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La compagnie internationale Fuji Film doit s’impliquer davantage sur le marché algérien à travers, notamment, la formation et le transfert du savoir-faire sur les nouvelles technologies numériques au profit des techniciens algériens.
C’est ce qu’a déclaré le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, lors de l’inauguration, jeudi dernier à Alger, du 3e Salon des nouvelles technologies de l’image et de l’information.
Le ministre a plaidé également en faveur d’un partenariat essentiellement en termes de transfert technologique entre la compagnie Fuji Film et les entreprises algériennes. Il a invité les responsables de Fuji Film à investir au niveau du cyberparc technologique de Sidi-Abdellah.
Pour Éric Morel, directeur de la division Afrique chez Fuji Film, “sa société va étudier sérieusement la proposition de M. Haïchour portant sur une éventuelle implantation sur le site de la nouvelle ville technologique de Sidi-Abdallah et contribuer au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie”. Il a estimé, par ailleurs, que “le potentiel du marché algérien est très important comparativement au Maroc et à la Tunisie”, en affirmant que “l’Algérie demeure le premier marché de Fuji Film en Afrique”, sans donner plus de précisions sur
ce sujet.
La compagnie Fuji Film ouvrira, a-t-il confié, son nouveau siège en Algérie à la mi-2007. Elle détient actuellement 70% du marché de l’image numérique et entre 65% et 70% des laboratoires de photos numériques en Algérie, dira-t-il. Elle prévoit d’atteindre, précise-t-il, 70% de parts du marché de l’image numérique et 80% dans l’impression d’ici à 2010.
Le représentant de Fuji Film en Algérie, Choukri Djoudi, P-DG de la société Alka Film, a souligné qu’“on collabore avec plus d’une dizaine de distributeurs qui couvrent l’ensemble du marché algérien et on compte plus de 2 000 clients dans la photo numérique”. Interrogé sur la contrefaçon, il a expliqué qu’“il est impossible de reproduire des produits de très haute technologie tels que ceux de Fuji Film”.
La société Alka Film, représentant exclusif de Fuji Film en Algérie, emploie, avoue-t-il, 100 personnes et possède 4 directions régionales. La compagnie internationale Fuji Film, leader mondial de la photo numérique, dispose de 3 sites de production et emploie plus de 1 500 personnes, ajoute-t-il.
- Liberté
C’est ce qu’a déclaré le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, lors de l’inauguration, jeudi dernier à Alger, du 3e Salon des nouvelles technologies de l’image et de l’information.
Le ministre a plaidé également en faveur d’un partenariat essentiellement en termes de transfert technologique entre la compagnie Fuji Film et les entreprises algériennes. Il a invité les responsables de Fuji Film à investir au niveau du cyberparc technologique de Sidi-Abdellah.
Pour Éric Morel, directeur de la division Afrique chez Fuji Film, “sa société va étudier sérieusement la proposition de M. Haïchour portant sur une éventuelle implantation sur le site de la nouvelle ville technologique de Sidi-Abdallah et contribuer au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie”. Il a estimé, par ailleurs, que “le potentiel du marché algérien est très important comparativement au Maroc et à la Tunisie”, en affirmant que “l’Algérie demeure le premier marché de Fuji Film en Afrique”, sans donner plus de précisions sur
ce sujet.
La compagnie Fuji Film ouvrira, a-t-il confié, son nouveau siège en Algérie à la mi-2007. Elle détient actuellement 70% du marché de l’image numérique et entre 65% et 70% des laboratoires de photos numériques en Algérie, dira-t-il. Elle prévoit d’atteindre, précise-t-il, 70% de parts du marché de l’image numérique et 80% dans l’impression d’ici à 2010.
Le représentant de Fuji Film en Algérie, Choukri Djoudi, P-DG de la société Alka Film, a souligné qu’“on collabore avec plus d’une dizaine de distributeurs qui couvrent l’ensemble du marché algérien et on compte plus de 2 000 clients dans la photo numérique”. Interrogé sur la contrefaçon, il a expliqué qu’“il est impossible de reproduire des produits de très haute technologie tels que ceux de Fuji Film”.
La société Alka Film, représentant exclusif de Fuji Film en Algérie, emploie, avoue-t-il, 100 personnes et possède 4 directions régionales. La compagnie internationale Fuji Film, leader mondial de la photo numérique, dispose de 3 sites de production et emploie plus de 1 500 personnes, ajoute-t-il.
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