qui lui ont permis de fonder l'islam. Le Coran est également considéré comme un document extrêmement humain, grouillant d'erreurs grammati-cales et historiques, dont il n'existe non pas une, mais des milliers de ver-sions. »
agoravox
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