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Festival international du film de Marrakech : On nous a traités comme du bétail !

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  • Festival international du film de Marrakech : On nous a traités comme du bétail !

    Au FIFM, les journalistes marocains sont régulièrement malmenés par des organisateurs, qui leur préfèrent de loin les médias étrangers, jugés plus dignes d’intérêt.

    «Les chargés des relations presse nous ont informés qu’un entretien avec l’acteur et réalisateur franco-marocain Roschdy Zem allait se tenir dans la journée, raconte une journaliste marocaine, accréditée à cette onzième édition du Festival international du film de Marrakech. «Une vingtaine de journalistes sont donc allés le rencontrer dans son hôtel. Point d’entretiens individuels, nous a-t-on prévenus. On nous a séparés en deux groupes de dix personnes, pour que ça aille plus vite. À un moment, j’ai voulu relancer Roschdy Zem, mais on m’en a empêché, car, m’a-t-on asséné, chacun n’avait droit qu’à une ou deux questions !», s’indigne la jeune femme, résumant ainsi la mésaventure : «On nous a traités comme du bétail». Plus tard, un autre reporter viendra me confier son désarroi : «Je n’ai pas pu assister à la cérémonie d’ouverture car mon rédacteur-en-chef y était convié et qu’on ne distribue qu’une invitation par média». On se demande qui, de l’envoyé spécial ou du rédacteur-en-chef, doit couvrir l’inauguration du festival.

    J’ai moi-même enduré les dégâts collatéraux de cette organisation «ségrégationniste», je ne trouve pas d’autre mot pour qualifier cette avanie : allant m’enquérir de ces «précieuses» invitations, qui permettent d’assister, sans se tordre le cou, aux films projetés, j’atterris devant le bureau des accréditations pour la presse nationale qu’on m’a indiqué à l’entrée du Palais des congrès. Un vigile m’y attend, et d’un ton bourru, me signifie que je n’ai pas le droit d’entrer.

    Mais, mon bon monsieur ! Qui donc a le droit d’entrer au bureau des accréditations «presse», si la presse en est exclue ? À ma question, ce cher monsieur a répondu par un grognement.

    Je me résous donc à aller à la projection d’«Or noir» de Jean-Jacques Annaud, munie du seul badge presse, permettant -j’allais le réaliser plus tard- d’assister aux miettes du festival plutôt qu’au festival à proprement parler. Devant la salle, trois vigiles : «Non, ici c’est sur invitation, montez au premier étage».

    Soit. Au premier étage, d’autres gorilles : «Non. Ici, il y a un hommage. Vous n’y avez pas accès».

    Ah bon ? Les journalistes n’accèdent pas aux hommages ? À cette question, on me répond par une paire de bras levés, en signe d’impuissance. Plusieurs minutes s’écoulent avant qu’un des vigiles, après concertations téléphoniques, nous indique une troisième et dernière porte - nous étions une dizaine de «lépreux» -, laquelle porte mène vers ce qu’on pourrait qualifier de «perchoir», de «balcon du balcon», dans cette immense salle de projection.

    Un bien bel endroit en vérité. Pour admirer un bout du crâne des animateurs sur scène. Où l’on est tenu à une distance «respectable» du film et de ceux qui l’ont fait. Comment, à la sortie, un journaliste peut-il espérer interviewer d’éventuels acteurs ou réalisateurs ?

    À cette question, la voix confuse d’un chargé de presse me bredouille au téléphone : «C’est l’endroit réservé aux journalistes, désolé».
    Quels journalistes, au juste ? Les critiques internationaux sont-ils logés à la même «enseigne» ? Je n’ai pas eu besoin de poser la question. Je n’en ai pas vu un seul dans le perchoir.

    Maintenant, à cette question que me poseront - peut-être - les organisateurs de la prochaine édition du FIFM : «Souhaitez-vous être des nôtres ?» Vous devinerez la réponse

    Sana Guessous. La Vie éco

  • #2
    «On nous a traités comme du bétail».
    «ségrégationniste»,
    d’un ton bourru, me signifie que je n’ai pas le droit d’entrer.
    ce cher monsieur a répondu par un grognement.
    «Non, ici c’est sur invitation, montez au premier étage».
    «Non. Ici, il y a un hommage. Vous n’y avez pas accès».
    la réponse trouvé par toi-même :
    nous étions une dizaine de «lépreux»

    *Alors Kamdi'ha wa soukti , tout le monde sait que Marrakech n appartient pas aux marocains
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #3
      non sa appartient a Allah subhan wa ta3ala comme toute la terre entière pas vrai houari

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      • #4
        @maB2rOc
        ce n est pas moi qui l avait dit
        «On nous a traités comme du bétail».
        nous étions une dizaine de «lépreux»
        Alors fham à qui appartient " Marrakech ? "
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #5
          a ALLAH

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          • #6
            On nous a traités comme du bétail».
            nous étions une dizaine de «lépreux»
            Alors fham à qui appartient " Marrakech
            a ALLAH

            Commentaire


            • #7
              @ maB2rOc
              stp laisse la religion à sa place , n a rien a avoir dans ce Topic ( evite Tnoufiq )

              -Discute ce que dit l article , des marocains et des marocaines n avaient aucun regard sur ce festival ...
              d ailleurs l article mentionne et précise que ces journalistes ont sentit qu ils n étaient pas chez eux : le Maroc ( Marrakech )

              «On nous a traités comme du bétail».
              nous étions une dizaine de «lépreux»
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #8
                Heureusement qu'il y'a ces vigiles sinon le festival serait devenu un souk, une carte de presse reste une carte de presse C'est pas un passe par tout

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                • #9
                  Heureusement qu'il y'a ces vigiles sinon le festival serait devenu un souk, une carte de presse reste une carte de presse C'est pas un passe par tout
                  @ourgha
                  Ne justifie l injustifiable , tu devrais poser la question pourquoi les journalistes n ont pas eu droit à une carte de presse et aucun regard sur ce qui se passe au festival , pourtant eux normalement qui seront les premiers servit , puisque ça se passe dans le sol marocain
                  .
                  chaque festival , le même topo ? les journalistes marocains ne sont pas désirés .. Marrakech appartient à d autres ??

                  l article le dit : des lépreux ..
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                  • #10
                    maB2rOc
                    non sa appartient a Allah subhan wa ta3ala comme toute la terre entière pas vrai houari


                    Non Marra kech avec tous le MOUNKAR qui s'y passe, appartient à IBLISS .(na3alaho allah)
                    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                    • #11
                      j'en completement rien a foutre de se festival , houari tu ma dit a qui appartient Marrakech , j'ai dit Allah subhan wa ta3ala car la terre ou elle est batis appartient a dieu .
                      y'a aucun tnoufiq dans n'est propos !!!!

                      après je te l'accord y'a beaucoup de vis a Marrakech et en tant que musulmans sa me plait pas .

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                      • #12
                        j'en completement rien a foutre de se festival , houari tu ma dit a qui appartient Marrakech , j'ai dit Allah subhan wa ta3ala car la terre ou elle est batis appartient a dieu ..
                        @maB2rOc

                        Oui la terre appartient à dieu .
                        Mais la terre palestinienne appartient aux sionistes et Marrakech aux Mounafiqine

                        *je t avais dit évite ( Tnoufiq ) , laisse la religion à sa place !
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                        • #13
                          Oui la terre appartient à dieu .
                          Mais la terre palestinienne appartient aux sionistes et Marrakech aux Mounafiqine
                          je suis d'accord
                          allais salam !!

                          Commentaire


                          • #14
                            je suis d'accord
                            allais salam !!
                            @maB2rOc
                            OK !!
                            Donc tu reconnais que les journalistes marocains sont des lépreux dans leur propre territoire ..
                            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                            • #15
                              Non Marra kech avec tous le MOUNKAR qui s'y passe, appartient à IBLISS


                              A ce qui parait, c a marrakesh que le dajjal va faire son apparition.
                              Communist until you get rich, Feminist until you get married, Atheist until the airplane starts falling ...

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