bonsoir tout le monde
voilà, comme la rue des petites est un endroit qui m'y est trés cher, je ne peux rester sans y insérer un petit poème.
le poème d'aujourd'hui, date de 10 ans déjà (oh déjà, le temps passe vite les amis) et je voudrais que vous donniez votre avis. et surtout ne voyez pas en lui une déclaration ou une qlqconque tentative de ....je ne sais pas quoi.
merci
A tous les amis du Forum, à ma famille, à tous les amis d’ici et d’ailleurs et à tous les inconnus. Ceci est un message et une prière.
Le message, c’est que ma modeste vie m’a enseigné une grande vérité, j’avais déjà ce que tout le monde recherche et très peu arrivent à trouver : la sérénité . Moi, la petite personne que je suis, né pour aimer toute ma vie. Mais celui me joue toujours des tours que même ma lucité n’arrive pas à décoder.
voilà, comme la rue des petites est un endroit qui m'y est trés cher, je ne peux rester sans y insérer un petit poème.
le poème d'aujourd'hui, date de 10 ans déjà (oh déjà, le temps passe vite les amis) et je voudrais que vous donniez votre avis. et surtout ne voyez pas en lui une déclaration ou une qlqconque tentative de ....je ne sais pas quoi.
merci
A tous les amis du Forum, à ma famille, à tous les amis d’ici et d’ailleurs et à tous les inconnus. Ceci est un message et une prière.
Le message, c’est que ma modeste vie m’a enseigné une grande vérité, j’avais déjà ce que tout le monde recherche et très peu arrivent à trouver : la sérénité . Moi, la petite personne que je suis, né pour aimer toute ma vie. Mais celui me joue toujours des tours que même ma lucité n’arrive pas à décoder.
Cœur glacé
Oh cœur, arrête de me rappeler à l’ordre
Laisse moi vivre, vivre sans te regarder
Sans être agressé par ton vent glacial
Sans être flirté par le baiser de la glace
La glace qui a toujours le goût de meurtre
Comme si elle se souvient qu’elle a mis fin au monde l’autre fois
Oh, comme c’est difficile
D’être enveloppé par ce sentiment
D’être embaumé pour assister
A ton regard en mourant
Epargne moi de ce châtiment
Epargne moi, épargne moi, épargne moi…
Oh cœur, arrête de me rappeler à l’ordre
Laisse moi vivre, vivre sans te regarder
Sans être agressé par ton vent glacial
Sans être flirté par le baiser de la glace
La glace qui a toujours le goût de meurtre
Comme si elle se souvient qu’elle a mis fin au monde l’autre fois
Oh, comme c’est difficile
D’être enveloppé par ce sentiment
D’être embaumé pour assister
A ton regard en mourant
Epargne moi de ce châtiment
Epargne moi, épargne moi, épargne moi…
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