L'enfant est tte sensibilité et fragilité...et il est fortement affecté par la manière dont il est traité...et dont il en serait le produit…
Tres souvent ou dans tous les cas, ses complexes, sa violence et les cas de depressions qu'il montre...ou qu'il decouvre dans le future...sont le fruit de cette maniere dont on le traite...
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Plus de dépression et d’anxiété chez les enfants abusés verbalement
Comment réagir lorsque vous découvrez que votre fils vient de casser le vase chinois de Tata Yvonne en faisant du Kung-Fu ? Surtout, évitez de le dévaloriser !
C’est en tout cas ce que suggère une étude américaine publiée dans le Journal of Affective Disorders menée sur un échantillon de 5600 hommes et femmes adultes représentatif de la population.
Les résultats montrent que 30% d’entre eux ont souffert, étant enfant, d’« abus verbal » : leurs parents les ont fréquemment insulté, ont eu des mots blessants à leur égard, ont juré à leur propos et les ont parfois même violenté physiquement.
Or devenus adultes, ces enfants sont beaucoup plus souvent anxieux et dépressifs que les autres.
D’après les scientifiques, dévaloriser un enfant entraîne forcément chez lui une tendance à l’autocritique et à considérer ses échecs plutôt que ses réussites. Adulte, il aura plus souvent que les autres le sentiment qu’il n’est pas celui qu’il aurait aimé être. Il aura aussi tendance à s’autocritiquer dès que les choses ne se passent pas comme il l’aurait espéré.
Lorsqu’on a tendance à se dévaloriser, on a beaucoup plus de risque de déprimer et d’être anxieux. Pour Natalie Sachs Ericsson, professeur de psychologie à l’université de Floride de Tallahassee, « les parents doivent réaliser les conséquences à long terme des mots qu’ils utilisent lorsqu’ils parlent à leurs enfants. L’utilisation de termes désagréables pour faire comprendre à un enfant qu’il a fait une bêtise est non seulement inefficace mais en plus peut perturber son équilibre mental. ».
Pour trouver une issue à leur problèmes, les auteurs leur conseillent de commencer à « porter plus d’attention à la façon dont ils se parlent à eux-mêmes et d’essayer de changer la vision négative qu’ils ont de leur personne. »
Alors, compris ? Fini les « sale petit crétin » ou les « t’es débile ou quoi ? ». Appelez votre enfant par son prénom et expliquez lui calmement pourquoi vous êtes mécontent.
Le Journale Santé
Tres souvent ou dans tous les cas, ses complexes, sa violence et les cas de depressions qu'il montre...ou qu'il decouvre dans le future...sont le fruit de cette maniere dont on le traite...
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Plus de dépression et d’anxiété chez les enfants abusés verbalement
Comment réagir lorsque vous découvrez que votre fils vient de casser le vase chinois de Tata Yvonne en faisant du Kung-Fu ? Surtout, évitez de le dévaloriser !
C’est en tout cas ce que suggère une étude américaine publiée dans le Journal of Affective Disorders menée sur un échantillon de 5600 hommes et femmes adultes représentatif de la population.
Les résultats montrent que 30% d’entre eux ont souffert, étant enfant, d’« abus verbal » : leurs parents les ont fréquemment insulté, ont eu des mots blessants à leur égard, ont juré à leur propos et les ont parfois même violenté physiquement.
Or devenus adultes, ces enfants sont beaucoup plus souvent anxieux et dépressifs que les autres.
D’après les scientifiques, dévaloriser un enfant entraîne forcément chez lui une tendance à l’autocritique et à considérer ses échecs plutôt que ses réussites. Adulte, il aura plus souvent que les autres le sentiment qu’il n’est pas celui qu’il aurait aimé être. Il aura aussi tendance à s’autocritiquer dès que les choses ne se passent pas comme il l’aurait espéré.
Lorsqu’on a tendance à se dévaloriser, on a beaucoup plus de risque de déprimer et d’être anxieux. Pour Natalie Sachs Ericsson, professeur de psychologie à l’université de Floride de Tallahassee, « les parents doivent réaliser les conséquences à long terme des mots qu’ils utilisent lorsqu’ils parlent à leurs enfants. L’utilisation de termes désagréables pour faire comprendre à un enfant qu’il a fait une bêtise est non seulement inefficace mais en plus peut perturber son équilibre mental. ».
Pour trouver une issue à leur problèmes, les auteurs leur conseillent de commencer à « porter plus d’attention à la façon dont ils se parlent à eux-mêmes et d’essayer de changer la vision négative qu’ils ont de leur personne. »
Alors, compris ? Fini les « sale petit crétin » ou les « t’es débile ou quoi ? ». Appelez votre enfant par son prénom et expliquez lui calmement pourquoi vous êtes mécontent.
Le Journale Santé
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