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La coalition de gauche tchèque à égalité avec le centre-droit

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  • La coalition de gauche tchèque à égalité avec le centre-droit

    Parce qu'une page internationale digne de ce nom doit essayer de couvrir le maximum d'evenements qui se passent à travers le monde .
    Je vous propose une petite virée chez nos voisins tchèques .
    En effet ils viennent d'être sollicités pour des Elections législatives .
    De plus c'est un ancien pays du bloc de l'est , il est donc très interessant pour un Algerien de suivre leur évolution sur le plan démocratique .
    Les peuples sont toujours aussi indécis et la grande vague de coalition touche de plus en plus de pays .

    Ci dessous un article tiré de l'Agence Reuters et dont le titre est perchée ci dessus :

    04 juin 2006 (Reuters - 09:40)

    par Alan Crosby

    PRAGUE - Au terme des législatives tchèques, le bloc de centre-droit emmené par les démocrates civiques et la coalition sortante de gauche conduite par les sociaux-démocrates sont à égalité parfaite avec 100 sièges chacun, ce qui annonce de longues tractations, voire la tenue d'élections anticipées.

    Selon le bureau des statistiques, les Démocrates civiques (ODS) ont obtenu le plus grand nombre de suffrages (35,4%) et enlèvent 81 des 200 sièges de la chambre basse.

    La droite libérale peut compter sur le soutien des 13 députés chrétiens-démocrates et des six députés verts.

    Mais les Sociaux-démocrates (CSSD) du Premier ministre sortant Jiri Paroubek totalisent eux 32,3% des voix et 74 sièges, auxquels s'ajoutent les 26 députés communistes.

    Le président Vaclav Klaus a néanmoins annoncé qu'il recevrait lundi Mirek Topolanek, le chef de file de l'ODS, laissant entendre qu'il pourrait lui confier la responsabilité de former le prochain gouvernement.

    Compliquant davantage encore l'issue du scrutin, Jiri Paroubek a refusé de concéder sa défaite et menace d'introduire un recours juridique pour contester le dépouillement des urnes.

    Ce recours pourrait s'appuyer sur les accusations "calomnieuses" de corruption lancées contre lui et les sociaux-démocrates quelques jours avant le scrutin.

    "La loi électorale nous autorise à déposer une requête d'invalidation. Nous allons vérifier s'il y a lieu de le faire", a-t-il dit, évoquant une "agression" contre la démocratie.

    Pour Pavel Saradin, politologue de l'université Palacky University d'Olomouc, "c'est probablement le pire scénario qui s'est produit et à moins que des partis ne fassent volte-face, il pourrait être nécessaire de rebattre les cartes et d'organiser un nouveau scrutin".

    "GRANDE COALITION" OU CHANGEMENTS D'ALLIANCE ?

    D'autres analystes avancent un scénario "à l'allemande" qui verrait démocrates civiques et sociaux-démocrates former une "grande coalition", une sortie de crise qui pourrait, disent-ils, être validée par le président Klaus.

    Une autre option impliquerait un changement d'alliance des écologistes.

    Fort du soutien de l'ancien président Vaclav Havel, le Parti vert de l'ancien ministre de l'Environnement Martin Bursik est un des grands vainqueurs du scrutin.

    Parvenant à dépasser le seuil des 5% des voix nécessaires, les Verts tchèques sont le premier parti écologiste d'Europe de l'Est à obtenir une représentation parlementaire.

    Si Jiri Paroubek obtient leur ralliement, il pourrait former un gouvernement minoritaire avec le soutien tacite des communistes, qui demeurent la troisième force politique du pays en dépit d'un net recul de près de six points par rapport à leur score de 2002.

    La poursuite de l'intégration européenne a constitué l'une des principales divergences entre les deux grands partis tchèques: les sociaux-démocrates prônent le passage à l'euro d'ici 2010 quand la droite, elle, se montre nettement moins empressée.

    Les enquêtes ont montré que bon nombre d'électeurs étaient partagés sur le programme de réformes économiques des conservateurs, qui prônent notamment l'introduction d'un impôt au taux unique de 15%, mais tenaient à sanctionner les sociaux-démocrates pour les affaires de corruption qui ont fleuri durant les huit ans où ils ont été au pouvoir.

  • #2
    ce que j'aime chez les tcheque ç la façon qu'ils ont eut de ce séparer des slovaque
    tu tombe je tombe car mane e mane
    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

    Commentaire

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