De plus en plus agacé par les exactions des membres du Polisario sur son territoire, Bamako n'apporte plus aucun soutien au groupe indépendantiste sahraoui. Et multiplie les gestes de défiance.
Le Mali prend acte de la criminalisation d'une partie des effectifs du Front Polisario. C'est une source proche du gouvernement malien qui l'affirme : le président Amadou Toumani Touré est « en colère » contre le groupe qui lutte pour l'indépendance du Sahara occidental et Bamako entend désormais rester à équidistance entre celui-ci et le Maroc. De fait, le Mali accuse le Polisario de pratiquer des enlèvements en complicité avec Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et d'utiliser son territoire pour le trafic de drogue.
Jeune Afrique
Le Mali prend acte de la criminalisation d'une partie des effectifs du Front Polisario. C'est une source proche du gouvernement malien qui l'affirme : le président Amadou Toumani Touré est « en colère » contre le groupe qui lutte pour l'indépendance du Sahara occidental et Bamako entend désormais rester à équidistance entre celui-ci et le Maroc. De fait, le Mali accuse le Polisario de pratiquer des enlèvements en complicité avec Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et d'utiliser son territoire pour le trafic de drogue.
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