certes, ce post n'est pas un sujet digne des sujet d'un samedi soir; mais qui soulève une question fort importante. j'aimerai avoir vos avis et témoignages sur la question.
La vieillesse ne me semble pas du tout le morne vestibule de la mort, mais comme les vraies grandes vacances, après le surmenage des sens, du coeur et de l'esprit que fut la vie.( Marcel Jouhandeau)
Il y a des mots qui font peur. La "vieillesse" et la mort en sont les champions. C’est quoi la vieillesse. Elle est un « processus physique et psychique caractérisé globalement par une perte progressive de l'énergie vitale quand il n'est pas le terrain d'éclosion d'infirmités et de maladies graves, mortelles pour la plupart, le vieillissement est aussi un sentiment subjectif qui relativise la notion d'âge chronologique ». Le vieillissement des populations doit être vécu comme une étape à part entière de la vie, exactement comme le parcours d’un coureur qu’il faut achevé, mener jusqu’au bout.
On est tous appelé à devenir vieux un jour : devrons nous avoir peur ? et si c’est le cas qu’est ce qui vous pousse à voir peur ? cette crainte est-elle justifiée ?
Le risque de dépendance lié à la perte d'autonomie ou peur de la mort, édictée par l’instinct de survie ; mais il y a des personnes qui veulent partir trop tôt que de finir séniles, malades, impotentes…la peur de la mort n’en est pour rien.
La peur ne plus être aimé. Ceux qui n'acceptent pas de vieillir, n'acceptent pas la vie tout simplement. La vie c'est juste le début de la fin d’un parcours et qu’il faut finir comme on l’a entamée : se diriger vers le bout du tunnel le plus jovialement possible.
Ceux qui ont peur des marques du temps sur leur corps ne savent pas vivre avec leur esprit , ils sont habitués à vivre avec les patterns imposés par la société : le conformisme, quel vilain mot ! quand je réalise ce j’ai fait avant… J'ai la conviction qu'il faut plaire pour être aimé. J'ai aussi la conviction que le fait de vieillir ne nous n’empêche de plaire ; parfois, on est plus sexy en avançant dans l’âge et on n’a qu’avoir ce que raffle georges clooney ou harison ford d’admiratrices.
La vieillesse ne me semble pas du tout le morne vestibule de la mort, mais comme les vraies grandes vacances, après le surmenage des sens, du coeur et de l'esprit que fut la vie.( Marcel Jouhandeau)
Il y a des mots qui font peur. La "vieillesse" et la mort en sont les champions. C’est quoi la vieillesse. Elle est un « processus physique et psychique caractérisé globalement par une perte progressive de l'énergie vitale quand il n'est pas le terrain d'éclosion d'infirmités et de maladies graves, mortelles pour la plupart, le vieillissement est aussi un sentiment subjectif qui relativise la notion d'âge chronologique ». Le vieillissement des populations doit être vécu comme une étape à part entière de la vie, exactement comme le parcours d’un coureur qu’il faut achevé, mener jusqu’au bout.
On est tous appelé à devenir vieux un jour : devrons nous avoir peur ? et si c’est le cas qu’est ce qui vous pousse à voir peur ? cette crainte est-elle justifiée ?
Le risque de dépendance lié à la perte d'autonomie ou peur de la mort, édictée par l’instinct de survie ; mais il y a des personnes qui veulent partir trop tôt que de finir séniles, malades, impotentes…la peur de la mort n’en est pour rien.
La peur ne plus être aimé. Ceux qui n'acceptent pas de vieillir, n'acceptent pas la vie tout simplement. La vie c'est juste le début de la fin d’un parcours et qu’il faut finir comme on l’a entamée : se diriger vers le bout du tunnel le plus jovialement possible.
Ceux qui ont peur des marques du temps sur leur corps ne savent pas vivre avec leur esprit , ils sont habitués à vivre avec les patterns imposés par la société : le conformisme, quel vilain mot ! quand je réalise ce j’ai fait avant… J'ai la conviction qu'il faut plaire pour être aimé. J'ai aussi la conviction que le fait de vieillir ne nous n’empêche de plaire ; parfois, on est plus sexy en avançant dans l’âge et on n’a qu’avoir ce que raffle georges clooney ou harison ford d’admiratrices.
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