Che Guevara à Alger avec Boumediene.

[Arbefracom]

[ETTARGUI]

La vidéo le montre plus avec Ben Bella qu'avec Boumédienne. A 2:09, il serre la main Ben Bella, zappe Boumédienne avant de serrer la main à Bouteflika.

[nacer-eddine06]

il ne savait pas qui etait le vrai patron

[Avucic]

il ne savait pas qui etait le vrai patron

C'est curieux: À cette époque, une cousine qui venait de rentrer du maquis a été embauchée par l'ambassadeur de Cuba pour s'occuper de ses jeune enfants.

Un jour, (en 1963) je suis allée chercher ma cousine, et de l'ambassade sortait Ché Guevara... qui s'adresse à moi......(petit échange) ...il me remercie... et il s'en va.

Quelle ne fut ma surprise quand le lendemain ma cousine m'a appris que c'était Che Gevara.....

[delci]

Je me rappelle dans les années 70, au foyer universitaire d'el harrach trônait un grand et beau portrait de Che Guevara. A l'époque c'était une icone. En sus de ses qualités intrinsèques,Il faut reconnaitre qu'il avez une belle gueule et une fière allure.

[Arbefracom]

Surtout que le Che n'a rien à voir avec les pseudos star d'aujourd'hui, lui c'était vraiment un homme dans toute la grandeur que cela nous inspire, charisme, rigueur et idéaux.

Ettargui, regarde bien, c'est juste ce que tu dis : mais c'est Boumediene qui a accueilli le Che à Alger, c'est lui avec qui il a passé le plus de temps avec. On voit sur la vidéo si il ne lui serra pas la main c'est justement parce qu'ils se sont déjà vu avant.

[Arbefracom]

Autant pas intervenir alors.

[delci]

Durant les années 70, j'ai croisé dans une rue d'alger au environ de l'hotel Aletti le leader des panthères noires Eldridge Cleaver avec deux de ses compagnons. Ils étaient tous les 3 vétus de blousons et bérets noirs.

[Avucic]

Je me rappelle dans les années 70, au foyer universitaire d'el harrach trônait un grand et beau portrait de Che Guevara. A l'époque c'était une icone. En sus de ses qualités intrinsèques,Il faut reconnaitre qu'il avez une belle gueule et une fière allure.

C'est curieux que la plupart des révolutionnaires sont vénérés à l'étranger, mais souvent ignorés ou oubliés au pays natal.

Je me rappelle un homme très cultivé des Indes qui me racontait son admiration pour Ferhat Abbès qu'il avait rencontré sans lui parler: Il était secrétaire d'un ministre indien qui recevait le président du GPRA.

Qui parle de Ferhat Abbas chez nous aujourd'hui?
Qui parle de Carlos sinon de son emprisonnement ?

D'ailleurs pour Guevara, j'étais étonné qu'à Rosario, sa ville natal personne ne semblait vouloir se rappeler de lui.... sinon se rappeler d'un jeune aventurier qui est parti en moto,,,, jusqu'au Méxique!!!!!!!

[mmis_ttaq-vaylit]

vous voyez bien que ceux qui campaient a la frontiere, ou en prison, ont commence' tot a legitimer leur cote revolutionnaire en s entourant de revolutionnaires internationaux du moment...

la capitlae Alger etait devenue un moment un nid de revolutionnaires... les hotes eux etaient des usurpateurs de pouvoir et d independance.

ah, la gabegie remonte a tres tot... chaab n 19 Mars comme disait yemma meskint.

sorry, Avucic, je ne pouvais m en empecher...

Salutations,

M.

[khaly]

Durant les années 70, j'ai croisé dans une rue d'alger au environ de l'hotel Aletti le leader des panthères noires Eldridge Cleaver avec deux de ses compagnons. Ils étaient tous les 3 vétus de blousons et bérets noirs.

La belle époque pour les contestataires et les mouvements de liberation , qui ont trouvé le refuge et le droit de s'exprimer chez nous.

[delci]

Ce que je retiens de cette époque également, c'est que les livres étaient trés peu chers. a titre d'exemple un livre de math sup coutait 10 da.