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Dans le cadre de son plan de rationalisation, la compagnie aérienne marocaine a bien décidé de se séparer de ses quatre Airbus A321. Elle vient en effet de mandater la société Falko pour revendre ou louer sur une longue durée ces appareils.
Faisant face à la plus grave économique de son histoire, Royal Air Maroc (RAM) avait annoncé début septembre qu’elle voulait réduire ses coûts de 20% et que son plan passait en partie par une rationalisation et un rajeunissement de sa flotte. Exit donc les quatre Airbus A321, qui font pâle figure dans une flotte composée en majorité de Boeing (37 au total). Elle a donc chargé la société Falko, basée en Angleterre, de trouver un repreneur pour ces Airbus, âgés de quatre à huit ans.
A noter que la RAM doit aussi se séparer de ses avions les plus vieux, cinq Boeing B737-500 et un B767, et recevoir un B737-800 d’ici mars prochain, ce qui lui permettra de ramener sa flotte à un âge inférieur à cinq ans.
De plus, la compagnie marocaine a reçu près d’un tiers de l’aide promise fin septembre par l’Etat (145 millions d’euros) pour faire face à ses difficultés financières. Ces fonds lui permettront de financer la première vague de départs du personnel prévue dans le cadre de son plan social et de rembourser une partie de sa dette.
Isabelle Blanco
Air Journal
Faisant face à la plus grave économique de son histoire, Royal Air Maroc (RAM) avait annoncé début septembre qu’elle voulait réduire ses coûts de 20% et que son plan passait en partie par une rationalisation et un rajeunissement de sa flotte. Exit donc les quatre Airbus A321, qui font pâle figure dans une flotte composée en majorité de Boeing (37 au total). Elle a donc chargé la société Falko, basée en Angleterre, de trouver un repreneur pour ces Airbus, âgés de quatre à huit ans.
A noter que la RAM doit aussi se séparer de ses avions les plus vieux, cinq Boeing B737-500 et un B767, et recevoir un B737-800 d’ici mars prochain, ce qui lui permettra de ramener sa flotte à un âge inférieur à cinq ans.
De plus, la compagnie marocaine a reçu près d’un tiers de l’aide promise fin septembre par l’Etat (145 millions d’euros) pour faire face à ses difficultés financières. Ces fonds lui permettront de financer la première vague de départs du personnel prévue dans le cadre de son plan social et de rembourser une partie de sa dette.
Isabelle Blanco
Air Journal
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