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Les Australiens passent au second plan de l’arnaque

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  • Les Australiens passent au second plan de l’arnaque

    La société australienne Gold Mining of Algeria (GMA), qui a indirectement conditionné son retrait de l’Entreprise d’exploitation des mines d’or (Enor), où elle détient 52% des actions, au paiement de son prêt contracté au marché boursier de Londres, a monté un autre scénario pour négocier ses actions avec Sonatrach aux termes d’un contrat qui sera conclu dans les tout prochains jours.

    Conformément aux clauses de ce contrat, la société australienne signe définitivement son retrait des mines d’or d’Amesmassa et de Tirek. Ce qui reste à savoir cependant, c’est que l’actionnaire majoritaire d’Enor a eu, en juin dernier, des intérêts exceptionnels sur le capital-obligation, s’élevant à 5,8 millions de livres sterling sur le marché des valeurs de la bourse de Londres où il a placé tous ses fonds d’investissement.
    Au lieu de rembourser son prêt, dont l'échéance est prévue le 31 décembre 2012, GMA a trouvé un bon subterfuge en novembre dernier, pour retirer 210 000 livres sterling en liquide de ses fonds placés et de ses capitaux investissement dans l’Enor pour couvrir, lit-on dans le même communiqué, les coûts mensuels d’exploitation évalués à 45 000 £. Comme à son accoutumée, et une fois l’argent encaissé, la société australienne a, pour faire aboutir son second plan d’arnaque après celui de la BEA, usé de toutes sortes de fourberies pour justifier son retrait d'Enor et, par conséquent, son incapacité de rembourser ce capital-obligations. De ce fait, GMA n’aura aucune activité commerciale et ne sera plus considérée comme société d’investissement, compte tenu des dispositions et règles du marché des changes publics, Alternative Investment Market (AIM), géré par London Stock Exchange (LES), qui maintient uniquement un solde de 110 000 £ des fonds de GMA destinés à couvrir les dépenses et charges de la trésorerie de cette société. En application des règles de l’AIM et suivant la politique d’investissement adoptée par tous les actionnaires qui doit être fructueuse et efficace, le conseil d’administration de GMA se trouve dans la contrainte de réduire au minimum le coût de diriger la société pour la rendre plus attrayante aux cibles potentielles d’acquisition.
    Devant cet état de fait, Sonatrach, qui a décidé de reprendre toutes les participations de cet arnaqueur australien, doit d’abord rembourser ce prêt et, par ricochet, lever l’hypothèque qui pèsera sans nul doute sur les mines d’Amesmassa et de Tirek. Ainsi, une session générale, indique-t-on dans le communiqué, est prévue pour le 6 janvier prochain entre tous les actionnaires de la société afin de résoudre définitivement ce problème sur le marché des valeurs de la bourse de Londres. Revenant aux raisons de son retrait, GMA ressources ne cesse de ressasser les causes relatives à la chute du minerai extrait dans les gisements aurifères d’Enor depuis 2009 et aux coûts élevés d’exploitation.
    À cela s’ajoute l’insuffisance des revenus produits par les opérations d’exploitation pour couvrir les charges et les obligations de la société en prenant en considération le prix courant de l’or et l’exploration étendue dans plus de 32 000 mètres de perçage au cours des 18 derniers mois qui n’a donné aucune potentialité quant aux ressources d’or.

    liberte
    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون
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