Après le vote des députés français sur les génocides, le chef du gouvernement turc a annoncé jeudi l'annulation de toutes les rencontres politiques, économiques et militaires prévues avec la France.
La Turquie avait menacé. Elle met maintenant ses menaces à exécutions. Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a estimé jeudi que le vote des députés français sur les génocides avait ouvert des plaies qui seraient difficiles à refermer.
Pour le chef du gouvernement turc, qui a protesté à de multiples reprises avant le vote, la proposition de loi qui prévoit de pénaliser la négation des génocides relève d'"une politique fondée sur le racisme, la discrimination et la xénophobie".
Juppé : la Turquie ne doit pas "surréagir"
La Turquie, a ajouté Erdogan, annule toutes les rencontres politiques, économiques et militaires prévues avec la France. De même, elle annule l'autorisation qui était faite aux avions de chasse et aux bâtiments de guerre de l'armée française d'atterrir ou d'accoster en Turquie.
La Turquie ne doit pas "surréagir", a estimé jeudi le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé. "Ce que je souhaite, c'est que nos amis turcs ne surréagissent pas", a-t-il déclaré.
TF1
La Turquie avait menacé. Elle met maintenant ses menaces à exécutions. Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a estimé jeudi que le vote des députés français sur les génocides avait ouvert des plaies qui seraient difficiles à refermer.
Pour le chef du gouvernement turc, qui a protesté à de multiples reprises avant le vote, la proposition de loi qui prévoit de pénaliser la négation des génocides relève d'"une politique fondée sur le racisme, la discrimination et la xénophobie".
Juppé : la Turquie ne doit pas "surréagir"
La Turquie, a ajouté Erdogan, annule toutes les rencontres politiques, économiques et militaires prévues avec la France. De même, elle annule l'autorisation qui était faite aux avions de chasse et aux bâtiments de guerre de l'armée française d'atterrir ou d'accoster en Turquie.
La Turquie ne doit pas "surréagir", a estimé jeudi le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé. "Ce que je souhaite, c'est que nos amis turcs ne surréagissent pas", a-t-il déclaré.
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