La « Palestine » n’existe pas, n’a jamais existé et n’existera jamais
La faiblesse de l'information c'est qu'elle ne resiste pas à l'histoire G.Sembel
Par : B’nai Elim
Traduction Gilles Raphel
La Palestine est une zone géographique et non une nation.
Les états Arabes, l’ONU et ses organes, et dernièrement la Cour internationale de Justice (CIJ) ont ainsi maintes fois affirmé que les Palestiniens sont un peuple indigène – à tel point que presque tout le monde tient cela pour acquis. Le problème est que le peuple palestinien est un apatride de fabrication. Le mot Palestine n’est même pas d’origine arabe.
La Palestine n’a jamais été un Etat indépendant appartenant à un peuple, ni un peuple palestinien distinct des autres Arabes durant les 1300 ans d’hégémonie musulmane en Palestine, sous domination arabe et ottomane. Durant un grand laps de cette période, les Arabes locaux ont été sous l’autorité de la Grande Syrie (al-Kubra Suriyya).
Historiquement, avant que les Arabes ne fabriquent la notion de « peuple palestinien » comme un phénomène exclusivement arabe, il n’existait aucun groupe de ce genre. Ceci est prouvé dans d’innombrables et officiels documents très anciens du mandat britannique qui parlent des Juifs et des Arabes de Palestine – et non des Juifs et des Palestiniens.
En fait, avant que les Juifs locaux ne se soient appelés eux-mêmes les Israéliens en 1948 (lorsque le nom « Israël » a été choisi pour nommer l’Etat juif nouvellement créé), le terme « Palestine » était appliqué presque exclusivement aux Juifs et aux institutions créées par les nouveaux immigrants juifs dans la première moitié du 20ème siècle, avant l’indépendance de l’Etat.
Voici quelques exemples :
· Le Jerusalem Post, fondé en 1932, s’appelait le Palestine Post jusqu’en 1948.
· La banque Leumi L’Israël, créée en 1902, a été appelée la « Anglo-Palestine Compagny » jusqu’en 1948.
· L’Agence juive – une branche du mouvement sioniste engagé dans l’implantation juive depuis 1929 – s’est d’abord nommée l’Agence Juive pour la Palestine.
· L’actuel Orchestre Philharmonique d’Israël, fondé en 1936 par des réfigiés juifs allemands fuyant l’Allemagne nazie, se nommait le « Palestine Symphony Orchestra » et était composé de quelques 70 Juifs de Palestine.
· L’United Jewish Appeal (UJA) a été créé en 1939 par une fusion de l’Appel pour la Palestine Unie et la branche de collecte de fonds du Joint Distribution Committee.
Il n’y a jamais eu d’Etat souverain arabe en Palestine.
L’artificialité d’une identité palestinienne est reflétée dans les attitudes et les actions des voisins Arabes qui n’ont jamais mis en place un Etat palestinien et n’en ont jamais préconisé un avant la guerre des Six Jours en 1967.
Deux fois seulement dans l’histoire Jérusalem a été capitale nationale. La première fois elle fut la capitale des deux républiques juives durant les époques du premier et du deuxième Temple, comme il est décrit dans la Bible, et est renforcé par des preuves archéologiques ainsi que de nombreux documents anciens. La seconde fois est dans les temps actuels en tant que capitale de l’Etat d’Israël. Elle n’a jamais été une capitale arabe pour la simple raison qu’il n’a jamais existé un Etat palestinien arabe.
La rhétorique des dirigeants arabes au nom des Palestiniens sonne creux. Les Arabes n’ont jamais établi un Etat palestinien quand l’ONU a recommandé en 1947 de partager la Palestine et de créer « un Etat arabe et un Etat juif » (et non un Etat palestinien comme il devrait alors être noté). Pas plus que les Arabes n’ont reconnu ou établi un Etat palestinien au cours des deux décennies précédant la guerre des Six Jours alors que la Judée Samarie était sous contrôle jordanien et la bande de Gaza sous contrôle égyptien. Nous n’avons pas non plus entendu de réclamation d’autonomie ou d’indépendance lancée par les Arabes palestiniens durant ces années passées sous la domination égyptienne et jordanienne.
Voilà pour les faits et l’exactitude.
La faiblesse de l'information c'est qu'elle ne resiste pas à l'histoire G.Sembel
Par : B’nai Elim
Traduction Gilles Raphel
La Palestine est une zone géographique et non une nation.
Les états Arabes, l’ONU et ses organes, et dernièrement la Cour internationale de Justice (CIJ) ont ainsi maintes fois affirmé que les Palestiniens sont un peuple indigène – à tel point que presque tout le monde tient cela pour acquis. Le problème est que le peuple palestinien est un apatride de fabrication. Le mot Palestine n’est même pas d’origine arabe.
La Palestine n’a jamais été un Etat indépendant appartenant à un peuple, ni un peuple palestinien distinct des autres Arabes durant les 1300 ans d’hégémonie musulmane en Palestine, sous domination arabe et ottomane. Durant un grand laps de cette période, les Arabes locaux ont été sous l’autorité de la Grande Syrie (al-Kubra Suriyya).
Historiquement, avant que les Arabes ne fabriquent la notion de « peuple palestinien » comme un phénomène exclusivement arabe, il n’existait aucun groupe de ce genre. Ceci est prouvé dans d’innombrables et officiels documents très anciens du mandat britannique qui parlent des Juifs et des Arabes de Palestine – et non des Juifs et des Palestiniens.
En fait, avant que les Juifs locaux ne se soient appelés eux-mêmes les Israéliens en 1948 (lorsque le nom « Israël » a été choisi pour nommer l’Etat juif nouvellement créé), le terme « Palestine » était appliqué presque exclusivement aux Juifs et aux institutions créées par les nouveaux immigrants juifs dans la première moitié du 20ème siècle, avant l’indépendance de l’Etat.
Voici quelques exemples :
· Le Jerusalem Post, fondé en 1932, s’appelait le Palestine Post jusqu’en 1948.
· La banque Leumi L’Israël, créée en 1902, a été appelée la « Anglo-Palestine Compagny » jusqu’en 1948.
· L’Agence juive – une branche du mouvement sioniste engagé dans l’implantation juive depuis 1929 – s’est d’abord nommée l’Agence Juive pour la Palestine.
· L’actuel Orchestre Philharmonique d’Israël, fondé en 1936 par des réfigiés juifs allemands fuyant l’Allemagne nazie, se nommait le « Palestine Symphony Orchestra » et était composé de quelques 70 Juifs de Palestine.
· L’United Jewish Appeal (UJA) a été créé en 1939 par une fusion de l’Appel pour la Palestine Unie et la branche de collecte de fonds du Joint Distribution Committee.
Il n’y a jamais eu d’Etat souverain arabe en Palestine.
L’artificialité d’une identité palestinienne est reflétée dans les attitudes et les actions des voisins Arabes qui n’ont jamais mis en place un Etat palestinien et n’en ont jamais préconisé un avant la guerre des Six Jours en 1967.
Deux fois seulement dans l’histoire Jérusalem a été capitale nationale. La première fois elle fut la capitale des deux républiques juives durant les époques du premier et du deuxième Temple, comme il est décrit dans la Bible, et est renforcé par des preuves archéologiques ainsi que de nombreux documents anciens. La seconde fois est dans les temps actuels en tant que capitale de l’Etat d’Israël. Elle n’a jamais été une capitale arabe pour la simple raison qu’il n’a jamais existé un Etat palestinien arabe.
La rhétorique des dirigeants arabes au nom des Palestiniens sonne creux. Les Arabes n’ont jamais établi un Etat palestinien quand l’ONU a recommandé en 1947 de partager la Palestine et de créer « un Etat arabe et un Etat juif » (et non un Etat palestinien comme il devrait alors être noté). Pas plus que les Arabes n’ont reconnu ou établi un Etat palestinien au cours des deux décennies précédant la guerre des Six Jours alors que la Judée Samarie était sous contrôle jordanien et la bande de Gaza sous contrôle égyptien. Nous n’avons pas non plus entendu de réclamation d’autonomie ou d’indépendance lancée par les Arabes palestiniens durant ces années passées sous la domination égyptienne et jordanienne.
Voilà pour les faits et l’exactitude.
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