Moustafa Abdel Jalil met en garde contre une guerre civile", titre le quotidien panarabe : le chef des autorités libyennes s'inquiète des affrontements entre l'armée et d'anciens combattants révolutionnaires qui ont fait au moins 4 morts et plusieurs blessés le mardi 3 janvier. Les nouvelles autorités ont du mal à intégrer ces milices dans l'armée et à désarmer la population. Par ailleurs, des manifestations contre le Conseil national de transition se poursuivent, notamment à Benghazi, demandant une rupture plus nette avec l'ancien régime.
Courrier international
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