Les livraisons d'armes vers le Qatar peuvent reprendre. Le SECO a levé l'interdiction décrétée en juillet après que le Qatar a livré de manière non autorisée des munitions suisses à la Libye.
Le Qatar n'aurait pas dû livrer le matériel de guerre de l'entreprise d'armement étatique Ruag aux insurgés libyens car il avait signé une déclaration de non-réexportation.
Le Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO) avait alors gelé toute livraison de matériel de guerre à l'Emirat jusqu'à ce que les raisons de ces réxeportations sont déterminées.
Lors de visites de contrôle, le Qatar a pu expliquer que les livraisons avaient eu lieu à cause «d'une faute dans la logistique militaire», a déclaré Marie Avet, porte-parole du SECO à la radio alémanique DRS.
Le Qatar avait dit regretter l'incident, s'en était excusé et avait affirmé qu'il respecterait à l'avenir la déclaration de non-réexportation, selon le SECO.
Seuls les engins de visée laser avait été touchés par l'arrêt, le reste de la livraison avait pu être acheminé jusqu'au Qatar. Les nouvelles demandes seront contrôlées.
20 minutes.Ch
Le Qatar n'aurait pas dû livrer le matériel de guerre de l'entreprise d'armement étatique Ruag aux insurgés libyens car il avait signé une déclaration de non-réexportation.
Le Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO) avait alors gelé toute livraison de matériel de guerre à l'Emirat jusqu'à ce que les raisons de ces réxeportations sont déterminées.
Lors de visites de contrôle, le Qatar a pu expliquer que les livraisons avaient eu lieu à cause «d'une faute dans la logistique militaire», a déclaré Marie Avet, porte-parole du SECO à la radio alémanique DRS.
Le Qatar avait dit regretter l'incident, s'en était excusé et avait affirmé qu'il respecterait à l'avenir la déclaration de non-réexportation, selon le SECO.
Seuls les engins de visée laser avait été touchés par l'arrêt, le reste de la livraison avait pu être acheminé jusqu'au Qatar. Les nouvelles demandes seront contrôlées.
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